Auteur/autrice : Nathalie BERTHET

  • Soyez l’architecte de votre avenir

    Soyez l’architecte de votre avenir

    En tant qu’architecte de votre avenir, vous avez le droit de concevoir votre vie comme vous le choisissez. Avant qu’un architecte conçoive les plan, il doit d’abord décider du style qu’il veut pour sa maison. Lorsque cette décision est prise, l’architecte peaufinera son travail jusqu’à ce qu’il arrive au niveau de perfection souhaité avant de transmettre le plan au constructeur.

    Quelle direction souhaitez vous offrir à votre vie ? Avez-vous un objectif ?

    Nous essayons tous de mener notre vie sur terre au mieux. Nos talents, nos aptitudes et notre personnalité jouent un rôle vital dans la réalisation de nos objectifs.
    Si vous pensez être ici juste pour prendre un peu d’espace, détrompez-vous.
    Tout le monde a été créé dans un but unique, vous y compris. Mais vous devez décider quel est ce but et vivre en fonction de cet objectif.

    Comment savoir quel est votre but?

    Qu’est-ce qui vous passionne? Qu’est-ce que vous aimez faire, créer, écouter? Prenez le temps d’y réfléchir quelques instants ou demandez à vos proches. Ils vous aideront à comprendre qui vous êtes et ce que vous faites le mieux.

    Libérez-vous de l’échec passé et ne vous garder pas prisonnier d’expériences antérieures négatives. Quelles que soient les erreurs que vous avez fait, toutes les mauvaises expériences que vous avez eu dans le passé vous ont amené à cet article. Il est donc temps de recommencer avec une ardoise propre.

    Décidez dès maintenant que vous allez (re)prendre le contrôle de votre vie, que vous allez être l’architecte de votre vie.  Vous décidez ce à quoi votre vie ressemble.  Que voulez-vous changer? Que voulez-vous commencer à faire? Que voulez-vous apprendre? Qui aimeriez-vous être?

    Prenez un stylo et du papier dès maintenant et écrivez toutes les choses que vous aimeriez faire ainsi que l’ordre dans lequel vous souhaitez les faire et quand vous voulez commencer.

    Travaillez sur ce plan tous les jours jusqu’à ce que vous réalisiez chaque objectif. Comme un constructeur le ferait, référer vous constamment au plan pour vous assurer que vous rester sur les rails.

    Si vous rencontrez des obstacles le long du chemin, il n’est pas nécessaire de modifier votre plan, trouvez simplement un moyen de le contourner pour atteindre les résultats que vous voulez tout en ajustant votre calendrier si nécessaire.

  • Ce que vous ressentez, ce que vous pensez, ce que vous dites, ce que vous faites

    Ce que vous ressentez, ce que vous pensez, ce que vous dites, ce que vous faites

    En 1931, Gandhi a été invité à parler au Parlement britannique. Considéré comme l’un des partisans les plus influent de l’indépendance indienne, sa visite a été accueillie avec suspicion et prudence par un parlement fermement opposé à la passion de Gandhi.

    Sans notes, Gandhi à pu parler pendant deux heures. Il parlait éloquemment et avec passion. Une fois son discours terminé, son auditoire s’est levé pour l’applaudir. C’était un moment extraordinaire pour un homme vraiment remarquable.

    Plus tard, un journaliste anglais a demandé à un des assistants de Gandhi comment il à pu être capable de parler brillamment pendant si longtemps sans aucune notes. Sa réponse fut la suivante : « Vous ne comprenez pas Gandhi. Vous voyez, ce qu’il pense est ce qu’il ressent. Ce qu’il ressent est ce qu’il dit. Ce qu’il dit, c’est ce qu’il fait. Ce que Gandhi ressent, ce qu’il pense, ce qu’il dit et ce qu’il fait sont une seule et même chose. Il n’a pas besoin de notes. »

    Si vous voulez être un leader efficace, ce que vous ressentez, ce que vous pensez, ce que vous dites et ce que vous faites doivent être alignés.

    La même chose est vraie quel que soit le domaine de votre vie. Si vous voulez être un bon parent, un communicateur efficace ou vouloir faire quelque chose de vraiment remarquable avec votre vie.

    Quand Bill Gates a prophétisé qu’un jour viendra où chaque bureau aurait un ordinateur, les gens ne le croyaient pas. Mais ses mots étaient alignés avec sa croyance, ses sentiments et il a pris des mesures massives pour y arriver.

    Et vous ? Quels sont vos objectifs ? Quel est votre message pour le monde ? Que ressentez-vous à propos de cela ? Croyez-vous que c’est possible ? Qu’en dites-vous ? Que faites-vous à propos de cela ?

    Si vous pouvez aligner tout cela, vous êtes sur le bon chemin, et vous n’aurez pas besoin de notes pour vous en rappeler.

  • Nous ne pouvons pas les abandonner

    Nous ne pouvons pas les abandonner

    Voici un extrait d’un discours prononcé par le président Obama au Parlement canadien:

    Lorsque les réfugiés échappent aux bombes et à la torture, que les migrants traversent des déserts et des mers en quête d’une vie meilleure, nous ne pouvons pas simplement regarder dans l’autre sens.

    Nous ne pouvons pas qualifier de terroristes potentiels les personnes vulnérables qui fuient les terroristes. Nous pouvons insister pour que le processus soit ordonné. Nous pouvons insister pour que notre sécurité soit préservée. Que les frontières signifient quelque chose.

    Mais dans des moments comme cela, nous sommes appelés à nous voir dans les autres, parce que nous étions tous, une fois, des étrangers. Si vous n’étiez pas étranger, vos grands-parents étaient des étrangers. Vos arrière-grands-parents étaient des étrangers.

    Ils n’avaient pas tous leurs papiers en règles. Ils tâtonnaient avec cette langue qu’il ne maitrisaient pas, ils ont du faire face à la discrimination, ils avaient des normes culturelles qui ne convenaient pas à leur pays d’accueil. À un certain moment, quelque part, votre famille était étrangère. Ainsi les mères, les pères, les enfants que nous voyons aujourd’hui, ce sont nous.

    Nous ne pouvons pas les abandonner.

    Je ne m’intéresse que très peu à la politique, mais je reste impatient de voir le jour où un dirigeant de l’un de nos principaux partis sera en mesure de prononcer un discours semblable.

    Ce n’est pas un blog politique et il ne le deviendra jamais. Ce site entier est conçu pour aider les gens à vivre une meilleure vie, une vie qui leur correspond et les aider à devenir une meilleure version d’eux même. Nous pouvons faire mieux. Nous devons faire mieux. Notre conscience future en dépend.

  • Tout ce dont vous avez besoin…

    Tout ce dont vous avez besoin…

    Combien de fois vous dites-vous que vous avez besoin de quelque chose ? « J’ai besoin d’une nouvelle paire de chaussures », « J’ai besoin de ce nouveau gadget », « J’ai besoin d’un nouveau sac à main », « J’ai besoin de plus d’argent pour être heureux »…

    Oui, il y a des moments où nous avons besoin de quelque chose. Parfois, nous avons besoin d’une nouvelle paire de chaussures ou d’un nouveau manteau pour l’hiver ou d’un café…Nous avons évidemment besoin de nourriture et d’eau, d’un toit sur notre tête, de vêtements. Nous avons également besoin d’être en bonne santé, d’amis, de relations…

    Il y a beaucoup de choses dont nous avons besoin. Mais la grande majorité des choses que nous pensons avoir besoin ne sont que des choses que nous voulons. Et, bien souvent, ce sont des choses dont nous n’avons pas besoin du tout .

    Avouons-le, nous n’avons pas besoin de la majorité de nos biens matériels pour nous sentir bien. Nous n’avons pas besoin d’une télévision dans chaque pièce de notre maison. Nous n’avons pas besoin de toute une bibliothèque remplie de livres pour montrer que nous lisons, nous pouvons tout aussi bien lire un livre et le retourner à la bibliothèque.

    Nous n’avons pas besoin de planifier chaque jour, chaque instant de nos vies. Nous n’avons pas besoin de dire « oui » à tout (apprendre à dire non si nécessaire).

    Tout ce dont vous avez besoin est de vous débarrasser de l’excès, du superflu afin que vous puissiez vous concentrer sur ce qui est vraiment important dans la vie car vous avez déjà tout ce dont vous avez besoin.

  • Savoir dire ‘Non’

    Savoir dire ‘Non’

    Même si je vante les mérites du minimalisme pour une vie épanouie, je dois avouer que j’ai un peu de mal à désencombrer mes horaires chargés. Depuis un an maintenant, je suis submergé par des engagements professionnel qui me donnent l’impression de toujours être en retard. C’est assez épuisant.

    J’apprends lentement que je ne peux pas tout faire et surtout que je ne peux certainement pas tout faire en même temps. Il y a seulement 24 heures dans une journée, 7 jours dans une semaine et – à mon plus grand désespoir – une quantité limitée d’énergie. Je devais apprendre à prioriser mon temps.

    Pourtant, je suis généralement disposé à aider toute personne qui demande mon aide. Je suis d’accord pour faire des choses alors que je sais que je ne devrais pas en raison de contraintes de temps. Apprendre à dire non est actuellement l’un de mes plus grands combats , mais j’ai la ferme intention d’y arriver.

    J’ai eu l’occasion (et le temps) de lire un livre de Léo Babauta sur le minimalisme et une phrase m’a littéralement frappée : « Une fois que vous vous êtes débarrassé des engagements non essentiels, vous êtes libre de faire les choses que vous avez toujours voulu faire. »

    Dire « Non » Plus Souvent

    J’ai ainsi appris à dire «non» aux projets pour lesquels je ne pense pas avoir le temps nécessaire pour le faire dans de bonnes conditions et en tirer quelques choses.

    L’un des premiers mots que les enfants apprennent est « Non! » Pourtant, de nombreux adultes semblent avoir perdu la capacité de le dire.

    Il n’y a rien de mal à refuser la demande de quelqu’un. Si vous êtes invité à aider un groupe de quartier, à cuire des gâteaux pour l’école, aller à une fête, ou tout autre engagement… il est tout à fait acceptable de dire que vous n’avez pas le temps.

    Bien sûr, si vous voulez le faire il n’y à pas de mal non plus. Mais ne vous laissez pas influencer par le simple fait que vous vous sentez obligé.

    Apprendre à dire «non» n’est pas seulement utile pour les demandes qui viennent d’autres personnes. Il s’agit aussi de dire «non» à vous-même. Dire «non» à votre envie de prendre un nouveau projet qui ne répond pas à vos réels besoins.

    Dire «non» lorsque vous êtes tenté de vous défiler des engagements importants que vous avez dans votre agenda. Dire «non» quand vous êtes à mi-chemin de votre objectif et quelque chose vient vous distraire.

    Nous avons généralement plus de temps que nous le pensons. Pour vous le prouver, je vous mets au défi de prendre seulement deux engagements simples cette semaine:

    Choisissez une chose que vous voulez vraiment faire (pas quelque chose que vous sentez que vous «devez» faire)

    Sortez votre agenda et de trouver une heure durant laquelle vous allez le faire.

    En ce qui me concerne, Je dois encore travailler à désencombrer mes horaires et prendre du temps pour moi et ma famille, mais les choses s’améliorent.

  • Ce que Gandhi Nous Enseigne à propos du Temps

    Ce que Gandhi Nous Enseigne à propos du Temps

    «J’ai tellement à faire aujourd’hui, je vais devoir méditer deux fois plus longtemps.» – Gandhi

    “Je n’ai pas assez de temps” doit être la plus commune excuse pour ne rien faire. C’est pourquoi nous ne faisons pas assez d’exercice, lisons pas assez de livres, n’écrivons plus…

    Demandez à n’importe quelle personne quelles sont ses priorités dans la vie et vous entendrez dans la grande majorité des cas, les mêmes réponses : la famille, la santé, une carrière enrichissante, etc. Mais si vous regardez où ces mêmes personnes du temps la semaine passée, vous observerez probablement un gros décalage.

    Malgré les « priorisations » de la santé, ils n’ont pas fait beaucoup d’exercice. Malgré l’importance de leur famille, ils n’ont pas appelé leurs parents. Malgré l’importance d’avoir une carrière épanouissante, ils travaillent plus de 40 heures par semaine pour un emploi qu’ils détestent, passant la plupart de leur journée dans des réunions stériles, répondant à des e-mails inutiles et tuant le temps sur Facebook.

    Pourquoi nos priorités ne correspondent pas à la façon dont nous passons notre temps ?

    Je ne suis pas du tout différent. Je fais – ou ai fait – exactement la même chose. Chaque minute, nous sommes confrontés à la décision de choisir sur quelle tâche nous concentrer et la grande majorité du temps, ces priorités que nous prétendons avoir passent au second plan pour d’autres choses sans importance, mais apparemment plus urgentes ou procurant un plaisir immédiat. Malheureusement, c’est la façon dont nos cerveaux sont câblés.

    Mais il y a aussi des personnes comme Gandhi. Un homme sollicité de toutes parts prenait, chaque jour, 60 minutes assis dans le silence à observer ses pensées.

    Il avait, comme nous, 24 heures par jour. Comme nous, il avait 7 jours par semaine mais il à eu le courage de prendre le temps qu’il savait nécessaire pour son succès et a su ignoré les distractions qui pouvait le distraire des ses objectifs.

    Nous disons oui à un nombre incalculable de choses sans importance. Il faut du courage pour rejeter les plaisirs immédiats que procurent Facebook, la télévision… et à faire ce que nous savons mieux pour nous.

    Cela commence par connaitre l’endroit où vous voulez aller et le temps que vous vous accordez. Puis, plus important encore, où vous ne voulez pas aller et savoir éliminer le temps perdu. Ghandi n’a probablement pas commencer à méditer pendant une heure par jour. Il a probablement commencé petit. Peut-être 5 minutes par jour.

    Et vous ? Quelle est cette chose que vous avez mise de côté parce que vous “n’avez pas eu le temps ?” Réservez cinq minutes entre le moment où vous lisez ces quelques lignes et demain pour faire un pas dans cette direction. Un simple pas. Puis prenez cinq autres minutes le jour suivant. Observez les obstacles qui vous empêchent de le faire, débarrassez-vous d’eux er regardez où tout ceci peut vous emmener.

  • Un chien ne part pas tout seul en promenade

    Un chien ne part pas tout seul en promenade

    Un chien ne part pas tout seul en promenade. Il faut que son maitre prenne un peu de temps, attrape la laisse et ouvre la porte.

    Un poisson rouge ne peut pas nager en dehors des limites de son bocal. Un canari en cage ne peut pas voler vers le ciel au-dessus de lui et un éléphant de cirque fait ses tours à la demande. Mais nous ne sommes pas des animaux en cage.

    Nous ne devrions pas nous dire quand agir, quand utiliser nos compétences ou quand faire une différence positive dans le monde qui nous entoure.

    Nous ne portons pas de laisse, nous ne sommes pas constamment enfermés dans une cage. Nos limites sont bien souvent psychologiques et souvent auto-imposées.

    Nos peurs, nos angoisses, les restrictions que nous nous imposons se basent souvent plus sur nos perceptions que sur la réalité.

    Retirez les chaînes qui vous lient. Définissez de grands objectifs et prenez des mesures concrètes.

    Arrêtez d’inventer des excuses pour ne pas faire ce que vous êtes censé faire.

    N’attendez pas d’être choisi, choisissez-vous vous même. Choisissez de vivre avec liberté, sens et créativité. Changez le monde !

  • Pourquoi l’école est dangereuse pour la créativité

    Pourquoi l’école est dangereuse pour la créativité

    Ray Bradbury est un romancier américain qui a publié plus de 600 histoires courtes et 30 livres. Il est principalement connu pour ses Chroniques martiennes, écrites en 1950 et surtout Fahrenheit 451, roman dystopique publié en 1953 et devenu depuis un classique de la science-fiction dans lequel Guy Montag, un pompier vivant aux États-Unis dans un futur lointain où les pompiers n’éteignent plus les incendies (les maisons sont recouvertes d’un enduit ignifugé). Maintenant, ils brûlent ce qui dérange : les livres. Un livre se consume à une température d’environ 233 degrés Celsius, soit 451 degrés Fahrenheit.

    Farenheit 451 a obtenu le prix Hugo du meilleur roman 1954.
    Pourquoi l’école est dangereuse pour la créativité 1

    Dans une interview accordée à James Day, ce dernier lui demande s’il était allé à l’université. Ray Bradbury a répondu :

    « Je n’ai jamais été à l’université. Je crois même que c’est très dangereux pour un écrivain. Je pense que trop de professeurs sont opiniâtres, trop snobs et trop intellectuels. L’intellect est un grand danger pour la créativité. C’est un risque terrible parce que vous commencez à rationaliser et à constituer des raisons pour lesquelles telle ou telle chose se produit u lieu de rester avec votre propre vérité fondamentale. Ce que vous êtes, ce que vous voulez être… J’ai un autocollant sur ma machine à écrire depuis 25 ans maintenant, qui dit « Ne pense pas«  »

    Il a encouragé les individus créatifs à raconter leur propre vérité. Être actif et très émotif dans leur travail. Peu importe si vous êtes écrivain, peintre, danseur, sculpteur, photographe, musicien ou quelque chose en lien avec votre nature créative, vous devez vous impliquer émotionnellement de votre travail pour faire ressortir le meilleur. Ray Bradbury croyait que la créativité était pleine de surprises et il est très important de s’en souvenir.

    Dans Fahrenheit 451, Ray Bradbury à confié que l’un de ses personnages, Guy Montag, lui faisait penser à lui-même. Et c’est la beauté de la créativité, vous pouvez faire connaître un peu de vous-même et libérer beaucoup d’émotions que vous dissimuler au monde . Dans la psychologie junguienne, l’ombre est notre «ego inconscient», des traits négatifs qui flottent en nous tous. Sentez-les et retirez-les lorsque vous êtes au fond de votre création.

    N’entrez pas dans le moule créé par l’intellect. Même en tant qu’adultes, nous avons tous de l’imagination et des fantasmes profondément enfouis en nous. Commencez par rester aligné avec votre propre vérité. Cela vous amènera à savoir qui vous êtes et qui vous voulez être.

  • Osho révèle la stratégie la plus simple pour calmer un esprit occupé et vivre dans le moment présent

    Osho révèle la stratégie la plus simple pour calmer un esprit occupé et vivre dans le moment présent

    La vie moderne peut être difficile. Il y a des examens à passer, des épreuves à affronter, des factures à payer… Et malheureusement, nous prenons trop rarement le temps de désamorcer notre stress et de calmer nos esprits.

    Pourtant, nous avons tous besoin de calme et de paix dans nos esprits. Nous avons tous besoin de vivre dans l’instant et de profiter des miracles de l’existence tant que nous sommes ici. Pour autant, et aussi efficaces soient-ils, la plupart des conseils que nous recevons pour détendre nos esprits est de méditer ou de partir en vacances.

    Alors que la méditation aide, cela va au delà que de simplement se concentrer sur votre respiration. En fait, l’un des avantages les plus puissants de la méditation est qu’il vous permet de créer un écart entre l’observateur et l’esprit.

    Selon Osho, éprouver la liberté de vos pensées est la deuxième étape de l’illumination spirituelle. Pour y parvenir, nous devons faire un pas en arrière et devenir un observateur.

    Comment se libérer de nos modèles de pensées conditionnées

    Devenez un observateur des courants de pensée qui traversent votre conscience. Tout comme quelqu’un assis à côté d’une rivière la regarde couler, asseyez-vous à côté de votre esprit et observez-vos pensées. Ne faites rien, n’intervenez pas, ne les arrêtez pas. Ne les réprimez d’aucune façon. Si une pensée arrive ne l’arrêtez pas, si elle ne vient pas, ne la forcez pas à venir. Vous devez simplement être un observateur….

    Dans cette observation simple, vous verrez et expérimenterez que vos pensées et vous êtes séparés. Celui qui observe les pensées est séparé des pensées, il est différent d’elles. Et vous en aurez conscience. Soudain, une étrange paix vous enveloppera parce que vous n’aurez plus de soucis. Vous pouvez être au milieu de toutes sortes de problèmes, mais ils ne seront pas les vôtres car vous pouvez être entouré de pensées, mais vous ne serez pas ces pensées …

    Et si vous devenez conscient que vous n’êtes pas vos pensées, la vie de ces pensées commencera faiblir, elles commenceront à s’atténuer. Le pouvoir de vos pensées réside dans le fait que vous ne les dissociez pas de vous. Aucune pensée n’est à vous. Aucune pensée ne vous définit. Vous êtes simplement témoin de ces pensées.

    Prenez du recul et regardez le travail de l’esprit

    En faisant simplement un pas en arrière, vous commencez à comprendre comment votre cerveau fonctionne. Il juge automatiquement, il décrit les choses comme noires ou blanches et peut rester coincée dans ses habitudes.

    Après un certain temps, vous commencerez à réaliser que c’est simplement un outil et, de ce fait, vous n’avez pas à croire tout ce qu’il pense.

    Apprenez à être un observateur impartial et vous commencerez à comprendre les bizarreries de votre cerveau. Cela vous donnera une liberté par rapport à votre conditionnement de penser. Laissé seul, votre esprit finira par se calmer et vous pourrez vivre dans l’instant

  • La règle des 1% : Quiconque possède cet état d’esprit dominant est voué à réussir.

    La règle des 1% : Quiconque possède cet état d’esprit dominant est voué à réussir.

    Quand vais-je réussir ? Combien de fois dois-je échouer avant d’atteindre le succès ?

    S’il est impossible de prédire l’avenir, le succès est simplement une question de persévérance… soutenu par un but précis.

    inarrêtable est le mot utilisé pour décrire une personne qui est submergée par le désir de tenir le coup et de réussir.

    Combien de fois dois-je échouer avant d’atteindre le succès ?

    Autant de fois que nécessaire

    Qu’est-ce que le 1% ?

    Le 1% représente le rêve.

    La statistique arbitraire qui détient le succès que vous méritez.

    Et si vous êtes prêt à échouer 99% du temps pour atteindre le 1%… alors vous l’aurez.

    Face à un engagement sans faille, le nombre de fois où vous tombez avant de toucher la cible devient sans importance.

    10 fois? 50 fois? Ou des centaines…

    Ce ne sont que de petits sacrifices dans le sillage d’une vision plus large.

    Maintenant, chaque fois que vous définissez vos objectifs, demandez-vous si votre objectif est digne d’être dans le 1%.

    Si vous êtes prêt à faire tout ce qu’il faut pour l’atteindre, vous êtes voué à réussir.