Author: Nathalie BERTHET

  • Cette extravagance que vous ne pouvez pas vous permettre

    Cette extravagance que vous ne pouvez pas vous permettre

    La pensée négative est peut-être l’extravagance la plus inutile qui soit. C’est quelque chose que personne ne peut réellement se permettre.

    Le prix que la pensée négative ne peut jamais être rentabilisé, car le prix de la pensée négative se paye avec la vie. Comment est-il possible de remplacer une minute, une journée ou une année perdue au profit de la négativité ?

    Et au-delà de l’opportunité perdue qu’elle représente, la pensée négative est tout simplement destructrice. Elle n’apporte rien et coûte tellement cher. […]  Lire la suite

  • Épuisement professionnel : 8 signes qui montrent que vous êtes surmené(e)

    Épuisement professionnel : 8 signes qui montrent que vous êtes surmené(e)

    Que vous étudiez à l’école, poursuivez vos objectifs ou que vous construisiez votre carrière, il vous faut travailler dur pour réussir. Malheureusement, beaucoup d’entre nous sont tellement fatigués d’essayer de réussir que nous prenons plus que ce que nous sommes capables d’absorber. Nous sommes prêts à faire tout ce qui est nécessaire pour atteindre notre objectif final. Nous travaillerons pendant des heures sans pause. Nous rentrons à la maison et continuons à travailler toute la nuit juste pour mettre la touche finale à nos projets.  […]  Lire la suite

  • 5 choses à retenir lorsque votre vie est en train de s’effondrer

    5 choses à retenir lorsque votre vie est en train de s’effondrer

    Cette année touche à sa fin. Les choses vont s’améliorer. Du moins, c’est ce à quoi il faut s’attendre, non ? Mais pour ceux d’entre nous qui luttons contre l’anxiété ou la dépression, nous ne ressentons peut-être pas le même soulagement. 

    Il y a tellement de tragédies à affronter – Les responsabilités et les factures s’accumulent, des ruptures se produisent lorsque vous aimez la mauvaise personne, et les personnes que vous aimiez voir chaque jour sont désormais celles que vous hésitez à contacter. En traversant la vie, nous accumulons des difficultés en cours de route. Il est impossible de ne pas se sentir blasé de temps en temps et nous risquons souvent de nous retrouver sur le point d’abandonner. Mais tout espoir ne doit pas être perdu.  […]  Lire la suite

  • 7 signes qui montrent que vous êtes émotionnellement en bonne santé

    7 signes qui montrent que vous êtes émotionnellement en bonne santé

    La santé émotionnelle peut être une chose complexe. Pour être en bonne santé sur le plan émotionnel, vous devez prendre en compte l’impact de vos émotions sur vos relations, votre travail et votre vie sociale.

    La santé émotionnelle n’est pas déterminée par les problèmes que vous avez dans la vie. Nous avons tous des problèmes. C’est plutôt la façon dont vous abordez ces problèmes et à quel point vous accueillez positivement les moments de la vie.

    La santé émotionnelle englobe beaucoup de choses. Nous venons au monde avec certaines de ces choses et les autres, nous devons les apprendre. […]  Lire la suite

  • Comment éviter les blancs dans une conversation ?

    Comment éviter les blancs dans une conversation ?

    L’art de la conversation est vraiment une compétence merveilleuse. Savoir comment maintenir une conversation peut être le facteur décisif de votre réussite.

    Commencer une conversation et maintenir une conversation sont deux facteurs distincts. Comme pour tout, il y a un début, un milieu et une fin.

    Vous trouverez ci-dessous quelques conseils qui vous aideront à maintenir une conversation et ainsi éviter les “blancs”.

    Ne soyez pas intimidant 

    Évitez de faire en sorte que les gens se sentent obligés d’écouter ce que vous avez à dire. Crier et élever votre voix ne vous rendra pas plus important et charismatique. Cela ne fera que frustrer les personnes impliquées dans la conversation […]  Lire la suite

  • 75 affirmations positives pour la confiance en soi

    75 affirmations positives pour la confiance en soi

    La confiance soi est importante pour notre bien-être général. Elle influe sur la façon dont nous nous percevons, dont nous interagissons avec les autres et dont nous atteignons nos objectifs.

    Lorsque nous avons confiance en nous, nous nous sentons bien dans notre peau et dans nos capacités. Nous sommes plus enclins à prendre des risques, à essayer de nouvelles choses et à réaliser notre plein potentiel.

    En revanche, lorsque nous manquons de confiance en soi, nous pouvons nous sentir anxieux et indignes.  […]  Lire la suite

  • Ce n’est la faute de personne

    Ce n’est la faute de personne

    Je ne suis pas à l’abri de la colère. Aucun de nous ne l’est. Comme toutes les pensées et les émotions, la colère découle de nos tendances passées, de notre karma ainsi que des causes et conditions actuelles.

    Après m’être intéressé aux enseignements bouddhistes, je comprends à quel point la colère est préjudiciable pour moi-même et pour ceux qui sont l’objet de cette émotion destructrice. Sur le plan pratique, être envahi par la colère n’est jamais une expérience agréable.

    Nous ne sommes jamais heureux, mais toujours alourdis par ce fardeau de contrariété, de ressentiment et parfois de haine. Ces émotions indésirables nous dévorent. Elles sont associées au développement de maladies cardiaques et de plusieurs autres troubles graves. La colère n’est tout simplement pas amusante. Pire encore, cela peut nous amener à faire du mal aux autres que ce soit avec nos paroles ou nos actes.

    Dans une plus grande image, les émotions négatives et les actions négatives qui en résultent sont précisément ce qui nous maintient dans un cycle continu de souffrance.

    Personnellement, basé sur la logique et la foi, je suis convaincu que le karma est une loi fondamentale de l’univers. Par conséquent, la question devient: comment puis-je réagir lorsque la colère monte ?

    Suis-je entraîné dans son flux puissant ou suis-je engagé dans la pratique de solutions alternatives ? Les enseignements bouddhistes nous disent de ne pas supprimer la colère. Nous pouvons simplement observer quand elle se manifeste et la laisser passer comme n’importe quel nuage passerait dans le ciel.

    Les émotions comme la colère ne sont pas notre vraie nature. Ce ne sont que des phénomènes temporaires et passagers. Ils ne semblent «solides» et «réels» que si nous nous accrochons à eux.

    Bien sûr, c’est beaucoup plus facile à dire qu’à faire ! Cela demande énormément de détermination et de pratique, mais quoi de plus important dans ce voyage toujours aussi fugace appelé la vie ?

    Il y a beaucoup d’injustices dans ce monde. On pourrait facilement croire qu’un réfugié comme le dalaï-lama ou une prisonnière politique comme Aung San Suu Kyi a le «droit» d’être en colère. Mais ils ne le sont pas parce qu’ils voient la colère d’une manière totalement différente de nous.

    Ils comprennent et savent le mal que la colère engendre pour soi et pour les autres. Ils comprennent la vraie nature de la réalité, sa qualité insubstantielle et l’interdépendance de tout ce qui se passe. Il n’y a jamais une seule cause pour tout ce qui se passe dans la vie. C’est toujours un mélange complexe de causes et de conditions qui se combinent pour produire un résultat. Ainsi, il n’ya pas de personne, d’entreprise ou de pays à blâmer. Même lorsque nous nous sentons victimes, nous faisons également partie du tableau.

    Bien évidemment, il n’est pas facile d’atteindre ce niveau de sagesse. Le dalaï-lama a souvent parlé de la persistance avec laquelle il entraînait son esprit à surmonter la colère depuis ses premières années. Ce n’est pas une tâche facile, mais c’est possible.

    Entraînez votre esprit à être libre de colère

    Il y a des moments où je me sens en colère contre le monde. Des moments où je me sens en colère contre les responsables qui, dans leur ignorance, autorisent et encouragent l’utilisation de produits chimiques. En colère contre ces personnes qui tuent les animaux pour le “plaisir”, en colère contre ces élus politiques qui se croient au dessus des lois et intimident des personnes pour s’accorder les faveurs d’un certain nombre d’habitant pour augmenter leur chance d’être réélu.

    Je ne suis pas à l’abri de la colère. Si même le dalaï-lama doit s’entraîner religieusement, la colère surgira sans doute dans un esprit comme le mien, encore et encore.

    La question revient: qu’est-ce que je fais de la colère quand elle me rend visite ? Est-ce que je dois la balayé de la main ou est-ce que je dois la reconnaitre ? Dois-je adoucir mon cœur et envisager une réponse alternative ? Suis-je déterminé à entraîner mon esprit à être libre de colère ?

    Je ne suis pas un saint ! La colère me ronge de temps en temps, mais j’ai maintenant des modèles, la sensibilisation et les outils pour la libérer. Je sais par expérience qu’il faut beaucoup de temps pour que l’on se lie à la colère.

    Nous avons tous besoin de suivre notre propre processus, à notre propre rythme. Travailler avec des mouvements négatifs est un travail de longue haleine, mais avec le temps, ils peuvent certainement diminuer.

  • Dix questions environnementales majeures [Guide du débutant]

    Dix questions environnementales majeures [Guide du débutant]

    Nous pensons qu’il est grand temps que les questions environnementales reçoivent l’attention qu’elles méritent.  […]  Lire la suite

  • Pourquoi choisir des cosmétiques sans cruauté envers les animaux ? La triste vérité sur l’expérimentation animale

    Pourquoi choisir des cosmétiques sans cruauté envers les animaux ? La triste vérité sur l’expérimentation animale

    Il est une vérité désagréable qu’en 2018, les animaux dans les laboratoires à travers le monde souffrent et meurent afin de tester des produits cosmétiques tels que les crèmes pour le visage et le mascaraSelon la Humane Society International, on estime qu’entre 100 000 à 200 000 hamsters, cobayes, rats, souris et lapins meurent chaque année…. pour le bien du maquillage.

    Imaginez des produits chimiques insérés de force à plusieurs reprises dans votre gorge ou ruisselant dans vos yeux. Imaginez-vous avoir les cheveux rasés contre votre volonté, votre peau imbibée de lotions brûlantes. Maintenant, imaginez quelqu’un qui infligerait cette agonie à votre animal de compagnie.

    Avec des effets secondaires comme la cécité, des lésions organiques, des saignements internes et des convulsions, endurés sans soulagement de la douleur, de nombreux animaux meurent au cours de ces expériences horribles. Les autres sont tués par décapitation, asphyxie ou autre une fois que les laboratoires n’en ont plus besoin. Pour chaque test d’irritation cutanée réalisé en laboratoire, deux lapins meurent en moyenne. Les lapins sont fréquemment victimes d’expérimentateurs sur les animaux pour les mêmes raisons qu’ils sont de bons animaux de compagnie : ils sont doux, dociles et faciles à élever.

    Pourquoi les entreprises testent-elles encore des cosmétiques sur les animaux ?

    Il est déchirant de constater que les êtres vivants sont toujours torturés de cette manière, en particulier lorsque la science évolue en permanence et qu’il existe maintenant des tests biens meilleurs n’impliquant pas d’animaux. Celles-ci incluent des méthodes et des modèles basés sur des cultures de cellules et de tissus humains, des tests de cellules souches et génétiques, ainsi que des techniques d’imagerie non invasives utilisant des IRM.

    Alors, pourquoi les entreprises continuent-elles à utiliser des méthodes inhumaines pour tester les effets secondaires tels que l’irritation de la peau, la sensibilité à la lumière et la toxicité aiguë ?

    Dans la majorité des cas, cela se produit parce que les fabricants insistent pour développer et utiliser de «nouveaux» ingrédients qui ne disposent pas des données de sécurité correspondantes. Pendant des années, le financement du développement des tests autres que les animaux n’a tout simplement pas été une priorité, ce qui signifie qu’il existe des lacunes en matière de tests pour lesquelles les entreprises déclarent qu’aucune alternative réalisable et abordable n’est disponible. Sauf qu’il existe une alternative : Si nous utilisions les milliers d’ingrédients cosmétiques déjà disponibles, les entreprises n’auraient plus jamais à en tester sur des animaux.

    Les tests sur les animaux sont-ils toujours justifiables ?

    Certains scientifiques soutiennent qu’il est toujours nécessaire de tester des médicaments salvateurs, y compris ceux utilisés pour traiter des maladies graves car ils impliquent des processus physiologiques très complexes qui ne peuvent être étudiés que sur un animal vivant.

    Le contre-argument est que,

    même si nous partageons la plupart de nos gènes avec d’autres mammifères, nous ne sommes pas des versions plus grandes de chiens ou de singes, tout comme ils ne sont pas des versions plus petites de nous – pour cette raison, l’expérimentation animale a souvent un faible taux de réussite pour prédire les effets secondaires néfastes pour l’homme, ce qui signifie que la cruauté infligée à ces animaux n’a servi à rien […]  Lire la suite

  • Qui est en charge de votre vie ?

    Qui est en charge de votre vie ?

    Quoi que nous ayons choisi de faire dans la vie, nous l’avons choisi parce que nous nous attendions à gagner quelque chose en échange. Si je gronde un de mes enfants quand il ou elle fait quelque chose de mal, je le fais parce que je m’attends à ce qu’il/elle change de comportement.

    Lorsque je laisse les autres me dire quoi faire, je l’accepte parce que je m’attends à ce qu’ils me guident mieux que moi. Quand on se laisse distraire par tel ou tel comportement, c’est parce que je veux oublier quelque chose ou m’amuser.

    Nous faisons les choses parce que nous attendons des récompenses : bonnes ou mauvaises, plaisir ou douleur. Nous faisons des choses pour obtenir du plaisir. Nous faisons des choses pour éviter la douleur. Nous provoquons des situations qui, espérons-le, donneront ce que nous pensons vouloir ou ce dont nous avons besoin. Un bébé pleure lorsqu’il demande quelque chose. Un adulte insulte, taquine ou complimente les autres parce qu’il veut aussi quelque chose en retour.

    La plupart d’entre nous ne sont pas conscients de ce que nous faisons lorsque la douleur est impliquée. Nous ne réalisons pas que nous faisons des choses pour éviter une douleur encore plus grande.

    Laissez-moi illustrer ce point. Certaines personnes acceptent un travail qu’elles détestent ou un patron abusif parce que la peine d’être rejetée serait trop lourde. Ou parce que la douleur d’être au chômage ferait trop mal. Elles préfèrent donc supporter la douleur de leurs mauvais jours que de risquer de souffrir encore plus.

    En ce sens, nous sommes tous responsables de nos propres vies et décisions. Nous choisissons tous ce que nous avons.

    Lorsque le choix est fait consciemment, nous sommes en charge de notre vie. Lorsque nous ne sommes pas conscients que nous choisissons, nous devenons des victimes. Nous blâmons les autres. Nous pensons que le monde est contre nous.

    Dans l’exemple que j’ai mentionné ci-dessus, rester dans un tel emploi sans se rendre compte que nous choisissons de le faire, nous transforme en victimes. Nous sommes désolés pour nous-mêmes. Nous laissons les autres décider pour nous. Nous nous sentons impuissants.

    Mais il y a toujours un choix. Toujours. Même dans les pires circonstances. Même dans les plus abusives. Et chaque fois que nous choisissons, nous cessons d’être des victimes et prenons le contrôle de nos vies.

    Refusez d’être une victime de votre situation. Vous n’êtes pas votre situation. Les circonstances peuvent toujours être changées.

    Choisissez le plaisir, pas la douleur. Même si la douleur peut vous sembler familière.

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