Auteur/autrice : Nathalie BERTHET

Bien que beaucoup de gens considèrent le bouddhisme comme une religion, la plupart des pratiquants vous diront que cela e rapproche plus d’un « mode de vie ». La méditation implique habituellement de concentrer l’esprit sur une chose en particulier, comme la respiration alors que la conscience implique de vivre et d’accepter le moment présent.

C’est une façon puissante de regarder la vie. Elle peut fondamentalement changer votre perspective sur le bonheur et la souffrance. Voici quelques unes de mes citations et citations préférées qui, je l’espère, vous inciteront ou vous aideront à changer votre perspective sur la vie.

Le vrai secret de la vie c’est d’être totalement engagé dans ce que vous faites ici et maintenant. Et au lieu de l’appeler le travail, réaliser que c’est un jeu. – Alan Watts

Ne vous inquiétez pas. Vous n’êtes pas ici par hasard. Cette forme est juste un costume pour un moment. Mais celui qui est derrière le costume, lui est éternel. Vous devez le savoir. Si vous le savez et que vous avez confiance en cela, vous n’avez pas à vous soucier de quoi que ce soit. Ce monde est plein d’amour. Et votre coeur, votre être, est plein d’amour, de paix. Vous n’avez pas à chercher un autre endroit pour trouver la paix. Il est là où vous êtes. – Mooji

Soyez prudent avec ce que vous utilisez pour alimenter vos rêves. Si vous les alimentez avec de l’inquiétude et de la peur, vous produirez des mauvaises herbes qui étoufferont votre rêve. Nourrissez-les avec de l’optimisme et des solutions et vous cultiverez le succès. Soyez toujours à l’affût des moyens de transformer un problème en une occasion d’apprendre. – Lao Tzu

La tristesse donne de la profondeur. Le bonheur donne de la hauteur. La tristesse donne racines. Le bonheur donne des branches. Le bonheur est comme un arbre qui va dans le ciel, et la tristesse est comme les racines qui descendent au centre de la terre. Les deux sont nécessaires, et plus un arbre descend bas, plus il va monter haut. Plus l’arbre est gros, plus ses racines seront grandes. En fait, c’est toujours en proportion. C’est son équilibre. – Osho

La culpabilité, le regret, la rancoeur, la tristesse et toutes les formes de non-pardon sont causés par trop de passé et pas assez de présent. – Eckhart Tolle

L’art de vivre … c’est être sensible à chaque instant, considérer chaque moment comme nouveau et unique, avoir l’esprit ouvert et pleinement réceptif. – Alan Watts

Buvez votre thé lentement et avec vénération, comme si c’était l’axe sur lequel tourne la terre du monde – lentement, uniformément, sans se précipiter vers la prochaine activité. – Thich Nhat Hanh

Rien n’existe jamais seul. Tout est en relation avec tout le reste. – Bouddha

Le ciel, la terre et moi sommes de la même racine – Seng-chao

Vous devez marcher et créer la voie par votre marche; Vous ne trouverez pas un chemin tout fait. Il faut des efforts pour atteindre la réalisation ultime de la vérité. Vous devrez créer le chemin en marchant vous-même; Le sentier n’est pas encore fait mais il vous attend. C’est comme le ciel: les oiseaux volent, mais ils ne laissent aucune empreintes. Vous ne pouvez pas les suivre – Osho

Il faut être profondément conscient de l’impermanence du monde. – Dogen

La pratique du Zen est l’oubli du soi dans l’acte de s’unir avec quelque chose. – Koun Yamada

Ne supposez jamais que vous avez atteint la vérité. Ne faites aucune prétention à la connaissance. Ne formez aucune conclusion concernant la vérité. La minute où vous le faites, votre perte est assurée. Chaque fois que vous imaginez que vous savez quelque chose, vous cessez d’être ouvert à l’exploration. Vous avez fermé une porte et coupé l’oxygène nécessaire à la vérité. – Mooji

La fusion de notre attachement à soi est le médicament le plus puissant pour mettre en équilibre les déséquilibres mentaux et émotionnels. – Dzigar Kongtrul Rinpoche

Mes objectifs sont en vue et j’ai un plan pour les atteindre. Les instructions que je dois suivre sont claires car j’ai créé une carte pour moi. Être préparé me permet d’atteindre facilement mes objectifs.

Lorsque j’approche de nouveaux objectifs, j’imagine que je dessine une carte. J’imagine le but que je veux atteindre et comment y arriver. Cela me permet de voir une image complète de ce qui doit être accompli.

Il peut y avoir de nombreuses façons différentes d’atteindre le même résultat final. Peut être autant que d’êtres humains sur cette planète.

Lorsque je crée un plan pour moi-même, je prends en considération mes talents et mes capacités, le temps que je dois et peux consacrer au projet et les compétences que je peux mobiliser auprès des autres. Mon plan est le meilleur plan d’action pour moi.

Parce que j’ai pris le temps de créer un plan mûrement réfléchi, je suis convaincu que j’atteindrai mes objectifs. Je peux surmonter tous les obstacles qui peuvent survenir et je suis certain que j’atteindrai ma destination.

Comme pour tout voyage, je sais combien de temps il me faudra pour arriver là où je veux être. Créer un calendrier et noter les jalons m’aide à rester sur la bonne voie. En restant fidèle à un calendrier, je sais que ce n’est qu’une question de temps jusqu’à ce que j’atteigne mon succès.

Je me suis fixé une direction claire et j’ai l’intention de suivre le chemin que j’ai choisi même si je sais que je devrais parois faire quelques détours.

Mes objectifs sont en vue. 

En suivant ma carte personnelle vers le succès, je peux réaliser tout ce que je désire. Pour moi, suivre un chemin clairement balisé est simple.

Questions d’auto-réflexion :

Répondez à ces questions d’auto-réflexion pour découvrir si vous avez une direction claire pour atteindre vos objectifs. 

1. Ai-je créé une « carte » pour m’aider à atteindre mes objectifs ?
2. Ai-je fait l’inventaire de mes talents, désirs et obstacles ?
3. Comment puis-je créer une chronologie pour m’aider à atteindre mes objectifs ?

La vie ne trouve pas son sens à travers les choses que vous voyez à la télévision. Si tout ce que vous voulez, c’est ce que le monde vous dit de vouloir, vous vous retrouverez dans un état perpétuel de manque, de limitation et de frustration.

Il y a en vous une soif de sens. Il y a en vous un ardent désir de faire une différence et d’exprimer un but qui vous est propre.

Personne d’autre que vous ne peut vous donner ce but, car c’est quelque chose que vous avez déjà. Lâchez le besoin de nourrir votre ego superficiel et vous commencerez à vous connecter avec le but réel et significatif qui est tissé tout au long de votre vie.

Libérez-vous de la définition « standard » du succès qui n’est rien de plus qu’un fantasme vide. Au lieu de cela, trouvez le vrai succès et la joie en donnant vie à l’objectif qui a toujours été en vous.

Vous avez la possibilité, dès maintenant, de faire quelque chose aujourd’hui. Au lieu de simplement traverser cette journée, vous pouvez la vivre de telle manière qu’elle transforme positivement votre vie et votre monde.

Il y a une partie essentielle de vous qui aspire à faire une différence. Sous tous les allées et venues superficielles de la vie quotidienne, il y a un objectif qui anime votre vie.

Quoi que vous fassiez à l’extérieur, il existe un moyen d’exprimer le but qui vit à l’intérieur. Plus vous découvrez, explorez et restez connecté à ce but, plus votre vie sera riche et épanouissante.

La recherche d’expériences significatives qui enflamment nos passions peut donner un sens à l’objectif et à l’épanouissement dans nos vies.

Vous n’avez pas besoin d’un plan décennal. Vous n’avez pas besoin d’attendre d’arriver sur place ou d’attendre pour atteindre votre potentiel. Vous avez juste besoin d’être présent à chaque instant, chaque jour… – répondez simplement et objectivement à ce qui arrive, apprenez et répétez.

Considérez le rythme de votre évolution personnelle comme un cycle. C’est un processus continu de jeu et d’expérimentation de la vie, d’apprentissage, de réflexion et de réajustements. C’est une danse continue avec la vie, pas une course de vitesse.

Lorsque vous vivez d’une manière plus présente, concentrée et fluide, vous vous libérez de la paralysie du perfectionnisme, de la rigidité du besoin de savoir, de maîtriser et des tentatives désespérées de tout contrôler. 

Au lieu de cela, vous pouvez être pleinement présent à ce qui se passe réellement ici maintenant. Et puisque vous êtes pleinement présent, vous pourrez répondre à ce qui se passe avec le meilleur de qui vous êtes. 

En vivant ainsi, vous vous libérez également de toute idée de regret. Il n’y a aucun regret dans l’expérimentation et l’exploration. Juste des découvertes, des résultats et une nouvelle sagesse.

Lorsque nous nous accrochons trop étroitement à nos désirs, lorsque nous « avons besoin de savoir », nous nous raidissons, nous devenons sérieux, nous commençons à avancer, nous nous accrochons et nous devenons insatisfaits de notre situation actuelle. Nous oublions d’être ludiques, d’explorer, de prendre des risques et d’essayer de nouvelles choses. Pire encore, nous oublions d’être présents pour nos moments et nos vies.

La vie est intrinsèquement imprévisible et incertaine. Même si nous détestons l’admettre, beaucoup de choses échappent à notre contrôle. Nos plans les mieux élaborés ne donneront souvent pas les résultats escomptés malgré nos meilleurs efforts.

Je ne dis pas que vous devriez jeter tous les plans et objectifs, bien au contraire, mais il est sage de maintenir une certaine flexibilité et de faire de la vie une danse spontanée. 

Travaillez avec ce qui est juste devant vous. Décider qui vous voulez être, comment vous voulez vivre votre vie avec chaque décision, chaque conversation, chaque instant. C’est vraiment tout ce que vous devez faire.

Rappelez-vous – l’accomplissement n’est pas une destination quelque part dans le futur. L’occasion de vivre pleinement votre vie est maintenant. Dans l’instant présent.

Nul besoin de vous inquiéter car votre âme soeur n’est pas arrivée, que votre prêt immobilier n’est pas encore remboursée, que vous avez encore dix kilos à perdre. Pas besoin de lutter et de pousser votre corps et votre esprit dans leurs limites en essayant de réaliser tous les plans que vous vous êtes fixés.

Apportez simplement votre attention à ce moment. Dansez avec la vie. Jouez. Faites vos expérience, réfléchissez, ajustez vos plans, continuez à avancez et surtout, appréciez le voyage.

Vous êtes la personne que vous êtes. Votre vie est ce qu’elle est. Les choses sont comme elles sont. Vous pouvez soit accepter ces choses, soit les laisser vous rendre malheureux.

Il y a sans aucun doute beaucoup de choses que vous auriez dû faire, et bien d’autres choses que vous auriez aimé ne pas avoir faites. 

Acceptez ces choses. 

Vous ne pouvez pas les changer que vous prétendiez qu’elles se soient produites ou non.

Respirez profondément. 

Détendez-vous. 

Acceptez la personne que vous êtes. Acceptez les gens et le monde qui vous entourent.

Accepter ne signifie pas être passif. S’il y a quelque chose que vous voulez changer, prenez des mesures concrètes pour changer. 

L’acceptation ne signifie pas que vous approuvez ou soutenez quelque chose. Cela signifie simplement que vous voyez les choses, les situations et les évènements pour ce qu’ils sont. Vous les regardez objectivement.

L’acceptation vous aidera à voir clairement, à apprendre et à grandir. 

Pensez à un bébé qui apprend à marcher. Quand il trébuche et tombe, il ne devient pas déprimé, paranoïaque ou gêné. Il ne développe pas de complexe de culpabilité ou d’ulcères. 

Il n’essaie pas de faire comme si la chute n’était pas arrivée. Il se relève simplement grâce à l’objet le plus proche ou les bras de ses parents et il essaie à nouveau avec enthousiasme, acceptant le fait qu’il devra tomber plusieurs fois avant d’apprendre à marcher. 

C’est dans un environnement d’acceptation que le véritable apprentissage et la croissance ont lieu.

Apportez paix, patience, apprentissage et accomplissement dans votre vie en pratiquant l’acceptation.

Mais avant toute chose, rappelez vous que le simple acte d’acceptation de soi peut transformer radicalement votre vie. Une relation saine avec vous-même est nécessaire si vous souhaitez avoir des relations saines avec les autres.

L’une des plus grandes manifestations de l’amour est de laisser l’être aimé être lui-même. C’est aussi une grande démonstration de la maturité psychologique, bien que ce soit quelque chose de difficile à réaliser car la société nous a programmés pour «s’approprier» les « choses ». 

Dès que nous avons quelque chose, dès que nous sentons que quelque chose est à nous, nous sommes saisis par la peur de la perdre. Plus nous nous rapprochons de cette personne, plus nous l’aimons et plus cette peur augmente.

La possession implique toujours l’insécurité et une faible estime de soi. Les personnes en situation d’insécurité ont tendance à être plus possessives, elles ont beaucoup plus peur de perdre ce qu’elles ont à proximité, car, fondamentalement, elles pensent qu’elles ne le méritent pas. 

Le problème est que, plutôt que d’analyser d’où vient ce besoin de possession, on essaye de bloquer les peurs et les insécurités avec plus de contrôle.

La possession est une dynamique vraiment perverse. Vous pouvez avoir un désir de possession si grand que vous finissez par étouffer les gens que vous aimez.

Ne confondez pas l’attachement avec l’amour

La possession prend naissance dans la confusion: l’attachement est censé être l’amour. L’attachement est une émotion superficielle qui nous lie, tandis que l’amour est une émotion beaucoup plus grande, qui nous libère. 

Aimer quelqu’un, c’est le laisser libre. La possession est une forme d’attachement qui ne reflète pas l’amour, mais seulement un désir et un besoin de contrôle.

Abandonnez le besoin de contrôle

La possession naît de l’insécurité que nous essayons d’atténuer par le contrôle, car ce dernier nous offre une fausse illusion de sécurité. 

Cependant, le contrôle exercé est minime et la vie peut emporter les personnes que vous aimez. Ne dépensez pas d’énergie pour contrôler les autres: efforcez-vous d’accompagner l’autre personne en la laissant libre.

Cultivez votre « moi » 

La dépendance émotionnelle de l’autre et le désir de le contrôler découlent également de l’incapacité à satisfaire nos besoins. Lorsque notre «moi» est mature, lorsque nous avons confiance en nos capacités et sommes conscients de nos émotions, la possessivité disparaît: nous n’en avons plus besoin.

Chacun a le droit d’être ce qu’il est

Nous ne faisons pas correctement les choses lorsque nous imposons nos opinions et notre façon de faire. Ne tombez pas dans l’erreur d’essayer de les imposer: personne n’est obligé de répondre à nos attentes. 

Le plus grand cadeau que vous puissiez faire à ceux que vous aimez est de les laisser être ce qu’ils sont.

Quand le peuple craint son gouvernement, il y a de la tyrannie; quand le gouvernement craint le peuple, il y a la liberté. 

– Thomas Jefferson

Avec toutes les turbulences actuelles à travers le monde et surtout en France depuis plus d’un an maintenant, cette citation me semble plus qu’appropriée. 

Il y a eu beaucoup de débats entre certains des plus grands esprits quant au rôle d’un gouvernement. Ce débat, cependant, n’est pas le sujet de cet article.

Dans la majorité des pays, la peur du gouvernement et de ses lois impose au peuple une certaine conduite. A l’inverse, lorsque le gouvernement craint un soulèvement, existe en très peu d’endroits.

Pourquoi une bonne gouvernance est-elle si importante ?

Eh bien, avec une mauvaise gouvernance, nous obtenons un terrible gâchis. Soit les trains ne roulent pas à l’heure, soit l’économie est planifiée de manière centralisée (c’est-à-dire gâchée par une poignée de gens quelque part là-bas, qui n’ont aucune idée de ce dont les gens ont besoin ici), soit il y a des groupes dans la rue qui gardent un œil sur les gens qui élèvent la voix contre le gouvernement… La liste des façons dont un gouvernement peut mal tourner est presque sans fin.

Alors, qu’est-ce qu’une bonne gouvernance ? 

C’est un juste milieu, entre trop peu et trop de gouvernement. C’est une chose délicate, car deux personnes sont susceptibles d’être en désaccord sur au moins quelques domaines. Cela devient donc un acte d’équilibre, réparti sur une zone et dans le temps. Comme un navire ou un avion, vous vous dirigez dans la direction générale de votre destination, mais des corrections de cap sont inévitables et attendues.

Qu’avez-vous peur de faire par crainte de représailles du gouvernement ? Même quelque chose comme la vitesse pourrait être valable, si vous sentez que la limite de vitesse sur une route particulière est trop basse. Allez-vous à la mairie et demander pourquoi il y a une limite de vitesse aussi basse alors que d’autres routes avec des conditions similaires ont des limites de vitesse plus élevées.

Peut-être n’êtes-vous simplement pas satisfait de la direction que prennent les choses. Si c’est à l’école, commencez par l’association de parents d’élèves locale, impliquez-vous. Assistez aux réunions et posez des questions pointues. Faites des suggestions en proportion de la taille et de la nature du problème. Si vous ne pouvez pas obtenir satisfaction, faites-leur peur et présentez-vous aux prochaines élections afin d’avoir une voix plus importante dans le processus. Faites juste attention, si vous ennuyez suffisamment de gens, vous pourriez ne pas arriver très loin lors des élections (le pendule oscille dans les deux sens !).

Quelle que soit la chose qui vous dérange, participez, soyez la roue grinçante et si vous ne pouvez pas obtenir de satisfaction, trouvez des moyens d’obtenir plus de voix.

De nos jours, avec diverses saveurs de la démocratie qui fleurissent à travers le monde, il n’y a vraiment aucune excuse pour ne pas avoir le gouvernement que vous voulez, à part l’apathie.

Il est facile d’être positif et optimiste lorsque les choses se passent bien. Le vrai défi de vivre avec une concentration positive, c’est quand la vie commence à enchainer les problèmes. Il est beaucoup plus difficile de rester positif lorsqu’il y a des difficultés qui vous entourent.

Pourtant, c’est le moment où une perspective positive peut faire la plus grande différence.

Rester positif au milieu des troubles ne signifie pas que vous devez vivre dans un état de déni, refusant même de reconnaître vos problèmes. Au contraire, vous devez plutôt voir clairement les problèmes et toutes leurs implications et refuser de les laisser vous abattre. Ensuite, allez au-delà de cela et cherchez comment transformer le négatif en positif.

Dans chaque difficulté, il y a des opportunités. 

Pour voir cette opportunité, vous devez la chercher. Cela signifie regarder le problème clairement et objectivement, sans apitoiement sur soi ni vœux pieux.

Lorsque vous vous inquiétez de vos problèmes, cela peut vous donner le sentiment que vous faites quelque chose à leur sujet. Et en réalité, c’est ce que vous faites… vous les aggravez, vous leur donnez plus de pouvoir, vous aggravez leur influence négative par la force de vos propres pensées. 

Est-ce vraiment ce que vous voulez faire ?

Pensez à votre plus gros problème, à votre obstacle le plus difficile. 

Maintenant, trouvez quelque chose de positif à ce sujet. Imaginez un moyen de le transformer le négatif en positif dans votre vie.

Il est facile de maintenir une concentration positive. Cela ne coûte rien. Cela implique simplement un ajustement de votre attitude. 

C’est sans aucun doute un précurseur du succès et de la réussite. Alors pourquoi plus de gens ne le font pas ? 

Parce que rester négatif est confortable. S’inquiéter et se plaindre ne vous demande pratiquement aucun effort.

En revanche, voir les choses positivement vous oblige à agir, à prendre le contrôle, à prendre des responsabilités. 

Cela peut être effrayant. 

Pourtant, cela bat largement l’alternative d’aggraver vos problèmes par l’inquiétude et l’inactivité. 

Voir le positif et ensuite faire quelque chose, faire l’effort pour y arriver. Cette approche vous mènera partout où vous voulez aller.