Auteur/autrice : Nathalie BERTHET

Chaque fois que vous vous sentez nerveux au sujet de la tâche en face de vous… Chaque fois que vous vous sentez intimidé par l’avenir… Chaque fois que vous avez peur de prendre un risque … Rappelez-vous ce que Michael Johnson, l’un des plus grands sprinteurs de tous les temps, nous dit : « La peur n’est rien de plus que l’ombre d’une grande opportunité. »

Cette peur que vous ressentez vous dit que vous êtes sur la bonne voie. Elle vous prépare pour ce qui vous attend. C’est l’ombre d’une grande opportunité de changer le monde, de faire un travail remarquable ou de se rapprocher de vos objectifs.

Cette peur est inévitable si vous voulez réussir. Cela pourrait la peur avant un entretien d’embauche, une présentation publique, un premier diner avec la personne qui fait battre votre coeur…

Embrasser ce sentiment et imaginer l’avenir magnifique qui vient vers vous lorsque vous surmontez les obstacles en face de vous.

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi de mauvaises choses nous arrivent ? Je me suis posé cette questions à plusieurs reprises mais je ne peux pas dire que j’ai su trouver la réponse. Je suppose que je ne suis pas assez sage pour comprendre cela mais je suis sûr d’une chose : chaque événement, chaque situation, chaque problème ou opportunité a toujours une cause.

Dans notre cas, nous avons toujours deux choix. On peut croire que les « choses nous arrivent » et attribuer cette cause à un événement externe (comme une mauvaise économie, des parents sévères, un conjoint insensible, un patron stupide…) ou nous pouvons nous considérer comme un élément de cette cause et accepter la pleine responsabilité de tout ce qui se passe dans notre vie, peu importe si c’est bon ou mauvais.

La première option offre plus d’attrait à court terme. Après tout, il est facile de penser que tout ce qui nous arrive n’est pas de notre faute. Il est facile de jouer le rôle de victime et de recevoir une tape affectueuse sur l’épaule, avec un sourire sympathique et quelques conseils pour nous «encourager».

Cependant, dans une perspective à long terme, blâmer quelqu’un ou quelque chose pour vos malheurs n’est pas productif. Dès que vous devenez victime de circonstances, vous n’avez que deux principales options : Les fuir ou subir les conséquences.

Aucune de ces options ne semble particulièrement inspirante. Être une victime n’est pas facile. Il en résulte beaucoup de souffrance émotionnelle, physique et mentale.

Accepter la responsabilité de tout ce qui vous arrive peut-être une pilule difficile à avaler. Mais c’est le seul moyen de prendre le contrôle de votre vie.

Comment voyez-vous votre vie ?

Croyez-vous que vous pouvez vous changer ainsi que les circonstances ? Ou vous sentez-vous souvent impuissant et piégé dans vos propres problèmes et situations négatives ? Vous sentez-vous à l’aise à l’idée d’être ce que vous êtes ?

Vous considérez-vous comme une personne optimiste ? Ou préférez-vous vous préparer pour le pire résultat possible pour éviter de vous sentir déçu si les choses ne fonctionnent pas comme prévues ?

Avez-vous des objectifs à long terme et une vision claire de votre avenir ? Ou préférez-vous ne pas planifier à l’avance, parce que vos projets ne se réalisent jamais ?

La vie n’est ni un long fleuve tranquille ni une éternelle bataille. C’est notre pensée qui la rend ainsi.

Si vous êtes fatigué de vous inquiéter de ce que demain vous apportera … si vous ne voulez plus vivre dans la peur et l’incertitude … si vous en avez marre que d’autres personnes prennent des décisions pour vous… Il est temps d’abandonner toutes les excuses et de reprendre le contrôle de votre vie.

Voici 3 étapes que vous pouvez suivre pour faire cela :

1. Acceptez que vous soyez le seul responsable de votre vie. Je sais qu’il est déjà assez difficile d’accepter la responsabilité des problèmes que nous devons affronter, sans parler des situations que nous ne pouvions pas prédire ou contrôler.

La vérité est que vous pouvez tout faire bien, avoir de bonnes pensées, être une personne attentionnée et devoir faire face à des difficultés et des obstacles sur notre chemin.

2. Concentrez-vous sur les solutions, pas sur les problèmes. Au lieu de pointer les problèmes du doigt, de vous soucier de vos malheurs ou de vous torturer avec des questions du type « pourquoi moi ? », concentrez votre réflexion sur la recherche d’une solution et la modification de la situation. C’est une bien meilleure utilisation de votre énergie.

3. Apprenez de vos leçons. Les psychologues du monde entier continuent de constater que les problèmes sont la motivation la plus forte pour notre croissance personnelle. Lorsque tout va bien, nous avons tendance à nous détendre et à en profiter. Mais en faisant face à des défis, nous pouvons découvrir que nous pouvons vraiment dépasser nos limites.

Il y a toujours une leçon à tirer de chaque obstacle. Notre seule tâche est de la comprendre. Les personnes sages disent que si un certain événement se produit qu’une seule fois dans notre vie, il peut être considéré comme un accident. Un événement qui se produit deux fois est une coïncidence. Mais si la même situation se répète plusieurs fois, cela devient normale.

Quel est le problème qui continue de surgir dans votre vie ? Habituellement, nous répétons certaines actions, jusqu’à ce qu’elles deviennent une habitude. Puisque nous continuons à répéter les mêmes actions, nous nous trouvons habituellement confrontés aux mêmes problèmes.

En Chine, le lingchi – également connu comme supplice des « huit couteaux » ou « cent morceaux », parfois traduit par « mort languissante » ou « mort des mille coupures » – était un châtiment barbare infligé dans le cadre d’une condamnation à mort pour certains crimes à caractères exceptionnels comme – entre autre – une rébellion contre l’empereur ou un parricide.

J’ai récemment entendu cette expression et j’ai commencé à y penser en termes de succès et cela m’a rappelé à quel point le succès ne se produit pas d’un jour à l’autre. Au lieu de cela, le succès est le résultat de plusieurs (peut-être 1000) petites victoires réalisées au fil du temps. Cela m’encourage à me concentrer quotidiennement sur l’effort constant. Cela assurera le succès grâce à 1000 petites victoires.

Soyez encouragé à fournir des efforts quotidiens pour atteindre vos objectifs et de petits succès chaque jour. Des résultats significatifs viendront si nous prenons tout simplement soin de progresser tous les jours. Nous réussirons grâce à mille petites victoires….

Pensez à ce que vous voulez de la vie… Cela pourrait être un but par rapport à votre carrière, votre situation financière, vos relations, une compétence que vous aimeriez acquérir, la santé ou tout autre aspect de votre vie. Nommez-le maintenant. Placez-le au présent comme si cela faisait déjà partie de votre vie. Soyez précis et le plus détaillé possible. Si vous le pouvez, dites-le à voix haute. Écrivez-le… Maintenant, faites ce qu’il faut pour l’obtenir !

Certaines personnes pensent que nommer les choses est suffisant et que leurs objectifs vont magiquement apparaître juste parce qu’ils ont « envoyé » leurs rêves dans l’univers. Et certaines personnes oublient complètement de le nommer. Elles ne pas en mesure d’articuler clairement leurs ambitions, il leur est donc difficile – pour ne pas dire impossible – de faire des avancées notables vers leurs objectifs.

Si vous l’avez nommé, il est maintenant temps de le réclamer. Commencez par des pas de bébé, un pied devant l’autre.

Faites ce qu’il faut. Transpirez. Faites des erreurs et apprenez d’elles. Ignorez les critiques, les moqueries. Avancez et surmontez tous les obstacles qui se dresseront sur votre chemin.

N’abandonnez jamais, gardez votre objectif devant vous. Nommez-le, revendiquez-le, allez le chercher et changez le monde, votre monde !

Un des livres que je lis actuellement est « De quelle couleur est votre parachute ? » de Richard Bolles. Je le recommande fortement pour toute personne souhaitant faire un changement de carrière.

Dans ce livre il y a une lettre du Dr. Rich Feller, professeur à l’Université d’État du Colorado. Dans cette lettre, le Dr Feller souligne qu’il conserve une liste constamment mise à jour des dix choses qu’il veut:

• Avoir
• Faire
• Apprendre
• Donner

Pourquoi ne pas essayer cet exercice ?

Que voulez-vous avoir ?

Par cela, je ne parle pas seulement de choses superficielles, matérialistes, bien qu’il soit tout à fait correct d’avoir certaines choses matérielles sur votre liste. Mais vous pourriez aussi vouloir de meilleures relations, une meilleure santé ou une carrière plus épanouissante… Avoir ces choses écrites et pouvoir se référer à elles quotidiennement peut faire une énorme différence et vous aider à vous rapprocher de vos objectifs.

Que voulez-vous faire ?

Donnez-vous quelque chose à atteindre, quelque chose que vous ne pouvez pas terminer avant le déjeuner, mais quelque chose qui vous fait sortir de votre zone de confort et vous oblige à faire au mieux de vos capacités.

Que voulez-vous apprendre ?

Il m’a été difficile de trouver dix choses que je voulais apprendre, mais une fois que j’ai commencé, j’ai trouvé l’exercice très utile. En étant plus conscients et délibérés sur ce que vous voulez apprendre, vous aurez une prise de conscience accrue et il vous sera plus facile de chercher des occasions de développer vos compétences dans ces domaines clés de votre vie.

Que voulez-vous donner ?

Qu’avez-vous à offrir au monde ? Quelles compétences uniques avez-vous, quelles ressources avez-vous, quelles connaissances avez-vous ? Découvrez ces choses et donnez-les aux autres.

Quatre mots simples. Avoir, faire, apprendre et donner !

Que voulez-vous de la vie ? Si vous ne le savez pas, cherchez-le

Bien souvent, nous avons des mots très durs pour nous-mêmes. Certaines difficultés de la vie peuvent nous amener à penser certaines choses. Pour autant, il est essentiel de remettre en question ces pensées négatives qui, si nous ne faisons pas attention, pourrons régir notre façon de vivre.

Je suis un raté

Faire des erreurs ne fait pas de vous un raté. Cela vous rend humain. Personne n’est parfait, et je ne fais pas, de loin pas, exception à cette règle. Faire des erreurs est une partie inévitable de la vie. Je ne peux peut-être pas contrôler les obstacles qui me sont imposés, mais j’ai le contrôle de la façon dont je réagis et je leur réponds. Je peux choisir d’abandonner quand les choses deviennent difficiles ou je peux choisir de continuer à me battre. Je peux choisir de voir mes « combats » comme une malédiction ou je peux choisir de les voir comme une opportunité d’apprendre et de croitre. En aucun cas je suis un raté. Je fais le meilleur que je peux et c’est assez.

Je suis gros

La taille de mon corps ne définit pas qui je suis en tant que personne. Je ne suis pas un numéro sur l’étiquette d’un vêtement. Je vis, je respire, je ressens. Je suis une force d’amour et d’amitié. Je suis un mélange de mes objectifs, de mes valeurs, mes espoirs, mes rêves, mes passions et mon caractère. Mon poids est une petite partie de ce que je suis et il n’a pas le pouvoir de réduire ma valeur.

Si quelqu’un me juge pour la taille de mon corps ou tout autre aspect physique, il ne mérite pas d’avoir une place dans ma vie. Les gens qui comptent m’aimeront et m’accepteront indépendamment de mon physique. Parce qu’ils ne me voient pas comme mon corps, ils me voient comme la personne que je suis. Ils ne confondent pas ma valeur comme un ami et un être humain à mon apparence. Ils veulent être dans ma vie pour qui je suis et ce qu’ils ressentent lorsqu’ils sont avec moi. Pour eux, mon apparence physique n’a pas d’importance. Elle ne devrait pas en avoir pour moi non plus.

Je ne suis pas utile

En tant qu’être humain qui marche sur cette terre, j’ai une valeur inhérente. J’existe et donc je compte. J’ai une voix. J’ai des opinions et des choses à dire. J’ai une perspective unique sur la vie qui m’a été accordée par mon expérience humaine unique. J’ai une histoire à raconter; Une histoire qui peut être partagée que par moi. J’ai un ensemble individuel de forces et de compétences et le potentiel d’avoir un impact positif sur les autres. J’ai des choses importantes à offrir à ce monde et j’ai la capacité de faire une différence.

Je mérite de prendre de l’espace. Je mérite que ma voix soit entendue et mes sentiments reconnus. Je suis utile et sans mon existence, le monde ne serait pas le même. Je vaut tout autant que toute autre personne sur cette planète. Je ne suis pas une exception. Je ne l’ai jamais été et je ne le serai jamais.

Je suis une mauvaise personne

Les personnes malveillantes sont celles qui ont des intentions malveillantes. Ce sont des personnes qui abusent des animaux, des enfants, d’autres personnes et de leurs conjoints. Ce sont des personnes qui opèrent avec l’intention de causer de la douleur à d’autres. Je ne suis pas comme ces personnes.

Je peux faire des erreurs, dire et faire des choses méchantes par colère, mentir quand j’ai peur de faire face à quelqu’un ou même négliger les amis qui ont besoin de moi au moment où c’est difficile pour moi-même, mais cela ne me fait pas de moi une mauvaise personne. Cela me rend humain. Je ne suis pas parfait. Si je déçois ou blesse les autres, ce n’est pas parce que je suis devenu cruel… mes intentions restent bonnes. Tout ce que je peux faire est de reconnaître mes erreurs et d’en tirer les leçons pour faire de meilleurs choix à l’avenir.

Je ne suis pas assez bon

Ce que je suis, c’est tout ce que je suis censé être. Je n’ai besoin de l’approbation ou de la validation de personne pour me sentir bien. Je suis exactement comme je suis censé être. Je n’ai à changer pour personne. Les gens qui importent vraiment m’aimeront et m’accepteront sans conditions. Je choisis de garder ces personnes et m’éloigner des autres. Je choisis de célébrer mes défauts et d’embrasser ce qui me rend différent. Je choisis d’être moi, sans regrets, limitations ou excuses.

Personne ne m’aime

Tout simplement parce que je n’ai pas trouvé une personne capable de reconnaître ma valeur ne signifie pas que je n’en trouverai jamais. Et tout simplement parce que certaines personnes ont décidé que je ne méritai pas leur temps ou leur amitié ne signifie pas que je dois adopter leurs opinions comme ma vérité.

Choisissons de créer de nouvelles amitiés qui nous font nous sentir bien. Au lieu d’attendre que les gens nous approchent, choisissons de prendre l’initiative et d’approcher les autres. Au lieu de se fixer sur toutes les personnes qui ont quitté notre vie, choisissons de nous souvenir de toutes les personnes qui ont été à nos cotés.

Je ne vais jamais y arriver

Juste parce que je lutte en ce moment, cela ne veut pas dire que je vais me battre pour toujours. La guérison ne se produit pas du jour au lendemain. Il faut du temps, de la patience et de la persévérance. Tout ce que je peux faire est mon meilleur. C’est tout ce que je peux me demander, et c’est largement suffisant. Tant que je n’abandonne pas et que je continuerai à me battre, peu importe combien de fois j’arrive ou fais des erreurs, je peux et je vais y arriver. Si j’abandonne quand les choses deviennent difficiles, je n’arriverai jamais à ce lieu de liberté.

Donc, aujourd’hui, je choisis de continuer à me battre. Je choisis d’être patient avec moi-même et le chemin que je dois parcourir. Je choisis d’être gentil et compatissant avec moi-même pendant mes luttes. Aujourd’hui, je choisis de croire en moi-même et dans ma capacité à guérir.

Comment voyez-vous le monde en général ? Pensez-vous généralement que les gens sont impolis et égoïstes ? Ou, croyez-vous que les gens sont généreux, gentils et chaleureux?

Avez-vous l’impression que tout le monde conspire contre vous ? Ou avez-vous l’impression que d’autres sont là pour vous aider ?

Dans son livre,  Les 7 habitudes des gens très efficaces, Stephen Covey explique que lorsque vous vivez dans un monde de « manque », vous vous disputez les ressources disponibles, même lorsqu’il y en a en abondance.

Cela vous semble-t-il familier ?

Nous le voyons beaucoup dans les environnements d’entreprise. Les promotions et les augmentations sont rares. Il n’y a pas assez de femmes dans l’équipe de direction ou le conseil d’administration. Nous sommes constamment en concurrence avec des entreprises similaires, en lice pour une plus grande part de marché.

Et dans des événements récents comme la pandémie de coronavirus, nous nous précipitons pour le « dernier » rouleau de papier toilette, la « dernière » bouteille de désinfectant pour les mains, le « dernier » paquet de pâtes. Quelques jours auparavant, les étagères des magasins du pays en étaient remplies.

La peur de l’inconnu peut nous amener à penser avec un état d’esprit de manque. Un état d’esprit de manque est la conviction qu’il n’y en aura jamais assez, entraînant des sentiments de peur, de stress et d’anxiété.

D’un autre côté, un état d’esprit d’abondance découle d’un profond sentiment intérieur de valeur personnelle et de sécurité. Elle est fondée sur la conviction qu’il y en a plus qu’assez pour tout le monde.

Une mentalité d’abondance peut nous aider à soulager nos peurs et nos angoisses en ces temps incertains. Lorsque nous nous sentons en sécurité et confiants sur ce que nous avons déjà (qu’il s’agisse de suffisamment de nourriture ou de connaissances), nous canalisons un état d’esprit d’abondance.

Voici comment passer d’une mentalité de manque à une mentalité d’abondance:

Bien que l’abondance soit souvent associée à l’argent, elle ne se limite pas aux pensées financières. Il apparaît dans chaque pensée que vous pensez. Les pensées que vous avez, « les choses ne vont pas dans mon sens », « pourquoi cela m’arrive-t-il? » Ce qui peut conduire à des pensées de rareté encore plus effrayantes.

Voici quelques exemples d’un état d’esprit de manque par rapport à l’abondance:

• Quand quelqu’un vous donne un cadeau que vous n’aimez pas particulièrement, le manque dit: «Ils savent que je n’aime pas ça, je ne sais pas pourquoi ils l’ont acheté pour moi ! l’Abondance dit: «Wow, c’était tellement bien! Je ne peux pas croire qu’ils se souviennent de mon anniversaire. « 
• Lorsque vous recevez l’e-mail du recruteur vous informant qu’il passe à d’autres candidats, le manque dit: « Je n’ai pas obtenu ce poste, je ne suis pas assez bon, je n’obtiendrai jamais de travail! » Alors que l’abondance dit: «Ce n’était pas la bonne solution pour moi. Mon travail de rêve m’attend toujours. Je continuerai de chercher. « 
• En pensant à l’écart de rémunération entre les sexes, le manque dit: «Pourquoi ce gars arrive-t-il à s’asseoir et à ne rien faire et à gagner plus que moi, alors que je dois travailler deux fois plus dur pour gagner moins?» L’ abondance dit: «Je n’ai pas à travailler deux fois plus dur pour prouver ma valeur. J’apporte tellement de valeur à cette équipe. Mon travail portera ses fruits. »

Le manque dit pourquoi cela m’arrive. L’abondance montre ce qui est là pour moi.

Concentrez-vous sur ce que vous avez

Si vous ne l’avez pas encore remarqué, un état d’esprit d’abondance est toujours à la recherche de gratitude. Il s’agit de choisir de voir le positif et de se concentrer sur ce que vous avez déjà.

Lorsque vous vous concentrez sur les choses dont vous êtes reconnaissant, vous vous retirez naturellement de l’état d’esprit de rareté. La gratitude consiste à apprécier les bonnes choses de votre vie ou les leçons que vous avez apprises en cours de route, ce qui vous aide à cultiver un état d’esprit d’abondance.

Le mot appréciation signifie augmenter en valeur. Ainsi, lorsque vous vous concentrez sur les bons sentiments que vous obtenez en pratiquant la gratitude, ces sentiments positifs augmentent. Et les bonnes choses de votre vie aussi, car vous commencerez à les remarquer plus souvent.

Et quand vous remarquez les bonnes choses de votre vie, vous ne pouvez pas vous empêcher de vous sentir plus abondant.

Vous pouvez commencer par noter cinq choses dont vous êtes reconnaissant chaque nuit avant de vous coucher ou dès que vous vous réveillez le matin.

Cherchez les leçons

Lorsque nous sentons que les choses ne vont pas dans notre sens, il est facile de se laisser entraîner dans une mentalité de manque. « Je n’arrive pas à croire que cela m’arrive », « Je n’irai jamais de l’avant », « Je vais probablement perdre mon travail. »

Lorsque vous vous retrouvez dans cette spirale de manque, pensez à une leçon que vous pourriez tirer de la situation.

Y a-t-il une autre perspective que vous pouvez adopter?

Une erreur au travail a-t-elle conduit à une évaluation négative de vos performances ? Votre meilleure amie a-t-elle finalement obtenu son emploi de rêve et vous vous sentez un peu jaloux ? Avez-vous choisi de rester dans votre zone de confort au lieu de demander le salaire que vous méritez ?

Quelle leçon est là pour vous ?

Comment pouvez-vous utiliser cette situation pour grandir et vous développer en tant que personne ?

Trouver la leçon dans ces situations vous aide à passer à un état d’esprit d’abondance et à voir plus de possibilités qui s’offrent à vous.

Croyez que vous êtes assez

Je sais que c’est plus facile à dire qu’à faire. Beaucoup d’entre nous luttent avec un manque d’estime de soi. Les histoires de notre passé nous amènent à croire que nous ne sommes pas assez bons ou assez intelligents ou assez beaux pour obtenir ce que nous voulons. Ou, que ce que nous voulons est stupide, ridicule ou ne se produira jamais.

Croyez-vous que vous méritez les bonnes choses de votre vie ?

Vous sentez-vous coupable de ce que vous avez ?

Commencez par explorer ces sentiments.

Lorsque vous avez des pensées de manque, il est facile de tout voir avec ce prisme. Il est facile de croire que vous n’avez pas suffisamment d’éducation ou que vous avez besoin d’une autre certification avant de pouvoir postuler pour ce poste ou obtenir cette promotion. Il est facile de croire que vous n’obtiendrez pas le salaire que vous méritez.

Changer vos pensées pour croire que vous êtes intrinsèquement digne vous aidera à développer un état d’esprit d’abondance. Sachez que vous êtes digne du fait d’être ici, en vie. Vous méritez d’avoir tout ce que vous voulez dans le monde.

Croire que vous méritez plus ne signifie pas que quelqu’un d’autre reçoit moins. Parfois, nous pensons: « Pourquoi est-ce que je mérite cela alors qu’il y a tant de gens qui souffrent dans le monde ? »

Cette croyance implique que certaines personnes valent plus que d’autres. Que certaines personnes méritent plus que d’autres.

Et si c’est vrai, cela signifie que ces personnes sont intrinsèquement meilleures que les autres.

Croyez-vous vraiment cela ?

Au lieu de cela, changez vos pensées pour croire que tout le monde est digne. Tout le monde mérite tout dans le monde simplement parce qu’ils existent.

Oui, il y aura toujours des gens qui souffriront dans le monde. Mais vous pouvez choisir quelle partie de cette souffrance vous voulez changer.

Voulez-vous choisir la culpabilité et la comparaison parce que vous ne croyez pas que vous êtes digne de ce que vous avez ?

Ou choisiriez-vous d’utiliser vos ressources pour avoir un impact sur ceux qui souffrent ?

Il vaut mieux croire que vous êtes digne. Et ces bons sentiments vous maintiennent dans un état d’esprit abondant.

Lorsque vous pourrez voir votre vie et votre carrière depuis un endroit plus abondant, vous créerez plus d’abondance. Cela commence par un sens profond de notre propre valeur intrinsèque.

Lorsque nous pensons que nous méritons d’en avoir assez et qu’il y en a plus qu’assez pour faire le tour, cet état d’esprit d’abondance crée plus d’opportunités, plus de créativité et plus de possibilités pour nous d’avoir un impact et de faire le bien dans le monde.

Votre esprit est une force puissante. C’est votre serviteur le plus compétent, et il produira pour vous tout ce sur quoi vous vous concentrerez. Si vous êtes constamment concentré sur le manque, la rareté – si vous vous inquiétez de ne pas avoir assez d’argent – alors votre esprit créera encore plus de manque.

D’un autre côté, lorsque vous pensez constamment à l’abondance et que vous concentrez vos pensées sur les dons que vous avez déjà et sur la façon dont vous pouvez en faire le meilleur usage, votre esprit contribuera à créer l’abondance pour vous. Lorsque vous considérez la vie comme prospère, elle sera prospère.

Rien de ce qui vous est extérieur n’a le pouvoir de vous rendre heureux ou malheureux. Votre bonheur dépend de la façon dont vous choisissez de ressentir la situation dans laquelle vous vous trouvez.

Ne tombez pas dans le piège de retarder votre bonheur en pensant: «Si je pouvais seulement avoir _______, alors je serais heureux.» Ce genre de pensée vous refusera toujours l’abondance et le bonheur que vous recherchez.

Les choses de votre vie sont là pour vous servir – vous n’êtes pas ici pour les servir. 

La peur de ne pas en avoir assez vous empêchera de voir que vous êtes déjà assez. Le secret est de cesser de se concentrer sur ce que vous n’avez pas et de changer votre conscience pour apprécier tout ce que vous êtes et tout ce que vous avez.

Pensez à ce que vous valez. Pas sur un relevé bancaire, mais en tant que personne. 

Considérez toutes les possibilités qui s’offrent à vous comme un être humain vivant et pensant. Vous êtes capable de grandeur. Votre valeur est infinie.

Que pensez-vous que vous méritez ? 

Si vous sentez que vous ne méritez pas d’être heureux, vous ne le serez pas. Si vous sentez que vous méritez de prendre ce que vous voulez au détriment des autres, cela vous empêchera également de faire l’expérience de l’abondance. 

Vous méritez le bonheur ultime, tout comme les autres. Et c’est en aidant les autres que vous vous servez ainsi que tous les autres. 

Imaginez un instant que vous possédiez tout ce que vous pourriez souhaiter – tout l’immobilier, tous les bijoux, tout l’or, toutes les voitures de luxe, maisons, bateaux, avions, guitares, qua sais-je… – tout et tout ce que vous vouliez ! 

Imaginez que tout était à votre disposition. Imaginez maintenant ce que ce serait, de posséder tout ça, s’il n’y avait pas une seule autre personne vivante dans le monde. 

Cela ne donne pas vraiment envie n’est-ce pas ?

Lorsque vous avez un désir sincère de servir les autres, plutôt que de servir les «choses» que vous pensez vouloir, alors votre abondance et votre prospérité seront illimitées.

Agissez maintenant

Pour renforcer votre état d’esprit d’abondance, prenez un journal et répondez à ces questions : Quelles histoires ou croyances ai-je en matière de manque ? Quelles histoires ou croyances ai-je en matière d’abondance? Et où sont les deux en conflit?

Pour soulager l’anxiété que vous pourriez avoir à propos de la pandémie de coronavirus, écrivez vos pensées et vos sentiments en répondant à ces questions

• Que pensez-vous quand vous pensez à des gens qui perdent leur emploi?
• Que pensez-vous quand vous entendez des histoires de gens qui achètent des choses pour les revendre à un prix plus élevé ?
• Que pensez-vous lorsque vous entendez des histoires de personnes aidant les personnes âgées à faire leurs courses ou de personnes qui lancent des pots à cagnottes virtuelles pour les barmans et les serveurs ?
• Comment cela est-il lié à votre propre peur et à votre incertitude face à la pandémie de coronavirus ?
• Comment pouvez-vous apporter plus d’abondance à la situation ?