Nathalie BERTHET

  • Cultiver la gratitude

    Cultiver la gratitude

    Cultiver la gratitude c’est se donner les meilleurs moyens d’être heureux. Quand on veut bien les voir, la vie nous offre de multiples petits bonheurs tout au long de la journée. Il suffit simplement d’ouvrir les yeux… Voici quelques moyens simples et amusants d’adopter une attitude de gratitude.

    La boîte à bonheurs

    Vous pourrez y mettre tous les trésors qui vont constituer vos bons souvenirs : photos, tickets de musée, emballages, cartes postales… De temps en temps, vous viendrez y puiser une bouffée d’émotions.
    Les listes. […]  Lire la suite

  • Qui écoutez-vous ?

    Qui écoutez-vous ?

    Quand il s’agit de votre vie, de vos objectifs et de vos désirs… Qui écoutez-vous?

    C’est l’un des plus grands défis aujourd’hui…

    Il y a tout un tas de gens dans votre vie qui sont plus que prêts et disposés à vous donner des conseils sur ce que vous pouvez et surtout ce que vous ne pouvez pas ou ne devriez pas faire…

    Il y a d’innombrables personnes prêtes à vous protéger ou à vous orienter vers ce qui est intelligent, sensé et réaliste…

    Si souvent, ces gens écoutent vos idées et vous disent qu’elles ne fonctionneront pas, ou qu’elles ne sont pas intéressantes… […]  Lire la suite

  • Cinq façons de maximiser votre potentiel

    Cinq façons de maximiser votre potentiel

    Les gens pensent souvent que le succès ou l’échec, gagner ou perdre, se résume aux possibilités, aux capacités (certains pourraient parler de talent) d’un individu, d’une équipe, d’une organisation ou d’un groupe.

    La personne qui a le potentiel génétique pour faire une centaine de mètres en 9,8 secondes, mais ne s’entraîne jamais, ne se dépasse jamais, recherche sans cesse la facilité et se nourrit principalement en achetant sa nourriture par la fenêtre de sa voiture, ne pourra pas rivaliser avec la personne qui a un potentiel de 10.1 secondes qui recherche constamment un moyen de maximiser son potentiel, ses possibilités, sa nutrition, ses ressources… Sauf, bien sûr, si elle décide d’arrêter de perdre ce qu’il lui a été donné.

    Certains d’entre nous ont passé des années à ne pas utiliser ce que nous avons reçu. A ne pas maximiser son potentiel. Nous grattions la surface sans jamais explorer ou exploiter les ressources plus profondes. Malheureusement, l’une des lois de l’univers nous dit que nous perdons ce que nous n’utilisons pas.
    Je pourrais vous donner une centaine de raisons pour lesquelles nous le faisons, mais dans la plupart des cas, il s’agit simplement de la peur. La peur de l’échec, la peur de la douleur. La crainte de l’embarras, du jugement, du rejet, de l’inconnu, de perdre le contrôle.

    Comme la plupart des choses, ce type de comportement n’est pas quelque chose que l’on peut corriger en une journée.

    Cessez de vous inquiéter de ce que les autres pensent

    Lâchez le besoin de plaire et de se conformer. C’est épuisant et inutile. C’est votre vie, votre potentiel et vos rêves. Ne laissez pas votre insécurité, votre peur, votre ego ou des personnes saboter votre potentiel.

    Faites face à votre peur

    La soumission, la paresse et le déni sont les moyens les plus efficaces pour gaspiller votre talent. Pendant des années, j’ai côtoyé des personnes qui ont su (mentalement, émotionnellement, socialement et professionnellement) trouver le courage de poursuivre leurs rêves, de prendre des mesures, d’explorer leur potentiel et de faire face à ce qui leur fait peur.

    Soyez l’exception

    Soyez celui qui fait. Participez à la vie. Évitez de faire partie de la majorité improductive qui passe trop de temps à parler, à planification… Mieux vaut passer une vie à faire des erreurs, à en tirer des enseignements, à acquérir de l’expérience, à gagner un peu, perdre un peu et surmonter des obstacles que de rester assis sur le banc de touche, à être le spectateur de la vie.

    Arrêtez de chercher « le secret »

    Vous êtes le secret. Vous êtes la solution. Arrêtez d’avoir une confiance sans borne dans les promesses et les produits des autres mais faites vous plus confiance. Lorsque la confiance en soi et le potentiel se rencontrent, les résultats sont bien souvent explosifs !

    Brisez vos habitudes

    Faites de nouvelles choses. Faites de nouvelles expériences, Faites des choses anciennes d’une nouvelle manière. Profitez de la nouveauté, de l’inconnue. Renouveler la façon dont vous mangez, dont vous faites de l’exercice, dont vous traitez l’information. Engagez vous avez d’autres, réagissez, communiquez, travaillez, posez des questions, apprenez.

    Les mêmes actions produisent les même résultats. Si votre objectif est de produire des résultats différents (meilleurs, plus sains, plus souhaitables), vous devez faire les choses différemment.

  • Comment prendre de meilleures décisions ?

    Comment prendre de meilleures décisions ?

    Il y a une histoire d’un jeune homme qui demande à son mentor comment être un bon leader

    • Le mentor lui dit : « Pour être un leader efficace, tu dois apprendre à prendre de meilleures décisions. »
    • « Comment puis-je apprendre à prendre de meilleures décisions ? » Demanda le jeune homme.
    • « Tu as besoin de plus d’expérience. »
    • « Comment puis-je avoir plus d’expérience ? »
    • « Tu as besoin de prendre plus de mauvaises décisions. »

    Il est tentant d’attendre que tout soit parfait avant de prendre une décision et agir, mais ce n’est pas comme ça que la vie fonctionne et ce n’est pas comme ça que nous pourrons grandir.

    Faire des choix, faire quelque chose d’important représente et représentera toujours un risque. Nous pouvons faire la mauvaise chose, nous pouvons faire une erreur et nous devrons en assumer les conséquences. Mais les conséquences résultantes d’une mauvaise décision seront rarement aussi dommageables que de ne prendre aucune décision.

    Pour prendre de meilleures décisions, prenez simplement des décisions. Faites quelque chose … peu importe quoi !

    Prenez des mesures, faites des erreurs et apprenez de chaque expérience.

  • Suis-je dans la boîte ?

    Suis-je dans la boîte ?

    Est-ce que je m’interdit de découvrir le monde ? Est-ce que je me prive de vastes possibilités de développer des relations plus profondes et plus significatives avec d’autres personnes ? Est-ce que je me rend moi-même captif à l’intérieur d’une boîte exiguë ?

    Choisir de vivre à l’intérieur d’une boîte signifie que nous choisissons de vivre notre vie en nous reposant sur des hypothèses, des suppositions. Au lieu de tendre la main et poser des questions, nous prenons le chemin le plus « sûr ». C’est une façon dangereuse de vivre car elle ne laisse aucune place à la vérité et traite la paranoïa comme notre plus proche allié.

    Je suis toujours fasciné par la vie de Helen Keller. Sourd et aveugle, son interaction avec le monde était extrêmement limitée. Pouvez-vous imaginer un monde où vous ne pourriez pas lire ou entendre, un monde où vous ne pourriez pas apprendre quelque chose d’aussi fondamental que la communication ? Cela me fascine qu’Anne Sullivan (la maitresse d’Helen Keller) a réussi à briser cette coquille de peur pour préparer Helen à affronter le monde. Durant plusieurs jours, elle consacre son temps à lui esquisser des signes dans la paume de la main juste avant de lui montrer un objet.

    Ce dévouement permet à Helen d’utiliser les signes pour demander un des objets précis. C’est ainsi que la jeune fille apprit à communiquer avec le monde. Par la suite, elle lui apprend à lire, à parler et à écrire. Helen étudie à la faculté de Radcliffe et devient la première personne handicapée à obtenir un diplôme.

    Vivre hors de la boîte signifie également que nous voyons les gens là où ils sont. Au lieu de les tenir à bout de bras, nous nous précipitons vers eux afin de comprendre leurs motivations. Nous posons des questions pour apprendre, pour comprendre. Nous sommes vraiment intéressés par les gens et ce qui les motive !

    Et vous, vivez-vous hors de la boîte ?

  • Comment améliorer votre estime de soi – Les 11 techniques les plus efficaces

    Comment améliorer votre estime de soi – Les 11 techniques les plus efficaces

    Vous critiquez-vous constamment et vous comparez-vous aux autres ? Avez-vous l’impression que vous n’êtes pas assez bon dans beaucoup de choses? Souffrez-vous de doute de vous-même et d’une faible estime de vous-même, et cela interfère grandement avec votre vie? Après avoir lu cet article, vous apprendrez à appliquer les techniques les plus efficaces et pertinentes pour améliorer votre estime de soi .

    Mais je m’empresse de noter que l’expression «améliorer l’estime de soi» n’est pas entièrement correcte. Laissez-moi vous expliquer pourquoi. […]  Lire la suite

  • Les choses s’arrangent toujours à la fin

    Les choses s’arrangent toujours à la fin

    Je me plais à penser que les choses s’arrangent toujours à la fin. C’est probablement la meilleure façon de décrire ma vie. Cela ne signifie pas que rien ne se passe mal pour moi, bien au contraire. En fait, beaucoup, beaucoup de choses ont mal tourné dans ma vie et beaucoup plus de choses vont mal tourner dans l’avenir. Mais au lieu de me concentrer sur ces choses, je me concentre sur le positif.

    Je pourrais facilement me concentrer sur les problèmes à court terme. Si je suis pris dans les bouchons, ou si je ne reçois pas une augmentation, je pourrais mettre toute mon énergie pour devenir fou ou frustré, essoufflé. Mais quel serait l’intérêt ? En quoi cela va m’aider ? En rien. En fait, tout cela se traduira par une élévation de ma tension artérielle et me faire perdre mon temps précieux. Au lieu de me concentrer sur les problèmes immédiats, je décide de me concentre sur le long terme.

    Bien sûr, je suis toujours pris dans les bouchons. Mais appuyer sans relâche sur le klaxon ne fera pas bouger la voiture en face de moi. Donc, je reste dans ma voiture et profite du temps pour écouter mon CD préféré ou j’utilise ce temps pour réfléchir sur certains problèmes dans ma vie qui sont en toujours suspens. Peut-être devrais-je songer plus sérieusement à changer de voiture, de maison ou quel cadeau acheter à ma femme… Peu importe, l’idée est d’utiliser ce temps à votre avantage.

    Tout d’abord, lorsque nous sommes dans un embouteillage, je trouve que les voitures commencent à avancer beaucoup plus vite quand je me concentre sur des choses qui importent pour moi. C’est ce qu’Einstein à démontré avec sa théorie de la relativité :

    Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d’une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C’est ça la relativité – Albert Einstein

    Les choses s’arrangent toujours à la fin

    Concentrez-vous sur le long terme, sur le résultat final. Nous échouons tous à maintes reprises avant d’arriver à notre but. Mais tout au long, nous devons nous concentrer sur le positif, sur le long terme. Tout finira par s’arranger au bout du compte.

    Faites de votre mieux pour ne pas donner trop d’importance aux échecs à court terme. Apprenez d’eux mais ne les laissez pas vous freiner. Trouver le positif en eux.

    Apprenez à vivre votre vie avec la conviction que les choses fonctionnent toujours à la fin.

  • Une forêt entière sur un banc de sable

    Une forêt entière sur un banc de sable

    Dans le Nord-Est de l’Inde, se trouve la plus grande île intérieure au monde, l’île de Majuli, qui abrite plus de 150 000 personnes. Principalement en raison d’une déforestation importante, les inondations annuelles due à la mousson ont érodé une grande partie de l’île, causant d’énormes dégâts dans la région.

    En 1979 et agé de 16 ans, Jadav Payeng, a voulu inverser les choses et commença à planter des graines le long de la plage de sable, sur la côte aride de l’île. Au cours des 30 années qui ont suivies, Jadav a planté plus de 5 km2 d’arbres, créant ainsi une forêt plus grand que celle de Central Park à New York.

    Qu’est-ce qui l’a motivé ?

    Pour citer l’intéressé : « Il n’y avait pas d’arbres pour protéger ces serpents. Je me suis assis et j’ai pleuré. J’ai contacté le ministère des Forêts et leur ai demandé s’ils pouvaient planter des arbres. Ils m’ont répondu que rien ne pousserait ici et m’ont conseillé la plantation de bambous. Ce fut dur mais je l’ai fait. Et tout seul. Il n’y avait personne pour m’aider. Personne ne s’intéressait. »

    Personne d’autre ne s’y intéressait, personne ne voulait aider, mais Jadav a vu un problème, a commencé petit, a pris une action cohérente sur une longue période de temps et a créé un écosystème remarquable par lui-même.

    Depuis la création de cette forêt unique, une foule d’espèces merveilleuses – auparavant menacées – sont retournées dans la région, y compris des tigres, des rhinocéros, des cerfs, des vautours, ses reptiles bien-aimés et un troupeau de plus de cent éléphants.

    Dans un monde complexe, où les problèmes apparemment insurmontables s’accumulent, il est facile de croire qu’une personne est incapable de faire une grande différence. Mais une personne peut faire une énorme différence. Et nous avons tous la responsabilité de le faire.

    Arrêtons de nous plaindre de l’état du monde, cessons d’attendre que les autres se joignent à nous. Apportons une solution. Notre solution. Nous pouvons faire de ce monde un meilleur endroit !

    Les personnes comme Jadav Payeng ne sont pas là pour nous faire sentir bien sur l’état actuel du monde, mais pour nous inciter à faire notre part des choses, à notre niveau. Elles sont là pour nous inspirer à faire une différence positive dans le monde.

    Et vous, qu’allez-vous commencer à planter ?

    Lisez cet article pour découvrir plus de détails sur cette histoire incroyable et inspirante

  • Avez-vous le bon état d’esprit ?

    Avez-vous le bon état d’esprit ?

    Il y a quelques temps, j’ai commandé quelque chose d’un fabricant japonais. Les instructions fourni avec le produit commençaient par une phrase du genre « L’assemblage doit commencer avec une tranquillité d’esprit. » Personne – moi le premier – ne portait attention à ces mots… et bien souvent nous en avons payé le prix du manière ou d’une autre.

    Quiconque a déjà acheté un meuble en kit ou autre équipement à « monter soi même » sait de quoi je parle. Les instructions semblent assez facile sur le papier… nous sommes pressés d’assembler tout cela, nous nous précipitons, un coup de vis par ci et un autre par là… puis nous nous demandons pourquoi ces idiots ne pouvaient pas trouver de meilleures instructions. En fait, il n’y avait aucun problème avec les instructions; c’était même écrit noir sur blanc, »L’assemblage doit commencer avec une tranquillité d’esprit. », mais nous ne l’avons pas lu, pas écouté.

    La raison pour laquelle nous ne l’avons pas écouté est que nous avons tendance à regarder tout ce que nous faisons avec un oeil pratique et nous négligeons l’aspect métaphysique; ce qui concerne tout ce qui se passe au-delà de la logique. La logique, par définition, ne peut aller beaucoup plus loin. Elle peut nous aider à définir ce que nous voulons faire et nous dire le «comment» nous pouvons le faire. C’est seulement une petite partie de l’ensemble du tableau et ne prend pas en compte le facteur déterminant pour la qualité du produit fini.

    La logique, sans métaphysique, est froide, insensible, n’a aucun sens de l’esthétique ni de ce qui est bon. De nombreuses choses ont été dites sur la métaphysique, rien n’a jamais été prouvé scientifiquement. Pour autant, les observations déductives montrent que cela fonctionne. La métaphysique a un effet tangible sur ce que nous faisons.

    Pourquoi avons-nous besoin de la paix de l’esprit ?

    Pourquoi la sérénité de l’esprit est essentiel pour assembler un barbecue, une bicyclette, écrire un article ou toute autre chose que nous pourrions décider de faire ? Pour répondre à cette question de manière adéquate, nous devons nous pencher sur une faille dans la culture occidentale où une division a été créée entre sujet et objet; une division entre ce que l’homme est ce que l’homme fait.

    Séparer ce qu’un homme est et ce qu’un homme fait revient à ignorer une partie de l’histoire. Ce que nous faisons est une extension de ce que nous sommes; Par conséquent, les deux sont inséparables. Et selon cette logique, la qualité de notre état d’esprit déterminera la qualité de tout ce que nous allons faire. C’est une chose que nous savons instinctivement; mais que nous avons tendance à ignorer la plupart du temps.

    Avec la paix de l’esprit, nous faisons qu’un avec ce que nous faisons; nous allons faire de notre mieux. Toute forme d’irritabilité, d’anxiété ou de tension se verra dans le résultat final. Cela pourra bien sûr être acceptable, mais en dessous de notre potentiel réel.

    Il ne faut que quelques instants pour libérer l’esprit, mais ces instants sont cruciaux ; ils sont nécessaires pour se connecter complètement avec ce que nous sommes sur le point de le faire. Chaque chose que nous faisons contribue à ériger l’édifice que nous construisons et que nous appelons plus communément notre vie…

    Nous nous précipitons à travers la vie … la plupart du temps nous sommes seulement à moitié conscient … nous agissons par habitudes. Quand cela ne suffit pas, nous prenons des pilules et des boissons alcoolisées pour atteindre un état approprié d’inconscience nous permettant de continuer à faire ces choses que nous n’aimons pas faire. Cela n’a pas à être de cette façon. Nous pouvons et devons mener une vie significative en faisant un travail significatif … mais nous devons nous le rappeler de temps en temps. Espérons que ces mots feront office de rappel pour vous !

  • Quand serez-vous enfin prêt ?

    Quand serez-vous enfin prêt ?

    J’ai eu une conversation intéressante l’autre jour…

    Je parlais avec un ami d’une connaissance commune qui se diversifie enfin avec sa propre entreprise de conseil après des années à travailler pour quelqu’un d’autre…

    Alors que nous parlions de cela, il m’a dit : « Penses-tu qu’il est prêt ? »

    J’y ai réfléchi une seconde et voici ce que j’ai dit…

    « Je ne pense pas qu’il sera prêt tant qu’il ne l’aura pas fait… »

    Pensons-y un instant…. […]  Lire la suite

kaizen