Nathalie BERTHET

  • Entendez-vous l’appel de votre objectif de vie ?

    Entendez-vous l’appel de votre objectif de vie ?

    Vous vous demandez quel est le but de votre vie ? Ou vous pensez que vous le connaissez mais n’en êtes pas sûr ?

    Si l’une de ces options s’applique à vous, vous recevez un appel. C’est l’appel de l’univers pour que vous « répondez au téléphone » et de commencer à réfléchir sur votre chemin et votre mission dans cette vie.

    Vivre le but de notre vie, c’est vivre la vie de nos rêves. Lorsque nous vivons notre objectif de vie, nous sommes sur notre chemin, ce qui signifie que nous sommes dans notre passion, vivant par inspiration. Lorsque cela se produit, la vie s’écoule plus facilement.

    Pour suivre le chemin du but et de la mission, nous passons généralement par trois phases. […]  Lire la suite

  • Vivez-vous la vie que vous choisissez ?

    Vivez-vous la vie que vous choisissez ?

    La réponse est… Oui!

    Parce que ce que vous êtes, ce que vous avez et ce que vous faites sont tous le résultat des choix que vous avez faits. Vous êtes où vous êtes en ce moment à cause de ce que vous avez choisi de faire, d’être, de croire.

    Si vous n’aimez pas l’endroit où vous êtes ou la personne que vous êtes, vous allez perdre beaucoup de temps, d’efforts et d’énergie à blâmer quelqu’un ou quelque chose pour votre situation. Cependant, nous avons tous des obstacles et le succès dans la vie dépend principalement de la décision de considérer ces obstacles comme des excuses ou des défis. C’est ce qui fait toute la différence.

    Votre vie est déterminée par vos choix

    Vous pouvez choisir de rester assis toute la nuit à regarder la télévision, ou vous pouvez choisir de passer votre soirée à enrichir votre esprit, apprendre une nouvelle compétence. Vous pouvez choisir d’émousser vos sens avec des substances illicites et de l’alcool, ou vous pouvez choisir de garder votre corps en pleine forme. Vous pouvez choisir de rester tranquillement dans le coin lors d’une soirée ou de l’utiliser comme une opportunité de rencontrer des gens intéressants.

    Étonnamment, les choix les plus importants ne sont pas toujours les grands choix que nous faisons une fois tous les dix ou quinze ans. C’est l’effet cumulatif des petits choix qui fait la plus grande différence. Nous pouvons paniquer pendant des semaines ou des mois au sujet de cette école que nous devons choisir, quelle carrière poursuivre ou quelle offre d’emploi accepter. Ce sont ce que nous considérons comme des choix importants. En réalité, cependant, notre vie est davantage déterminée par les «petits» choix que nous faisons chaque jour: Dois-je faire ce coup de téléphone supplémentaire ? Devrais-je faire du bénévolat pour ce projet ? Devrais-je me présenter au nouveau chef de service ? A mes voisins ? Devrais-je prendre un autre morceau de ce gateau au chocolat ? Devrais-je éteindre ce réveil et dormir 20 minutes de plus ? Devrais-je regarder cette rediffusion d’Avatar pour la 5ème fois ?

    Les choix, pas les chances, déterminent notre destinée. Qu’est ce que vous choisissez ?

  • Si c’est important, écrivez-le !

    Si c’est important, écrivez-le !

    J’ai eu une bonne idée pour un article sur ce blog ce matin. Plus tard, dans ma voiture, j’ai pensé que je devrais peut-être l’écrire. Mais c’était un concept tellement génial, que je savais que je m’en souviendrais quand il serait temps d’écrire l’article.

    Puis les choses ont commencé à se produire. Le téléphone a commencé à sonner. Des problèmes sont apparus et ont dû être résolus. Je continuais à penser à mon idée et je savais que cela ferait un bon article. En tout cas, le sujet était bon. Puis, quelque part sur le chemin, je l’ai perdue. Peut-être reviendra-t-elle à moi, mais j’ai essayé depuis quelque temps de retracer mes pas et mes pensées, et je n’arrive pas à m’en souvenir.

    J’aurais dû l’écrire. Je le sais, parce que c’est ce que je fais habituellement. C’est juste que cette idée était si convaincante que je pensais ne jamais la perdre. Et ça m’a fait réfléchir… Combien d’autres choses se perdent ?

    Il est d’une importance vitale de garder une trace écrite des pensées et des idées importantes. Dans le monde complexe d’aujourd’hui, avec des informations qui vous arrivent toute la journée, il n’est tout simplement pas humainement possible de tout garder dans votre tête. Si c’est important, écrivez-le !

    Il y a quelque chose que je remarque à chaque fois que je reviens et que je lis ce que j’ai pu écrire il y a des années. Je réalise à quel point ma mémoire fait défaut. Puis, je suis reconnaissant d’avoir eu la clairvoyance de mettre mes idées par écrit.

    Prenez l’habitude de mettre vos pensées par écrit. Et prenez l’habitude de les relire régulièrement. Votre esprit ne peut garder autant d’informations à la fois, et il se pourrait très bien que la réponse dont vous avez besoin aujourd’hui soit quelque chose que vous pensiez il y a des mois. Garder une trace écrite de vos pensées et idées importantes vous donnera une ressource puissante et efficace pour aller là où vous désirez aller.

  • 5 leçons de bonheur de Florence Servan-Schreiber

    5 leçons de bonheur de Florence Servan-Schreiber

    Après les avoir reçus en cadeau de Noël, j’ai dévoré les livres plein de bonheur de Florence Servan-Schreiber, 3 kifs par jour et Power Patate… je m’en suis mordu les doigts de ne pas les avoir ouverts avant.

    J’avais assisté y a quelques temps maintenant à une de ses conférence sur le bonheur. L’ambiance était au rendez-vous et rien que son entrée en scène valait le détour : rendez-vous compte, elle portait une cape de super-héroïne ! Entre carte patate, éclats de rire et confidence, moi aussi j’ai bien kiffé. J’ai tout de même pris le temps de retenir pour vous 5 perles de sagesse offertes par la fabuleuse Florence : partager et offrir ce qui fait du bien, c’est ma façon à moi d’être heureuse !

    Leçon de bonheur n°1 : le bonheur ne s’oppose pas au malheur.

    Bonheur et malheur co-existent et il est vain de rechercher un bonheur parfait et sans taches (spoiler : ça n’existe pas). Il se passe des événements autour de nous auxquels nous ne pouvons rien : un accident, une maladie grave, le décès d’un proche… et parfois tout cela en même temps. Dans les temps de malheur, la tristesse, la colère, le désespoir sont bien présents et démontrent toute la rage de vivre qui existe au fond de nos cœurs et le sentiment d’injustice que nous ressentons : pourquoi nous ? pourquoi ça ? pourquoi maintenant ?

    Dans cette dynamique, le bonheur est là, lui aussi. Comme but, comme objectif, il nous interroge sur le sens que nous voulons donner à ces malheurs qui nous frappent et sur la façon dont nous l’intégrons à nos expériences passées. Le bonheur, quand nous sommes au fond du trou c’est de pouvoir se demander « comment m’en sortir ? Comment guérir ? »

    En revanche, il existe une zone délicate, la zone grise de l’indifférence confortable et apathique. C’est une zone de dépression, profonde ou non, où le moindre effort est vécu comme un obstacle infranchissable et où il est plus simple de se laisser lentement glisser. Plus rien ne nous touche, les émotions sont anesthésiées et le monde s’affadit. Voilà le principal opposant au bonheur et à la vie.

    Ressentir pleinement que nous sommes vivant•e•s, c’est faire l’expérience de tout ce qui peut constituer notre vie, dans les émotions négatives comme positives. C’est embrasser nos émotions sans les juger, c’est s’autoriser à ne pas être parfait•e mais bien perfectible : être entièrement humain•e.

    Leçon de bonheur n°2 : nous sommes responsables de notre bonheur.

    Celles et ceux d’entre vous qui ont lu les livres de Florence connaissent la recette du bonheur : la génétique compte pour 50%, les conditions extérieures pour 10% et… nous-mêmes pour 40% !

    Je vous laisse feuilleter les ouvrages pour débusquer les expériences scientifiques qui ont mené à ces chiffres mais j’aimerais souligner avec vous quelques surprises. D’abord, 10% de bonheur par tout ce qui peut se produire dans nos vies et qui ne dépend pas de nous. 10% ? Vraiment ? Alors que je viens de vous écrire juste au-dessus sur le malheur, la dépression et tout ce genre de choses ? En fait oui, car nous sommes pleinement responsables non pas de ce qui se passe autour de nous, mais bien de la façon dont nous y réagissons, dont nous interprétons les événements qui surviennent. Ce sont les fameux 40% !

    Il y a là-dessous une affaire de résilience : les gens heureux ne le sont pas parce qu’il leur arrive moins de tuiles mais parce qu’ils•elles tirent les enseignements de leurs malheurs pour rebondir plus vite. Ils•elles expérimentent, ils•elles sont curieux•ses, ils•elles continuent d’avancer.

    Leçon de bonheur n°3 : nous pouvons réussir sans (trop) d’efforts

     

    Le rapport avec la réussite ? C’est simple : en nous servant de nos 5 forces principales (notre « trousseau de clefs » ), en en faisant un usage actif, nous empruntons la voie du moindre effort vers nos objectifs. C’est que leur usage nous est si naturel qu’elles en deviennent des sources de plaisir et de bonheur inépuisables ! A l’inverse, quand un projet n’avance pas assez vite, c’est peut-être parce que nous ne mettons pas suffisamment en avant nos forces personnelles. A vous de trouver les vôtres, celles par lesquelles vous (vous) accomplissez !

    Leçon de bonheur n°4 : 3 questions de coachs

    En revanche, quand nous savons ce qui nous motive au jour le jour, ce n’est pas forcément facile de profiter des avantages de notre caractère. Voyez par exemple, je vous indiquais que mes 5 forces principales sont la capacité d’aimer et d’être aimée – gentillesse et générosité – gratitude – espoir, optimisme et anticipation du futur – curiosité et intérêt accordé au monde. Pas évident hein ?

    C’est pourquoi Florence nous a parlé de 3 questions que lui ont posé ses coachs, 3 petites questions de rien du tout et dont les réponses veulent tout dire :

    1. Quand vous sentez-vous vivante ?
    2. Qu’attendez-vous avec impatience ?
    3. De quoi êtes-vous fière ?

    Si vous vous sentez vivant•e en accomplissant quelque chose, que vous l’avez anticipé avec enthousiasme et qu’au final, vous en êtes drôlement fier•e, ne cherchez plus. C’est très précisément là où vous avez exprimé ce qui compte pour vous, ce qui est au centre de votre être, ce qui – faut-il le dire ? – vous rend heureux•se. La seule chose à faire maintenant, c’est de recommencer, et souvent !

    Leçon de bonheur n°5 : il est possible d’avoir peur du bonheur

    C’est un peu paradoxal : qui refuserait d’être pleinement heureux•se ? En fait, plein de monde. Le bonheur est simple : un sourire, une appréciation positive, un remerciement… Mais elle n’est pas facile. Qui trouve le courage de sourire alors que la douleur lui vrille le corps ? Qui trouve le courage d’espérer encore, quand le médecin vient de poser un diagnostic de maladie incurable ? Qui trouve le courage de poser un regard bienveillant sur lui•elle-même quand son passé et/ou la société lui hurlent le contraire ?

    J’insiste : le bonheur est simple et difficile à la fois. Être plus heureux•se implique de briser ses chaînes, de sortir des sentiers battus et d’explorer en dehors de notre zone de confort. Changer d’habitudes, modifier ses croyances, choisir la joie à chaque instant demande une force intérieure, un pouvoir personnel que chacun d’entre nous possédons mais que peu utilisent car la peur les retient.

    Si nous avons peur, c’est que nous pensons que nous ne sommes pas capables, que nous ne savons pas faire. La bonne nouvelle, la voici : la peur n’est rien d’autre qu’une interprétation de la réalité, qu’il est possible de modifier (je peux vous y aider !). Quand nous abandonnons nos peurs, nous pouvons réellement accomplir nos rêves : Florence vous a-t-elle déjà raconté comment elle a marché sur le feu ?

    C’était vraiment une chouette conférence, qui m’a offert l’occasion d’admirer celle qui ouvre le champ des possibles (gratitude !). Florence, en toute bonne copine qu’elle est, nous a confié à la fin de sa conférence les 10 trucs (vrai de vrai !) qui nous rendent heureux•ses :

  • savourer le moment
  • ne pas se comparer
  • ne pas faire de l’argent une priorité
  • chérir son entourage
  • kiffer et exercer sa gratitude
  • cultiver des projets personnels
  • prendre des initiatives
  • faire e l’exercice
  • donner
  • sourire
  •  […]  Lire la suite

  • Quand la pensée devient réalité

    Quand la pensée devient réalité

    Quand vous rêvez qu’il y a un danger, votre corps va réagir comme si l’événement était réel, même si le danger n’est rien de plus qu’une création de l’esprit, de votre esprit.
    Malgré le fait que vous êtes en sécurité dans votre lit, votre système nerveux passera en mode « lutte » ou « fuite ». Votre système endocrinien produira une cascade d’hormones de stress, votre rythme cardiaque, votre respiration et votre pression artérielle va augmenter, vous allez transpirer plus et vous pouvez même avoir des nausées. Du point de vue de la réponse physique, il n’y a pas de différence entre la pensée et la réalité. Votre corps étant concerné, l’événement est complètement authentique.

    Pourquoi ?

    Parce que dans certaines situations, votre psychologie déterminera votre physiologie. Votre corps ne connait pas la différence entre une croyance fondée sur l’imagination et une croyance basée sur des faits.
    Il est incroyable de voir comment une seule pensée basé sur une fausse croyance peut créer une telle réponse physiologique. C’est aussi un excellent aperçu de la puissance considérable de la relation corps/esprit.

    Pouvez-vous imaginer toutes les applications possibles et les avantages si nous pouvions apprendre à maîtriser consciemment ce potentiel pour produire des résultats physiologiques plus souhaitables, comme la guérison ?

    Se libérer de nos croyances limitantes

    Il est essentiel de trouver un façon de supprimer tous les blocs inconscients qui nous empêchent d’atteindre notre plein potentiel. Nous sommes tous conditionnés – à un âge très précoce – par nos parents, des enseignants, des pairs, des collègues de travail et par la société de nous conformer à un ensemble de règles sur la façon de vivre… Mais est-ce que ces règles vous servent dans votre meilleur intérêt ? Dans la plupart, sinon la totalité des cas, ce n’est pas le cas.

    Vos pensées et ce que vous dites déterminent votre direction ! Réfléchissons deux fois avant de nous plaindre, donnons plus que ce que nous demandons et faisons des choses qui apportent bonheur et joie dans nos vies…

    Mon esprit est un jardin, mes pensées les graines; ma récolte sera soit des fleurs, soit des mauvaises herbes – Mel Weldon

  • 5 raisons pour lesquelles nous résistons au changement

    5 raisons pour lesquelles nous résistons au changement

    Cette année fut probablement l’une des plus difficile que j’ai vécu dans mon entreprise. Non pas parce que quelque chose de terrible est arrivé, mais parce que, pendant un moment, j’étais perdu.

    Une des choses dont je suis parfois coupable est d’ignorer mon instinct. Ce qui peut sembler inhabituel vu le site dont je m’occupe. Une sorte de syndrome faites ce que je dis mais pas ce que je fais.

    Je me suis laissé emporter par une vision qui n’était pas la mienne, des valeurs qui n’étaient pas les miennes. Je me suis inévitablement retrouvé dans un endroit qui n’était pas pour moi. Au fond, je n’ai jamais arrêté d’aimer ce que je faisais, mais je me suis laisser distraire et mon objectif n’était plus clair.

    A un moment, j’ai pris conscience à quel point je me sentais « appauvri ». Je sentais qu’il était temps de prendre du recul pour réfléchir sur ce qui importait vraiment.

    Je l’ai fait et j’ai réalisé que je devais prendre des décisions difficiles à prendre. Des décisions que, à l’époque, je voulais vraiment éviter de prendre.

    Probablement par facilité, beaucoup d’entre nous se contentent de choix qui nous rendent malheureux. Je sais qu’il y a des moments où le changement semble presque impossible, mais il y a presque toujours quelque chose que nous pouvons faire pour améliorer nos vies si nous arrivons à aller au-delà des obstacles suivants:

    Se soucier de ce que les autres pensent

    Alors que je passais en revue les options dont je disposais, la seule chose qui comptait le plus pour moi était ma crédibilité. J’essaye d’aider les gens à trouver et créer leur propre chemin dans la vie – comment arriver à comprendre que j’ai perdu mon propre chemin ?

    En fin de compte, j’ai accepté que certaines personnes allaient me comprendre et d’autres non. Cela n’avait pas vraiment d’importance, parce que ce que je faisais ne me correspondait plus. La seule responsabilité que je me dois d’avoir est de vous assurer que je fais tout mon possible pour vivre une vie dont je suis fier et qui m’inspire.

    « Mieux vaut un mal connu qu’un bien qui reste à connaître »

    Nous aimons ce que nous savons. Cela nous maintient dans un environnement confortable. Nous composons même avec les choses qui ne nous plaisent pas car, au moins, elles sont familières.

    Il n’y a aucune garantie que vous serez plus heureux lorsque vous faites un changement, mais jusqu’à présent, je peux vous assurer que je n’ai jamais regretté aucun changement que j’ai pu faire. Certaines choses ont marché, d’autres non. Et quand elles n’ont pas marché, je les ai changé à nouveau.

    Ne pas savoir ce qu’on veux

    C’est une chose que j’entends souvent. C’est normal si vous n’avez pas de passion évidente ou une vision claire de ce que vous voulez de et dans votre vie. Voyez cela comme un signe positif – vous avez une belle toile blanche que vous pouvez peindre comme vous le souhaitez. Commencez simplement par explorer. Quelles sont lees choses que vous aimez ?

    Ne pas se sentir capable

    Lorsque nous nous comparons aux autres, nous avons tendance à nous concentrer sur nos lacunes plutôt que nos forces. Les autres personnes sont plus intelligentes, plus drôles, plus jolies, plus grandes, plus maigres, plus riches… La liste est sans fin. Il y aura toujours des gens avec des attributs que vous n’avez pas, mais essayez de vous concentrer sur vos points forts et, autant que vous le pouvez, chercher des façons de les faire vivre.

    Ne pas avoir l’énergie ou la motivation

    Cela nous arrive à tous de temps à autres. La différence entre ceux qui font et ceux qui parlent est tout simplement que ceux qui font…font les choses. Avec ou sans motivation. Souvent, l’énergie et la motivation viennent une fois que nous avons dépassé la procrastination et que nous nous mettons simplement au travail.

    Il suffit donc de faire une chose aujourd’hui. Une seule chose et prendre conscience que vous êtes quelqu’un qui avance malgré notre résistance naturelle au changement.

  • Les micro-objectifs

    Les micro-objectifs

    L’une des meilleures façons de connaître le succès est… de connaître le succès. Par cela, je veux dire que le succès dans la réalisation de vos objectifs est en grande partie un produit de l’élan.

    Si vous pouvez garder l’élan suffisamment longtemps, vous pouvez atteindre tous les objectifs que vous vous êtes fixés. Construire et maintenir cet élan nécessite souvent un processus graduel de définition et d’atteinte de buts de plus en plus élevés.

    C’est là que le concept de micro-objectifs peut vous aider

    Les micro-objectifs prennent le concept de «un jour à la fois» et le décomposent encore plus. Les micro-objectifs vous aideront à fixer des objectifs et les atteindre. Ceci, à son tour, vous fournira l’expérience du succès sur une base régulière et continue.

    Qu’est-ce qu’un micro-objectif ?

    C’est une petite partie, une fraction d’objectif facilement réalisable. Supposons que votre but ultime est d’écrire un livre. C’est une tâche décourageante et difficile à réaliser en un après-midi, une semaine ou même un mois. Donc, vous le divisez en micro-objectifs. Un micro-objectif pourrait être d’écrire un paragraphe dans les 5 prochaines minutes.

    C’est quelque chose que vous pouvez faire immédiatement. Votre succès dans la réalisation de ce micro-objectif viendra rapidement, et l’expérience de ce succès vous inspirera pour vous fixer un autre objectif. Peut-être un chapitre demain après-midi. Ou peut-être encore deux paragraphes dans les vingt prochaines minutes. Ces objectifs fractionnaires vous aident à atteindre votre objectif ultime. Cependant, comme ils sont rapidement atteints, ils vous évitent d’être submergés, tout en vous fournissant un retour très positive.

    La clé pour atteindre votre objectif ultime est créer des micro-objectifs de bout en bout dans une spirale ascendante. Utilisez ces micro-objectifs pour vous habituer à vous fixer et à atteindre vos objectifs, et à vous déplacer régulièrement dans la direction que vous avez choisie.

  • Comprendre et déjouer les tentatives de manipulation

    Comprendre et déjouer les tentatives de manipulation

    Découvrez tous les stratagèmes parfois utilisés par les autres pour nous manipuler, apprenez à les reconnaître, à les éviter, et à les employer vous-mêmes grâce au Petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens.

    Dans ce livre, les deux auteurs, Robert-Vincent Joule et Jean-Léon Beauvois, font la synthèse des recherches académiques sur les mécanismes de l’influence. Ils nous donnent des moyens clairs d’augmenter significativement la probabilité d’obtenir des autres ce que nous voulons.

    [Tous les chiffres cités dans le livre et dans cet article s’appuient sur des expériences scientifiques rigoureusement menées et validées par la communauté scientifique]

    I. Les pièges de l’activité de décision

    a. L’engagement

    Le concept de base de la manipulation à retenir s’appelle l’engagement.

    Après avoir pris une décision, nous avons tendance à la maintenir et à la reproduire, quand bien-même cette décision n’aurait pas les effets attendus.

    L’entêtement du président Johnson dans la guerre du Vietnam est un excellent exemple d’engagement. Il aura fallu attendre un nouveau président pour sortir de cet engagement dans la décision.

    Selon que nous sommes engagés ou non dans une décision, notre comportement sera différent. Admettons que nous sommes dans le hall d’un hôtel, et que je vous demande de garder ma valise pendant que je vais aux toilettes. Si un voleur tente de la prendre il y a 95% de chances pour que vous rattrapiez le voleur. Dans la même situation, si je ne vous avais pas demandé de garder ma valise, il n’y aurait eu que 20% de chances seulement pour que vous rattrapiez le voleur [expérience de Moriarty].

    En vous demandant explicitement un comportement, et en obtenant votre « oui », je vous ai engagé dans votre décision. Et du coup je vous ai engagé dans votre comportement.

    C’est la notion d’effet de gel: nous trouvons les raisons de notre action dans notre acte de décision et pas dans les raisons qui nous ont poussées à décider ainsi. Prendre une décision « gèle » l’univers des possibles pour ne laisser que le chemin en ligne avec la décision prise.

    [schema avec plusieurs points et des lignes]

    Il nous est donc difficile de revenir sur nos décisions. Beaucoup plus que l’on ne pourrait le croire!

    b. L’escalade d’engagement […]  Lire la suite

  • Cessez d’espérer et commencez à faire

    Cessez d’espérer et commencez à faire

    Parfois, l’espoir est une bonne chose. Comme quand vous faites un bilan complet chez votre médecin ou que vous apprenez que votre groupe préféré pourrait se réunir pour un nouvel album, une nouvelle tournée…Ou quand vous prévoyez de faire quelques travaux de jardinage et que vous voudriez vraiment quelques jours de soleil.

    Au-delà de ce types de situations, espérer peut être un véritable obstacle au changement, à la croissance et – au bout du compte – à votre succès. Alors que nous pouvons espérer que les choses iront mieux, d’autres préparent un changement dans leurs vies. Alors que nous pouvons espérer gagner au loto, d’autres se retroussent les manches et font ce que nous ne faisons pas. Alors que nous croisons les doigts en mettant notre avenir des les mains du destin, du hasard et de l’espoir…d’autres construisent consciemment et courageusement leurs vies.

    Plus de temps nous passons à espérer les choses, plus nous allons gaspiller notre temps, notre potentiel et les opportunités qui peuvent se présenter à nous. Cessons d’espérer et commençons à faire

  • Six étapes pour atteindre tous vos objectifs et vos rêves

    Six étapes pour atteindre tous vos objectifs et vos rêves

    1. Le désir :

    Quelle est l’intensité avec laquelle vous souhaitez atteindre vos objectifs?

    Moins votre désir sera ardent, plus vous pourrez abandonner en cours de route. Le point de départ de la réalisation de tout objectif est le désir. C’est comme la loi de l’attraction, si vous avez un désir fort, alors vous aurez un bon résultat.

    2. La visualisation :

    A quoi ressemblera votre réussite ? Qu’est-ce qui sera différent une fois que vous aurez atteint vos objectifs?

    Si vous voulez une certaine voiture, prenez une photo et visualisez-vous derrière le volant. Ressentez les sensations et les sentiments associés à l’accomplissement de votre rêve.

    3. La planification :

    Dressez une liste de taches quotidiennes et suivez là.

    Il est toujours sage de commencer à écrire avec l’objectif à l’esprit. La première étape pour construire une maison n’est pas la construction elle même, la première étape réside dans l’idée puis le plan. Les briques viennent après.

    Quel est votre plan pour atteindre vos objectifs?

    Votre plan est le chemin que vous allez suivre. Si vous n’avez pas réalisé l’une de vos actions pour une journée, détendez-vous et ajoutez-là à la tête de la liste du lendemain.

    4. L’engagement :

    Certains trouvent plus facile de parler à un entraîneur et se dire qu’ils ont un coach responsable de la suivi de leur objectif. Si vous n’avez pas d’entraîneur, soyez votre propre coach!

    5. L’évaluation :

    Il est important de planifier et de suivre vos progrès régulièrement. Utilisez un agenda ou un système de calendrier afin que vous puissiez suivre vos progrès quotidiennement. Si vous avez un coach, ils peuvent vous aider à vous assurer que vous êtes sur la bonne voie.

    6. La critique:

    Prêtez une attention particulière à votre auto critique. Faites-vous les progrès nécessaire pour atteindre vos objectifs ?

    Si vous ne faites pas assez de progrès, cherchez l’aide d’une personne. Il est important d’identifier les raisons qui vous empêchent d’atteindre le but que vous vous êtes fixé.

  • kaizen