Alan Watts nous a quitté il y a plus de 40 ans laissant derrière lui de nombreux ouvrages sur l’identité personnelle, la vraie nature de la réalité, et la poursuite du bonheur. Ses enseignements sont toujours aussi pertinents aujourd’hui qu’ils l’étaient il y a quelques décennies. Nous sommes nombreux à perpétuer ses enseignements sur le Zen et les philosophies orientales et occidentales. Pourquoi ? Parce que les questions et les complexités qu’a connu son public dans les années 60 et 70 sont les mêmes que nous rencontrons aujourd’hui. […]
Nathalie BERTHET
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Il n’est jamais trop tard
Nous avons tendance à voir la vie par sections plutôt qu’un voyage continu. Nous empilons ces sections dans un ordre que nous n’osons pas briser.
Nous nous fixons des objectifs par tranche âge, et une fois passé un certain âge, nous nous convainquons que la cible a été manquée :
- « Je suis trop vieux pour ça ».
- « Je ne peux pas reprendre mes études maintenant. »
- « Les concerts sont pour les jeunes ».
- « J’aurai aimé apprendre à jouer un instrument ».
- « Les gens vont penser que je suis fou ».
Nous sommes tous pré-programmés avec des restrictions sociales qui dictent quand nous pouvons et ne pouvons pas (ou plus) faire les choses.
Pourtant, ceux qui ont le plus de plaisirs dans leur vie sont ceux qui se libèrent de ces limitations et suivent leur intuition pour arpenter les routes qui les inspirent. […]
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Je préférerais être cendres plutôt que poussières
Jack London est l’un des premiers Américains à faire fortune dans la littérature. Il est l’auteur de nombreux récits d’aventures, dont les plus célèbres sont probablement « L’appel de la forêt » et « Croc-Blanc » qui furent adaptés à plusieurs reprises à l’écran. Parmi ces nombreuses citations, l’une nous pousse à avoir une certaine réflexion.
Je préférerais être cendres plutôt que poussière.
Je préférerais que mon étincelle s’épuise dans une flamme brillante au lieu d’être étouffée par de la pourriture sèche.
Je préfère être un météore superbe, chaque atome de moi brillant d’une incandescence magnifique, plutôt qu’être une planète endormie et permanente.
La fonction de l’humain est de vivre et non d’exister.
Je ne gaspillerai pas mes jours à essayer de les prolonger.
Je vais utiliser mon temps. […] -
Ce que le lièvre et la tortue ont en commun
Nous connaissons tous la fable du lièvre et de la tortue. Le lièvre alternait les sprints avec des temps de pause alors que la tortue a continué d’avancer pour, finalement, remporter la course.
C’est un très beau et puissant message que nous donne La Fontaine sur l’importance des petits efforts réguliers, mais il y a une chose que nous devons nous rappeler…
Peu importe la vitesse à laquelle ils ont avancé. Peu importe si, oui ou non, ils se sont arrêtés le long du chemin. Ils ont tous deux terminé la course. […]
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Comment paraitre plus mature mentalement ? 15 conseils pour être plus mature et responsable
La maturité et la responsabilité ne sont pas proportionnels à l’âge – elles sont construites par l’expérience. Ce n’est pas quand nous commençons à parler de grandes choses, mais plutôt quand nous commençons à comprendre de petites choses. Vous ne pouvez peut-être pas contrôler la situation, mais vous pouvez toujours contrôler votre attitude et la façon dont vous y faites face, c’est à ce moment que la maturité et la responsabilité se produisent.
Être mature et responsable peut être difficile, mais avec un peu d’effort et de motivation, vous verrez à quel point vous vous sentirez mieux en peu de temps. N’oubliez pas que si vous voulez être mature et sage, vous devez d’abord être jeune et stupide. […]
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Personne ne vous aimera tant que vous ne vous aimerez pas… Vraiment ?
Avant d’être aimer, tu dois t’aimer toi-même… Vraiment ? Le dalaï-lama nous dit qu’il existe deux facteurs clés du bonheur qui n’ont rien à voir avec l’auto-compassion. Mais avant de révéler ces deux facteurs, voici pourquoi les personnes qui se concentrent sur elles-mêmes sont malheureuses : Les personnes malheureuses sont généralement égoïstesDans son livre, L’art du bonheur, sa sainteté le Dalai-lama nous dit que les gens qui recherchent simplement le bonheur personnel se retrouvent plus malheureux.
En revanche, les personnes heureuses sont généralement plus sociables, flexibles et créatives et peuvent tolérer plus facilement les frustrations quotidiennes de la vie. Et, plus important encore, ils se révèlent plus aimants et plus indulgents.
Les deux facteurs clés du bonheur
Le dalaï-lama dit que le bonheur implique deux facteurs clés : avoir un but et aider les autres.
Parfois, quand je rencontre de vieux amis, cela me rappelle à quelle vitesse le temps passe. Et je me demande si nous avons utilisé notre temps correctement ou non. Une utilisation correcte du temps est importante. Avec le corps que nous avons et surtout le cerveau que nous avons, chaque minute est quelque chose de précieux. Je crois qu’une utilisation correcte du temps est la suivante: si vous le pouvez, soyez utile à d’autres personnes, d’autres êtres vivants. Sinon, veillez au moins à vous abstenir de leur nuire. C’est toute la base de ma philosophie.
Qu’est-ce qui donne un sens à nos vies ? Réfléchissons à cette question et établissons nos priorités sur la base de cette réponse. Le but de notre vie doit être positif. Nous ne sommes pas nés dans le but de causer des problèmes, de nuire aux autres. Pour que notre vie soit utile, je pense que nous devons développer des bonnes qualités humaines, des qualités fondamentales comme la gentillesse et la compassion. A ce moment là, notre vie devient significative, plus pacifique et plus heureuse. […]
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Perdez cette habitude toxique
Que ce soit de l’argent, des biens, un physique, une carrière, un statut, la gloire ou la fortune, la plupart d’entre nous trouvent nous faire presque tous les jours – nous comparer à d’autres.Nous voyons quelqu’un d’autre avec plus de ceci, mieux de cela… et nous nous sentons inférieur à lui. C’est ce que nous pourrions qualifier « d’habitude toxique » pourtant, c’est une chose que nous faisons en continu, généralement sans y penser, et qui est très néfaste pour nous.
Pourquoi ? Parce que pendant que nous sommes occupés à regarder à quel point les autres sont « beaucoup mieux », nous ne voyons plus nos propres réalisations. Nous oublions de nous contenter sur ce que nous avons déjà et c’est l’une des choses les plus toxiques que nous pouvons faire.
Adopter un mode de vie minimaliste ce n’est pas seulement désencombrer sa maison ou plier ses vêtements qu’ils entrent dans une seule valise, la minimalisme va bien au delà. C’est une façon de vivre où vous êtes satisfait de ce que vous avez. Une grande partie de cette philosophie minimaliste est d’essayer de ne pas vous comparer aux autres.
Rappelez-vous, il y aura toujours quelqu’un qui possède plus que vous. De la même façon, même la personne la plus riche au monde n’a pas une chose que vous avez. Toujours essayer d’avoir plus de choses n’a pas de sens et ne fera que conduire à une insatisfaction constante.
Vous ne pouvez pas tout avoir. Arrêtez de comparer votre vie à celle des autres personnes et commencez à vivre votre propre vie.
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Comment se fixer des objectifs ?
Un grand nombre de livres sur le développement personnel nous enseigne l’importance de coucher sur papier ses objectifs à court, moyen et long terme. Cette information est la base fondamentale des théories exposées dans ces livres. Oui mais comment faire ? Assis à son bureau entouré d’éléments distractifs liés à notre environnement professionnel ? Couché dans notre lit, le cerveau embrumé par le confort et la fatigue ? Dans sa voiture, stressé par l’incapacité des autres automobilistes à rouler convenablement?Selon mon expérience, le meilleur moyen d’avoir l’esprit éveillé et productif est la promenade. En effet, rien de tel qu’une bonne oxygénation afin de générer un flux d’idées constructives. Pendant cette marche, vous trierez les informations importantes des informations futiles.
Bien sur cela ne vient pas en une fois! Lors des premières randonnées, vous penserez probablement à tout ce qui ne va pas dans votre vie, tout ce qui vous stress. Laissez aller, ne vous forcez pas à penser à vos projets, cela viendra tout seul. une heure de marche par jour et je vous garantis une santé d’acier, des objectifs de vie clairement définis, un teint qui en rendra jaloux plus d’un (certes futile mais cela fait plaisir), et une humeur des plus agréables (quoique chez certains ce dernier point semble être une cause perdue)
Bien entendu n’oubliez pas, une fois rentré, de coucher sur papier le résultat de votre (vos) réflexion(s).
Afin d’accroitre l’efficacité de ces balades réflexives, je vous conseille vivement la balade de soirée. On démarre au crépuscule et on revient la nuit pleine. Les contrastes que vous apportent la fin de soirée génèrent (chez moi en tout cas) plus l’imagination. De plus vous y croiserez moins de monde, ce qui -pour un exercice du genre- n’est pas plus mal.
Pour résumer je dirai que la méditation en mouvement est plus efficace que la méditation statique! Cultivez l’art du mouvement!
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9 prérequis pour être heureux dans une relation amoureuse
Dans cet article, j’aimerai partager avec vous les 9 caractéristiques nécessaires pour être heureux dans une relation amoureuse selon le psychologue Otto Kernberg1. Ayez un intérêt envers les plans de vie du partenaire (cela signifie ne pas avoir un attachement destructif);
2. Confiance: Les deux partenaires doivent être ouverts et honnêtes, même dans leurs propres faiblesses;
3. La capacité de respecter l’autre n’a rien à voir avec de l’obéissance masochiste.
4. Soyez humble et reconnaissant;
5. Ayez des idées communes comme base de vie;
6. Attachement collectif : La capacité d’obtenir de l’aide (sans sentiment de honte, de peur et de culpabilité) et la capacité de trouver de l’aide; Répartition équitable des tâches, contrairement à la recherche du pouvoir, à l’accusation et à la poursuite des criminels, suivies de frustrations bilatérales;
7. Amour permanent – aimer son partenaire malgré les changements physiques.
8. Inévitabilité des pertes : Nécessité de protéger les limites des couples et aussi la jalousie. Accepter le fait que l’autre ne peut pas vous aimer comme nous l’aimons;
9. Aimer et pleurer : En cas de départ de notre partenaire, la perte nous donne l’opportunité de comprendre le rôle que notre partenaire à eu dans notre vie, ce qui nous permettra d’avoir une nouvelle réalité sans nous sentir coupable.
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Vous êtes ce que vous désirez
Chaque personne a des besoins, des envies, des aspirations. Nous désirons tous quelque chose mais ces choses diffèrent d’un individu à l’autre.Certains désirent créer quelque chose de significatif, de faire une différence dans ce monde, d’éviter le soi-disant rêve américain pour de quelque chose de mieux, de plus délibéré, une expérience de vie axée sur l’intentionnalité plutôt qu’une vie axée sur la consommation à outrance.
D’autre part, certains d’entre nous regardent la boîte à images qui trône dans nos salons et aspirent à des choses matérielles en regardant ces publicités – ces choses qui nous apportent du stress et du mécontentement si nous ne les avons pas et qui, souvent, nous poussent à atteindre un revenu particulier, nous pousse à accepter un emploi que nous n’aimons pas, que nous détestons dans le seul but de pouvoir s’offrir ces objets sans se rappeler pourquoi nous travaillons réellement.
Dans la réalité, la plupart d’entre nous désir à la fois des expériences enrichissantes et des biens matériels. Mais bien souvent, ces derniers prennent le dessus sur les premières, car, dans la grande majorité des cas, nous sommes ce que nous désirons.