Auteur/autrice : Nathalie BERTHET

Plus jeune, je détestais être seul. J’avais l’impression d’être du « mauvais coté » alors j’essayais toujours d’être avec des personnes différentes afin d’éviter cela. Il fut un temps, quand quelques amis étaient hors de la ville, d’autres étaient occupés, etc. Parfois j’allumais la télévision juste pour tuer le silence.

Plusieurs années plus tard j’ai décroché mon premier travail dans un SSII (société de services en ingénierie informatique). Je voyais tant de gens, je recevais tellement d’appels, eu tellement de réunions que c’est devenu trop. Après quelques années, tout ce que je voulais c’était être seul pendant quelques minutes. Je n’avais pas de temps pour moi-même, pas de temps pour le silence et la détente. J’étais de retour à la maison tellement fatigué que je n’avais plus d’énergie pour ma famille.

Aujourd’hui, j’essaye d’avoir une vie plus équilibrée. Je suis entouré de gens que j’aime et j’essaye d’avoir un équilibre entre la famille, la solitude et la socialisation. Je suppose que je suis quelque part au milieu.

Après avoir été dans les deux extrêmes, je comprends que le temps où on est seul peut être très précieux. Après tout, il y a beaucoup de choses à faire quand vous êtes seul. Les sentiments de solitude peuvent être douloureux, mais quand vous apprenez à passer de la douleur d’être seul à la joie d’être seul, votre vie toute entière changera.

Vous pouvez lutter contre la solitude en la faisant devenir votre plus beau cadeau. Voici pourquoi ..

Vous entendez votre voix intérieure

Votre voix intérieure est toujours là à dire quelque chose, mais quand votre attention est ailleurs vous ne pouvez pas l’entendre. Une fois que vous êtes seul avec votre voix intérieure vous serez en mesure d’entendre et de comprendre son message. Et généralement, elle ne parle pas pour rien.

Vous pouvez vous concentrer sur ce que vous avez à faire

Vous ne serez pas distrait par quoi que ce soit lorsque vous êtes seul et vous serez en mesure de terminer cette action qui avait besoin concentration et de créativité.

Vous pouvez ressentir l’importance de quelqu’un

Oui, la plupart du temps, vous savez ce que vous ressentez à propos d’une personne. Mais quand elle n’est pas avec vous, vous aurez la chance de sentir à quel point elle vous manque, à quel point elle est importante pour vous et à quel point il est bon de l’avoir dans votre vie.

Vous pouvez entendre le silence

Avez-vous remarqué à quel point vous êtes entouré de bruit en permanence ? Le trafic, la télévision, les téléphones qui sonnent dans le bureau, le réveil haineux du matin… Maintenant vous avez enfin la chance d’écouter le silence et en profiter.

Vous pouvez rêver

Dans le rythme effréné de la journée vous avez généralement pas le temps de rêvasser. Maintenant que vous êtes seul, vous pouvez visiter vos rêves, les visualiser et éventuellement se rapprocher de leur réalisation.

Vous pouvez lire

Regarder des films / écouter un disque / etc. avec des amis est amusant! Discuter d’événements / de personnes et de livres est aussi amusant. Mais lire un livre (ou un blog) est quelque chose que vous devez faire seul. Les moments seuls sont parfaits pour prendre votre livre et en profiter!

Vous pouvez recharger les batteries

Très probablement, vous ne voudriez pas être seul tout le temps. Mais maintenant lorsque vous l’êtes, c’est peut être le meilleur moment pour recharger votre esprit avec des pensées positives et de l’énergie afin d’être à votre meilleur quand vous êtes entouré de gens!

La prochaine fois que vous êtes seul, ne paniquez pas. Profitez de la solitude!

Chaque jour nous pouvons lire des faits divers qui nous rappellent, parfois tragiquement, que la vie ne tient qu’à un fil. Tout les jours, des millions de personnes perdent la vie de différentes manières. Pour autant, devons-nous avoir peur de la mort ?

Pas nécessairement. Par contre, ne gaspillons pas notre énergie à essayer de lutter contre la fatalité mais plutôt d’essayer d’apprivoiser la peur de la mort afin de vivre pleinement dans l’instant. Le plus simple serait de ne pas s’attacher à la vie. Non pas pour ne pas avoir peur de la perdre mais pour mieux vivre tout simplement.

Voici une petite histoire qui – je l’espère – vous permettra de comprendre que la mort est, in fine, dans l’ordre naturel des choses.

Le maître Sengai était un calligraphe talentueux et très apprécié. D’autant plus que d’après les superstitions locales, il n’y aurait rien de mieux qu’une belle calligraphie pour apporter la prospérité.

Un riche marchand lui rendit visite et lui promis une forte récompense en échange d’une calligraphie prophétique capable d’apporter la prospérité dans sa famille sur plusieurs générations.

Quelques jours après Sengai lui apporta le rouleau contenant sa calligraphie la plus belle et selon lui la meilleure à même d’apporter la prospérité à la famille du riche marchand. Le marchand était ravi et s’empressa de le dérouler pour pouvoir l’admirer. Et là stupéfaction ! Le rouleau contenait les trois lignes que voici :

• Le père mourra
• Le fils mourra
• Le petit fils mourra

Le riche marchand se mit en colère. Et demanda à Sengai pourquoi voulait-il lui souhaiter la mort de toute sa famille. Où était donc le message de prospérité. Ce à quoi Sengai répondit :

« Si votre fils meurt avant vous, vous éprouvez un profond chagrin. Si votre petit fils meurt avant vous, vous auriez tous les deux le cœur brisé. – Oui c’est logique ! Si les membres de votre famille disparaissent dans l’ordre décrit, la vie se déroulera de manière naturelle. C’est ce que j’appelle la vraie prospérité. »

La mort est un état naturel, tout comme retourner chez soi après un long voyage. N’est-il pas plus heureux de mourir en accord avec le cours naturel de la vie que de subir une mort douloureuse ?

Je veux vous mettre au défi d’être vraiment conscient de vous-même aujourd’hui…

Chaque fois que vous devez prendre une décision aujourd’hui – et les jours à venir -, je veux que vous vous arrêtiez et que vous vous posiez d’abord une question…

1. « Si je prenais cette décision avec confiance ou par sentiment d’abondance, que choisirais-je de faire ? »

Si souvent, nous choisissons par peur et par sentiment de manque, et je vous promets que lorsque vous choisissez à partir de ces sentiments, vous vous dirigez sur le mauvais chemin…

Permettez-moi d’être clair…

Je sais qu’il y a des moments où tout ce que nous voyons est le manque et tout ce que nous ressentons est la peur, et je vous mets au défi de simplement regarder quelles autres options vous avez lorsque vous prenez des décisions. […]  Lire la suite

N’avez vous jamais eu un souvenir fugace de la façon dont vous vous sentiez quand vous étiez enfant ? Cette incroyable sensation de liberté et de passion pour essayer de nouvelles choses ? La vie semblait tellement excitante non ?

Pourquoi devons nous bannir le mot « Non »

Qu’est-il arrivé à votre passion ? Votre confiance? Le processus de vieillissement les a-t-il volé ? Probablement pas; le coupable le plus probable est un esprit confus. Si vous êtes comme la plupart d’entre nous, vous avez été frappé de plein fouet par plusieurs milliers de « non » entre 2 et 5 ans. A chaque fois que vous vouliez essayer de nouvelles choses et apprendre, le mot que vous avez le plus entendu était « NON! ».

Certains de ces « Non » étaient pour votre propre bien et sécurité, mais parfois, ils étaient purement arbitraires. Ce barrage implacable de « Non » à commencé à limiter votre esprit curieux et vous avez vous-même commencé à imiter vos parents en leur assenant quelques « Non » arbitraires.

Le puissance du « Oui »

Il est temps de s’élever. Il est temps de retrouvez notre passion et dire « OUI! » À la vie. Mais cela nécessite de dire « NON! » à toutes ces négations qui hurlent encore dans notre esprit.

Quand vous dites « OUI, » de belles choses se produisent. Tout comme le scintillement d’un diamant ne peut se trouver ailleurs que dans un diamant,  l’éclat de la passion et la confiance ne peuvent se trouver ailleurs qu’en vous.

Toute souffrance est causée par la non-acceptation de quelque chose. Cela peut être une pensée, un sentiment, une émotion ou une situation. Vous souffrez quand vous voulez que les choses soient différentes de ce qu’elles sont. Ce à quoi vous résistez persiste dirait Carl Jung

La plupart du temps, ce n’est pas l’expérience elle-même qui est douloureuse, mais plutôt la résistance à cette expérience. La façon dont vous étiquetez l’expérience détermine la façon dont vous vous sentez.

Nous sommes conditionnés dès notre plus jeune âge à qualifier nos expériences comme bonnes ou mauvaises. Ainsi, si vous vous sentez déprimé, votre esprit va inconsciemment étiqueter ce sentiment comme « mauvais ».

En l’absence d’étiquetage, c’est tout simplement un sentiment … vous seriez peut être mal à l’aise, mais cela ne serait pas un problème en soi. Il n’y a rien de « mal » à avoir un sentiment de tristesse … à moins que l’esprit le dit.

 

Par habitude également, l’esprit ca également associer quelque chose comme la cause de cette sensation … un(e) ami(e), le travail, la météo…

Les gens conscients éprouvent les mêmes pensées et sentiments que les autres. La seule différence est qu’ils reconnaissent qu’il n’y a rien de « mauvais » avec le sentiment d’être là. Qu’il n’y a rien de personnel … les sentiments apparaissent simplement par eux-mêmes.

La clé pour trouver la paix intérieure est de prendre conscience de tout ce à quoi vous résistez et de faire le choix conscient de garder les choses simples, comme elles le sont déjà.

Essayez de dire OUI! à chaque expérience de la vie et vous éliminerez la possibilité de souffrir. Offrez consciemment aucune résistance.

 

S’il est vrai que ce à quoi vous résistez persiste, le contraire est également vrai … à savoir que ce à quoi vous ne résistez pas se disperse.

Les états négatifs persistent parce que nous leur donnons l’importance et l’énergie pour le faire. Lorsque nous n’offrons aucune résistance, ils se fanent et disparaissent d’eux mêmes.

Dites OUI à chaque situation, dites OUI à la vie.

Combien d’efforts faut-il faire pour égayer la journée de quelqu’un ? Comme vous pourriez vous en douter… il n’en faut pas beaucoup.

Cette semaine encore, j’ai pu voir des gens avoir ce supplément de bonheur en recevant un simple emails, un appel téléphonique, un petit cadeau inattendu…

Il y a beaucoup de moyens faciles d’apporter un peu de soleil dans la journée de quelqu’un. Les possibilités sont infinies, et la plupart d’entre elles ont coût monétaire très faible. Elles demandent juste un peu de temps.

Les candidats évidents « faciles » sont la correspondance – e-mails, appels téléphoniques, lettres, cartes postales, etc. Mais si vous avez un peu plus de temps qu’un appel téléphonique ou un courriel, vous pourriez envisager de tondre la pelouse d’un voisin, déneiger leur allée ou donner un coup de râteau sur leurs feuilles pendant que vous êtes les vôtres. Comme vous le voyez, les possibilités sont infinies et les coûts sont minimes.

Coûts minimes, effets énormes

Même si ces choses ne coûtent pas beaucoup d’argent ou de temps, elles ont le pouvoir de créer un véritable « effet domino » positif.

Avez-vous déjà connu des jours où tout semblait mal commencer ? Peut-être n’y avait-il plus d’eau chaude pour la douche. Plus de café ou vous vous êtes réveillé tard et vous n’aviez plus le temps de déjeuner. Peut-être que vous étiez en retard au travail suite à un bouchon sur la route. Si vous avez déjà connu ce phénomène, vous savez à quelle vitesse la spirale peut descendre à partir d’un simple événement, apparemment sans signification.

Faire quelque chose de gentil pour quelqu’un d’autre est l’occasion d’inverser cet effet domino négatif à la fois pour celui qui en bénéficie que pour celui qui le donne. Après tout, même si le journée de travail n’est pas terrible, recevoir un bel email ou rentrer et s’apercevoir que la pelouse à été tondue peut faire la différence.

À mon avis, un des plus grands maux de la société moderne est la notion que nous sommes impuissants. Que nous ne pouvons rien faire pour changer la façon dont les choses se produisent. Que nous sommes coincés dans notre situation.

Je crois fermement que ces petits actes de bonté sont une énorme opportunité pour nous de repousser nos limites. Qu’il s’agisse d’une carte d’anniversaire pour un étranger, une pelouse tondue pour un voisin, une assiette de biscuits pour un collègue ou un e-mail à un ami, chacun de nous a à notre disposition la possibilité d’augmenter le montant total de bonheur dans le monde.

C’est ici, en ce moment, en face de nous. La seule question est, que ferons-nous avec cette possibilité ?