Regardez attentivement et objectivement vos faiblesses et vous verrez en elles le potentiel très réel d’augmenter votre force.
Il peut être douloureux d’affronter et d’examiner vos faiblesses, et pourtant, ce faisant, vous commencerez à puiser dans la force et le pouvoir qui se cachent en elles.
La douleur que vous ressentez est la première indication que la transformation de la faiblesse en force a commencé.
Quelles choses vous retiennent ? Qu’est-ce qui vous rend vulnérable aux aléas des circonstances ? Trouvez ces choses et allez travailler dessus.
Les mêmes choses qui travaillent contre vous peuvent être modifiées afin qu’elles fonctionnent pour vous.
L’énergie qui vous retient peut être exploitée pour vous faire avancer. Imaginez simplement la puissance de cette réalité ! Imaginez-la, puis préparez-vous à la vivre.
Ayez le courage de faire face à vos lacunes, prenez l’engagement de les surmonter et les résultats seront vraiment spectaculaires.
Auteur/autrice : Nathalie BERTHET
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Je fais face à mes faiblesses
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Les défis rendent la vie intéressante
Les défis de la vie la rendent intéressante et les surmonter est ce qui rend la vie significative. Il est difficile d’échouer, mais il est pire de ne jamais essayer de réussir. Soit vous réussissez, soit vous apprenez. C’est aussi simple que cela.
Chacun d’entre nous a des défis. Lorsque vous en rencontrez, vous êtes en mesure de réévaluer vos priorités. Vous êtes capable d’évaluer vos faiblesses et vos forces. Vous êtes capable de découvrir ce que vous êtes prêt à faire pour atteindre vos objectifs et vos rêves. Chaque objectif a un prix et demande beaucoup de sacrifices.
Mais la vie ne vaut pas la peine d’être vécue si vous n’avez pas de rêves ou de buts que vous voulez atteindre. Les défis ne sont qu’une partie de votre rêve. Il y aura toujours des obstacles qui viendront vous décourager, vous faire douter. Votre seul rôle est de ne jamais céder. Ne laissez jamais une personne ou un défi vous empêcher de réaliser ce que vous espérez accomplir. Et une fois que vous aurez relevé tous les défis, vous réaliserez à quel point ils rendent votre vie intéressante parce que vous avez évolué et prêts à vivre vos rêves.
Gardez une attitude positive. Vous verrez souvent que ceux qui ont des attitudes négatives sont ceux qui ont probablement échoué à surmonter leurs défis. Ils donnent la faute aux autres pour leur sort dans la vie. La négativité peut vous faire tomber, évitez-là à tout prix. Évitez les personnes négatives. Entourez-vous de personnes positives pour rendre votre monde plus lumineux.
La différence entre une personne qui réussit et les autres n’est pas un manque de force, ce n’est pas un manque de connaissances, mais plutôt un manque de volonté pour surmonter les défis de la vie. Vous pouvez trouver le pire ennemi ou le meilleur ami en vous. J’ai été impressionné par l’urgence de faire. Savoir n’est pas suffisant. Nous devons faire quelque chose pour y arriver. Être disposé n’est pas suffisant. nous devons agir.
Les limites ne sont qu’une question d’état d’esprit. Mais si nous utilisons notre imagination, nos chances deviennent illimitées. Nous avons tendance à oublier que le bonheur ne vient pas de l’obtention de quelque chose que nous n’avons pas, mais plutôt de la reconnaissance et de l’appréciation de ce que nous avons déjà.
Les meilleures années de votre vie sont celles dans lesquelles vous décidez que vos problèmes sont les vôtres. Vous ne blâmez pas les autres. Vous réalisez que vous contrôlez votre propre destin. Notre plus grand bonheur ne dépend pas de la condition de vie dans laquelle nous sommes, mais le bonheur est toujours le résultat de notre propre travail et de nos efforts.
Nous sommes tous confrontés à des défis mais nous devons comprendre que c’est notre réponse à ces défis qui nous aident à définir qui nous sommes.
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Le pouvoir des pensées
Le pouvoir des pensées est le moyen ultime pour mettre en action la loi d’attraction. Votre vie toute entière dépend uniquement du pouvoir des pensées. De vos pensées.
Tout ce que vous désirez et obtenez dans votre vie est obtenu par le pouvoir des pensées, c’est le principe même de la loi d’attraction. Dès l’instant où vous émettez une pensée, soit une pensée positive ou bien une pensée négative, la loi d’attraction agit implacablement.
En maitrisant le pouvoir des pensées avec des pensées positives, vous allez émettre des vibrations qui vont activer la loi d’attraction en votre faveur.
Pour bien comprendre le pouvoir des pensées, vous devez absolument admettre qu’il y a un monde intérieur. Et que monde intérieur est entièrement sous votre contrôle uniquement par vos pensées. Tous les jours plus de 60 000 pensées traversent votre esprit. Tout ce que vous avez attiré dans votre vie, votre travail, vos amis, vos relations amoureuses, l’endroit et la maison où vous vivez. Tout cela est le résultat du pouvoir des pensées.
En fait, tout ce qui a était créé sur cette terre débute toujours par une pensée. Chaque invention, chaque création est le résultat du pouvoir des pensées.
Mais pour que cela fonctionne, vous devez être prêt à passer à l’action dès maintenant. Pour cela, vous devez modifier votre façon de penser en émettant le plus possible des pensées positives. Comme chaque pensée est créatrice, vous allez transformer votre monde intérieur. Et comme le monde extérieur est le reflet de votre monde intérieur, votre vie sera le résultat de votre façon de penser.
Quand vous penserez correctement et maitriserez le pouvoir des pensées, vous aurez accès au pouvoir infini de la loi d’attraction.
De plus vous devez concentrer toutes vos pensées sur ce que vous voulez et désirez obtenir avec le plus d’émotions possibles. Il est important de créer et de ressentir avec le plus d’émotions possibles.
Vous devez faire comme si…
- Comme si, vous aviez déjà votre nouvelle voiture.
- Comme si, vous aviez votre belle maison.
- Comme si, vous aviez atteint votre poids idéal.
Vous devez vous préparez à la façon d’un champion olympique qui veut obtenir une médaille d’or. Et concentrer toute vos pensées et énergie sur ce que vous désirez obtenir. Vous devez ressentir à l’intérieur de vous l’exaltation et les émotions de la réussite.
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L’illusion du contrôle et l’envie de drames
Nous faisons tous des erreurs mentales. Parfois, nous surestimons nos connaissances, parfois nous avons peur des pertes éventuelles et parfois nous croyons trop ardemment aux miracles. Certaines choses ne peuvent être évitées, mais quelque chose peut être évité. L’auteur du livre «L’art de penser clairement» Rolf Dobelli parle des erreurs les plus courantes que nous commettons.
Voici trois exemples frappants.
Notre cerveau aime le drame, pas les statistiques
«Il a fumé trois paquets de cigarettes par jour toute sa vie – et a vécu jusqu’à 100 ans. Le tabagisme ne peut donc pas être très nocif. »
Ou: «Colmar est une ville très calme. J’ai un ami qui habite la bas. Il ne ferme pas la porte du tout, même quand il part en vacances, et ils ne l’ont jamais cambriolé. »
De telles phrases semblent avoir quelque chose à prouver, mais elles ne prouvent rien. Les gens qui les disent ont un parti pris pour l’accessibilité. Nous créons notre propre image du monde sur la base des exemples les plus simples et les plus accessibles.
En raison d’un changement vers l’accessibilité, nous progressons à travers la vie, gardant dans nos têtes des notions trompeuses de dangers et de risques. Nous exagérons le risque de piloter un avion, la menace d’un accident de voiture ou le danger de mourir aux mains d’un déséquilibré. Et en même temps, nous sous-estimons la possibilité de mourir des maladies les plus courantes – disons, le diabète ou le cancer de l’estomac. Les attaques tragiques sont beaucoup moins courantes que nous ne le pensons comparativement à une grave dépression.
Impressionnant, vibrant, dramatique nous semble exagérément probable, tout à fait possible. Et l’invisible et l’inaudible ne sont presque pas perçus comme dangereux. Essayez de tourner dans l’autre sens: communiquez davantage avec les dissidents, ceux qui ont des expériences différentes et d’autres points de vue. Dans une solitude fière, nous n’avons aucune chance de corriger notre propre erreur mentale : un virage vers l’accessibilité.
L’illusion de contrôle
L’illusion de contrôle est une tendance à croire que nous sommes capables d’influencer ce qui n’est objectivement pas en notre pouvoir. Il a été découvert et décrit pour la première fois en 1965 par deux chercheurs, Herbert Jenkins et William Ward.
Leur expérience est très simple. Il y a une source lumineuse – elle s’allume et s’éteint, et deux boutons. Jenkins et Ward ont eux-mêmes établi une corrélation entre le fait d’appuyer sur les boutons et le moment où la lumière clignote. Mais les sujets ne le savaient pas, et même dans les cas où la lampe s’est allumée et s’est éteinte accidentellement, ils étaient sûrs qu’en appuyant sur les boutons, ils affectaient l’éclairage.
Nous éprouvons régulièrement l’illusion du contrôle. Par exemple, les piétons qui se promènent à Manhattan et qui souhaitent traverser la rue à l’intersection, appuyez sur le bouton des feux de circulation, ne sachant généralement pas que cela ne fonctionne pas.
Pourquoi est-ce nécessaire ?
Pour que les piétons croient qu’ils influencent la gestion du trafic. Ils tolèrent donc mieux les temps d’attente aux feux de circulation, ce qui est prouvé de manière convaincante. Même chose avec les boutons d’appel dans les grands immeubles, où il y a beaucoup d’ascenseurs: ils n’ont rien à voir avec la gestion du système. Les scientifiques appellent toutes ces astuces des «boutons placebo».
Les banquiers et les ministres de l’économie jouent sur tout un clavier composé de divers boutons et touches placebo. Et nous permettons à tous ceux qui contrôlent l’économie de vivre avec cette douce illusion – et ils nous permettent de vivre comme ça.
En effet, pour ceux qui jouent à des jeux avec contrôle et pouvoir, il est insupportable d’admettre que l’économie mondiale est un système fondamentalement incontrôlé.
Et vous ?
Contrôlez-vous votre vie ?
Probablement moins que vous ne le pensez. Par conséquent, il est préférable de se concentrer sur ce qui est vraiment en votre pouvoir, sur ce que vous pouvez vraiment influencer et, par conséquent, sur le plus important. Laissez tout le reste aller comme ça.
Aversion à la perte
Répondez à deux questions.
- Première question: qu’est-ce qui pourrait maximiser votre joie de vivre ? Peut-être votre maison de vacances sur la Côte d’Azur ? Ou gravir les échelons de carrière à l’étape suivante ?
- Et deuxièmement: pourquoi votre vie pourrait-elle empirer ? Pneumonie, maladie d’Alzheimer, cancer, dépression, guerre, une tache sur votre réputation irréprochable, effondrement financier, perte d’un meilleur ami, mort ?
Comme vous pouvez le voir: le « côté obscur » est clairement plus étendu que le « clair ». C’est parce que le monde est plus mauvais que bon. Dans notre passé évolutif, c’était encore plus brillant. Insouciance à la chasse ou tendon enflammé: les gens qui aimaient trop prendre des risques sont morts sans transférer leurs gènes aux générations futures. Les personnes prudentes ont, quant à elles, survécu. Nous sommes leurs descendants.
Sans surprise, les pertes nous semblent plus importantes que le gain. Si vous perdez 100 euros, vous serez très triste. Et cette tristesse sera plus forte que toute joie: même si quelqu’un vous donne 100 euros. La perte est perçue environ deux fois plus lourd qu’un gain de même ampleur. La science appelle cela une aversion pour la perte. La crainte d’une éventuelle perte motive beaucoup plus les gens que l’idée d’un gain possible de même ampleur.
Supposons que vous fournissiez du matériel de sécurité pour les maisons. Les clients seront plus intéressés par votre offre si vous leur dites combien d’argent ils peuvent perdre sans installer de système de sécurité, et ne vous concentrez pas sur combien ils économisent avec une bonne sécurité. Même si le montant est le même.
Cela est dû à l’aversion pour la perte, qui est commune à nous tous. Nous réagissons aux phénomènes négatifs de façon plus aiguë et plus sensible qu’aux phénomènes positifs. Nous remarquons quelqu’un d’aigri dans la rue plus rapidement qu’une personne sympathique. Les mauvaises actions sont fermement gravées dans la mémoire et durent plus longtemps que les bonnes.
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L’échec n’est pas le véritable ennemi
La plus grande erreur que vous pouvez faire dans la vie est d’avoir continuellement peur que vous allez en faire une – Elbert Hubbard
Chaque seconde qui passe est une occasion qui ne reviendra jamais. A nous de ne faire le nécessaire pour optimiser chaque instant de notre existence. Pour y arriver, il est important de garder à l’esprit que l’échec n’est pas le véritable ennemi.
Pourquoi avons-nous peur de l’échec ?
Il y a beaucoup de raisons qui font que les gens craignent l’échec – et de manière générale, ces raisons sont généralement fausses. Regardons quelques exemples :
Un certain sens de la finalité. N’avez-vous jamais pensé que si vous essayez et échouez, ce serait la fin de ce voyage pour atteindre le rêve de votre vie ? Pour autant, c’est en réalité le contraire que j’ai pu observer. Je n’arrive pas à trouver une seule chose utile que j’ai fait dans ma vie où je n’ai pas échoué au moins une fois.
Qu’est-ce que « ils/elles » vont penser ? – Beaucoup de gens craignent ce que les autres vont penser d’eux. Vous voulez en savoir un secret? Le n ° 1 regret de la mort est « Je voudrais avais eu le courage de vivre une vie fidèle à moi-même, pas les autres de la vie attend de moi. » Ainsi, vous pouvez vous en soucier maintenant si vous voulez – mais les chances sont que vous ‘ ll le regretter plus tard.
Je dois plus me préparer / faire plus de recherche – Je comprends que nous ne voulons pas faire une erreur bête en se précipitant sans être suffisamment préparer. Cependant, la vérité est que vous ne pourrez jamais être pleinement préparé et rien ne vous préparera mieux que d’essayer.
Nous craignons l’échec même quand il n’est pas le véritable ennemi. Le véritable ennemi est en train de tuer lentement vos rêves et vous ne le voyez pas. La où l’échec est généralement un simple recul temporaire – le véritable ennemi va complètement détruire vos rêves. Votre véritable ennemi est également votre plus grand atout : le temps.
Gaspillé, le temps sera votre principal ennemi. Un jour, il aura disparu – et amènera avec lui la moindre chance d’essayer de poursuivre vos rêves.
Utiliser efficacement, le temps sera votre meilleur atout. La liberté d’investir intelligemment votre temps est votre plus grande opportunitéLe temps n’est jamais à vos côtés lorsque vous avez peur de faire des erreurs, il passe sans vous avertir. Il réapparait « soudainement » quand vous vous demandez où il est passé.
Si vous prenez des mesures dès maintenant, si vous essayez même si vous ne parvenez pas au résultat escompté, vous aurez encore le temps d’essayer à nouveau.
Chaque jour, chaque instant commencera à avoir un sens dans votre vie. Commencez dès aujourd’hui
Chaque jour, vous avez le choix – que vous le réalisiez ou non.Vous pouvez voir chaque jour comme le lendemain de votre vie, ou vous pouvez chaque jour comme le premier jour du reste de votre vie.
La question n’est pas : « est-ce que vous avez eu l’opportunité ? », car oui, vous l’avez. La question est : « avec cette opportunité en face de vous, avec cette journée en face de vous, avec ce moment en face de vous…qu’allez vous faire ? «
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La graine de l’empereur : Une histoire d’intégrité
Un empereur en Chine qui n’avait pas d’enfants avait besoin de choisir un successeur. Il convoqua des milliers d’enfants de tout le royaume au palais. Ces derniers furent surpris quand l’empereur annonca qu’il allait choisir l’un d’eux.
Il leur a donné une graine. Ils devaient rentrer chez eux dans leurs villages respectifs, planter la graine dans un pot et la garder pendant un an. Quand ils reviendront l’année d’après, l’Empereur jugera leurs efforts et choisira son successeur.
Il y avait un garçon nommé Ling qui a reçu sa graine et est retourné dans son village. Sa mère l’a aidé à choisir un pot et à la mettre de la terre.
Ling arrosait son pot tous les jours. Une fois par semaine, les enfants du village se réunissent pour comparer leurs plantes. Après quelques semaines, il y avait des signes de vie dans tous les pots sauf celui de Ling.
Les semaines passèrent et Ling continua d’arroser son pot tous les jours. Après quelques mois, les pots ont vraiment pris vie. Certains avaient des arbres qui commençaient à pousser, certains avaient des fleurs et d’autres avaient des arbustes à feuilles. Le pauvre Ling n’avait toujours rien dans son pot, amenant les autres enfants à se moquer de lui.
Ling a continué à arroser son pot tous les jours.
Une année s’écoula et il était temps de retourner au palais pour montrer ce qui s’était développé.
Ling était anxieux car son pot ne montrait toujours aucun signe de vie. « Et s’il me punira ? Il ne saura jamais que je l’ai arrosé tous les jours, il va penser que je suis paresseux.
Sa mère le regarda dans les yeux et expliqua que, quelles que fussent les conséquences, il devait retourner au palis et montrer son pot à l’Empereur.
Ling et les autres enfants entrent dans le palais. À ce moment-là, certaines plantes semblaient magnifiques et les enfants se demandaient lequel choisirait l’Empereur.
Ling était embarrassé alors que les autres enfants regardaient son pot sans vie et se moquaient.
L’Empereur est sorti et a commencé à se frayer un chemin à travers la foule, en regardant les nombreux arbres, arbustes et fleurs impressionnants qui étaient exposés. Les garçons ont tous gonflé leur poitrine et ont essayé de paraître aussi majestueux que possible, espérant qu’ils seraient choisis comme héritiers de l’empire.
L’empereur s’arrête devant Ling. Il regarde le pot puis il regarde Ling.
« Que s’est-il passé ici ? » Demanda-t-il.
« J’ai arrosé le pot tous les jours, mais rien n’a jamais poussé. » Murmura nerveusement Ling.
Puis il grommela quelque chose à lui-même et passa à autre chose.
Après quelques heures, l’Empereur a finalement terminé son évaluation.
Il s’est tenu devant les enfants et les a félicités pour leurs efforts.
« Clairement, certains d’entre vous veulent désespérément être l’Empereur et feraient n’importe quoi pour que cela se produise. Il y a un garçon que je voudrais voir car il a osé venir à moi avec un pot vide. Ling, viens ici s’il te plait. »
Ling était angoissé. Il se dirigea lentement vers l’avant du groupe, tenant son pot stérile.
L’Empereur leva le pot pour que tous les enfants le voient. Ils se mirent à rire.
L’Empereur prit la parole et dit : « Il y a un an, je vous ai donné une graine. Je vous ai dit de partir, de planter la graine et de revenir. Les graines que je vous ai données avaient été bouillies jusqu’à ce qu’elles ne soient plus viables et ne puissent pas pousser, mais je vois devant moi des milliers de plantes et un seul pot vide. L’intégrité et le courage sont les valeurs les plus importantes pour être empereur. C’est donc Ling qui sera mon héritier. »
Quels que soient vos objectifs, vous ne devriez jamais sacrifier votre intégrité.
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Ce mystère appelé bonheur
Avez-vous déjà pensé à ce qui pourrait vous apporter le bonheur ? Est-ce la possession matérielle comme, une maison magnifique ou une voiture neuve ? Est-ce externe ou est-ce que le bonheur a quelque chose à voir avec l’intérieur de nous même ?
Pour moi, le bonheur c’est quand l’esprit et le corps sont en harmonie. Si vous pouvez être en paix avec vous-même, vous pouvez être en paix avec les autres. Nous devons donc trouver un ou des moyens de trouver la paix en nous.
Et cela commence avec votre esprit – la vaste étendue de votre esprit. Envoyer des signaux à la fois à vos parties conscientes et subconscientes de votre esprit que vous êtes en paix. Laissez ce sentiment de paix couler dans votre coeur et dans le reste de votre corps et vous serez en phase avec votre esprit et votre corps. C’est à ces moments que vous pouvez appeler le bonheur de l’intérieur de vous. Et cela se reflètera à l’extérieur.
Comme toujours, vous pouvez être aussi heureux que vous décidez de l’être. Ainsi, les personnes travaillant dans les champs sous un soleil de plomb peuvent être plus heureux que toutes les personnes travaillant dans un bureau avec une bonne climatisation.
Comment définissez-vous le bonheur ?
Alors, comment définissez-vous le bonheur ? Qu’est-ce qui l’amène ? Nous pourrions répondre à cette question en disant que la vie c’est 10% de ce qui vous arrive réellement et 90% de la façon dont vous réagissez. Si vous pouviez maîtriser votre réponse à chaque situation, vous pourriez être réellement heureux.
Cela ne veut pas dire que les choses extérieures ne nous rendent pas heureux. Elles le font. Un sourire d’enfant, une blague, un coucher de soleil, un bouquet de roses de votre conjoint – tout cela pourrait vous rendre heureux. Mais l’idée n’est pas de dépendre de circonstances extérieures pour être heureux. Ayez des pensées heureuses et vous serez heureux. Le bonheur fonctionne mieux quand nous le percevons comme un élément interne.
Ne vous comparez aux autres qui semblent être bien mieux lotis. Vous ne connaissez pas leur histoire ni leur situation. Nous accordons trop d’importance à une apparence et une interprétation de ce que nous voyons. Bien souvent, nous regardons la réussite d’une personne et oublions consciemment de nous demander ce qu’elle a du faire pour en arriver là. Quelles sacrifices ont du être fait, combien de temps passer à surmonter les obstacles… alors ne jugeons pas et ne comparons pas.
Ce que vous possédez est suffisant mais vous pouvez en avoir plus en travaillant sur ce que vous voulez vraiment, en donnant vie à vos objectifs.
Alors, quel est le mystère derrière le bonheur ? Le simple fait que ce n’est pas un élément externe mais quelque chose à voir avec l’intérieur de vous. Une fois que vous avez compris ce fait, vous pouvez choisir d’être aussi heureux que vous le souhaitez à tous les moments précieux de votre vie.
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Quel est le plus grand obstacle au développement personnel ?
Qu’est-ce qui se dresse entre la personne que vous êtes maintenant et la prochaine version de vous-mêmes ? N’avez-vous jamais pensé qu’il pourrait y avoir une sorte de force invisible sous-jacente conçue pour ralentir vos progrès ? Si cela peut faire sourire, c’est une hypothèse tout à fait raisonnable, et voici pourquoi.
S’il n’y avait pas une telle force, le développement personnel serait alors facile. Évidemment, le développement personnel ne serait pas devenu une industrie de plusieurs milliards d’euros. Et l’existence même de cette industrie signifie que des millions de personnes trouvent qu’il est difficile d’apporter des changements significatifs dans leurs vies.
Quel est le problème ?
Pourquoi la croissance personnelle est si difficile ? Quelle est cette force invisible à l’origine de cet obstacle ? Dit simplement, cette force est appelée résistance. Pensez à la résistance comme une sorte d’élastique géant qui essaye de vous tirer en arrière lorsque vous vous aventurez un peu trop loin de là où vous êtes actuellement. Si vous ne pouvez pas le voir, je suis certain que vous avez déjà pu ressentir sa traction.
C’est cette même force qui rend le changement, dans n’importe quel domaine de la vie où nous voulons nous améliorer, si difficile. Pourquoi pensez-vous qu’il est si difficile de s’en tenir à une alimentation saine ou faire de l’exercice régulièrement ? Pourquoi est-il si difficile de changer nos habitudes et autres comportements destructeurs ? La liste est interminable mais la réponse est toujours la même : la résistance
D’où vient cette résistance ?
C’est en effet la fameuse question. D’où vient-elle ? Avant d’y répondre, il est important de réaliser que ce genre de résistance ne provient pas d’une décision consciente ou d’un schéma de pensée bien défini. Elle ne vient pas non plus d’un manque de désir, un manque de volonté ou de puissance.
En fait, ce type de résistance est relativement imperméable à ces raisons parce qu’elle vient d’un niveau de base de notre subconscient. Cela signifie qu’elle est à l’abri de notre volonté et de la pensée consciente.
La résistance n’est pas une option
La meilleure façon d’expliquer cette « résistance émotionnelle » est de la comparer à un cousin physique. Le corps a un « programme intégré » appelé homéostasie dont le but est de maintenir le statu quo. Voici comment cela nous affecte d’une manière physique.
Disons que vous voulez perdre 20 kilos. Au début, vos efforts donnent de bons résultats et tout pousse à croire que vous allez atteindre votre objectif sans trop de difficulté. Mais pour une raison quelconque, plus vous vous rapprochez de votre objectif, plus l’effort nécessaire pour continuer à perdre du poids est difficile. Pourquoi les 5 derniers kilos nécessitent plus d’effort que les 15 premiers ? C’est l’homéostasie. L’homéostasie est un programme conçu pour résister au changement !
De la même façon vous avez un programme émotionnel que nous pourrions appeler l’homéostasie émotionnelle. Ce programme a les mêmes caractéristiques que l’homéostasie classique.
Apprendre à lâcher prise
Une des meilleures façons de combattre cette résistance est de pratiquer le lâcher prise. Lorsque nous rompons nos liens affectifs, nous laissons de la place pour la croissance, le développement. Mais apprendre à lâcher prise peut être difficile.
Le lâcher prise est libérateur
Dans un premier temps, vous pouvez sentir comme si quelque chose vous échappait lorsque vous laissez les choses ‘aller’. Mais en réalité, c’est libérateur. Non seulement vous vous libérez d’un certain stress, mais vous aurez également un affaiblissement de cette force invisible appelée résistance.
En apportant certains petits changements dans votre vie, vos points d’ancrage de sécurité émotionnels évolueront. Au fil du temps votre résistance va s’estomper et vous trouverez le confort et la sécurité dans une réalité plus fluide. Lorsque cela se produit, la poursuite du développement personnel devient alors votre nouvelle homéostasie émotionnelle.
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La Puissance des Contraintes
En 1960, deux hommes ont fait un pari. S’il n’y avait qu’une poignée d’euros en jeu, des millions de personnes ont été touchées par ce défi.
Le premier homme, Bennett Cerf, est le fondateur d’une maison d’édition. Le second, Theo Geisel, plus connu sous le pseudonyme « Dr Seuss »; l’homme derrière des oeuvres pour enfants telles que Le Grinch, Le Lorax ou Le Chat chapeauté.
Bennett, le sentant incapable, à défié Théo d’écrire un livre en n’utilisant pas plus de 50 mots différents.Aussi difficile qu’il n’y parut, le Dr Seuss à relevé le pari et le gagna. Le résultat était un petit livre nommé Green Eggs and Ham. Disponible et vraiment bien traduit sous le nom de ‘Les Oeufs Verts au Jambon’.
L’oeuvre originale s’est vendus à plus de 200 millions d’exemplaires, faisant d’elle l’oeuvre la plus populaire du Dr Seuss et l’un des principaux best-seller pour enfants de l’histoire.À première vue, vous pourriez penser que c’était un heureux hasard. Un auteur de talent joue un jeu amusant avec 50 mots et finit par produire un oeuvre. Mais il y a bien plus à retenir de cette histoire qui peut nous aider à devenir plus créatifs et adopter de meilleures habitudes sur le long terme.
La Puissance des Contraintes
Ce que le Dr. Seuss a découvert au travers ce petit pari était la puissance des contraintes.
Les limites, qu’il agisse du temps, de l’argent que vous avez pour démarrer une entreprise, ou le nombre de mots que vous pouvez utiliser dans un livre, offrent souvent de biens meilleurs résultats que d’avoir un nombre illimités d’options.
J’ai pu voir que les contraintes peuvent également être bénéfiques pour la santé, les affaires et la vie en général. Il y a deux principales raisons à cela :
Les contraintes stimulent votre créativité
Si vous faites 1m60 et vous jouez au baskets, vous trouverez des moyens plus créatifs pour faire face à des personnes de 2m10.
Si vous avez un enfant en bas age qui vous prend chaque minutes de votre journée, vous trouverez des moyens plus créatifs pour faire tout ce que vous avez à faire.
Si vous êtes photographe et que vous vous présentez à un shooting avec un seul objectif, vous trouverez des moyens plus créatifs pour capturer la beauté de votre sujet que vous le feriez avec tout votre équipement disponible.
Les limitations vous poussent à trouver des solutions. Vos contraintes inspirent votre créativité.
Les contraintes vous forcent à faire quelque chose
Les contraintes de temps m’ont forcé à produire certains de mes meilleurs efforts. Cela est particulièrement vrai avec ce blog. Je m’impose d’écrire au minimum un article par semaine. Sans mon emploi du temps (la contrainte), je repousserai bon nombre de ces articles de plusieurs semaines.
Les contraintes vous forcent à faire quelque chose et ne vous permettent pas de tergiverser. C’est pourquoi je crois que ceux qui réussissent définissent un calendrier alors que le autres attendent qu’ils se sentent motivés.Les contraintes ne sont pas vos ennemis
Souvent nous passons du temps à nous plaindre des choses qui nous retiennent.
“Je n’ai pas assez de temps pour travailler.”
“Je n’ai pas assez d’argent pour démarrer une entreprise.”Mais les contraintes ne sont pas contre nous. Chaque artiste dispose d’un ensemble limité d’outils pour travailler. Chaque athlète dispose d’un nombre limité de compétences. Chaque entrepreneur dispose d’une quantité limitée de ressources. Une fois que vous connaissez vos contraintes, vous pouvez commencer à comprendre comment travailler avec elles.
La taille de votre cadre
Dr. Seuss avait 50 mots. C’était la taille de son cadre. Vous et moi avons des contraintes dans nos vies.
Vous avez seulement 30 minutes pour faire de l’exercice dans votre journée ? Ainsi soit-il. C’est la taille de votre cadre. Votre travail est de voir ce que vous pouvez faire dans ces 30 minutes.
Il y a beaucoup d’auteurs qui se seraient bloqués à l’idée d’écrire un livre avec seulement 50 mots. Mais il y a un auteur qui a décidé de prendre les outils qu’il avait à disposition et d’en faire une œuvre d’art à la place.
Nous avons tous des contraintes dans nos vies. Les limitations vont déterminer la taille de notre cadre. Ce que nous faisons à l’intérieur nous appartient.
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Pourquoi devriez-vous vous fixer des limites personnelles ?
Quand disons-nous ‘Non’ ? Quand disons-nous ‘Oui’ ? Dire ‘Non’ est un signe d’égoïsme ou un signe de force ? Inversement, dire ‘Oui’ est un signe de faiblesse ou un signe de générosité et de compassion ?
Devons nous nous poser des limites et si oui, comment ? Certains disent que les limites sont essentielles, car nous devons prendre soin de nous en premier lieu. Ils disent que savoir refuser quelque chose poliment est un signe de force.
Mais d’autres diront que ses limites sont essentiellement égoïstes. Si quelqu’un n’est pas bien, n’avons nous pas le droit de montrer un peu de compassion au lieu de le laisser seul ? Comment pouvons-nous nous qualifier d’ami si nous refusons une demande de quelqu’un dans le besoin ?
Et si les deux parties avaient raison ?
Le papillon et la chrysalide
La métamorphose de la chenille en papillon est une chose relativement obsédante – elle fait appel à quelque chose de primitif en nous : une promesse de renaissance.
Lorsque vient le moment, la chenille se protège du monde, enveloppé dans une chrysalide. Protégé à l’intérieur, elle se développe et se renforce jusqu’au jour où elle sera prête à émerger comme un être nouveau, entier et fort. Quand ce jour viendra, elle abandonnera sa protection, car elle n’en aura plus besoin.
C’est peut-être cela la leçon. Il y aura un moment où nous devons fixer nos limites, de nous donner un espace sécurisé à chérir, nous permettant de nous renforcer, de guérir. Et il viendra un jour où il nous étouffera. Ce jour, nous devrons l’assouplir ou l’enlever complètement.
Pour beaucoup d’entre nous, le voyage du développement personnel commence avec des limites que nous voulons surmonter. Pour beaucoup, ces limitations sont des faiblesses – la souffrance émotionnelle et l’instabilité, la peur, un immense besoin de l’approbation des autres, une hyper-sensibilité… D’autres peuvent être victimes de violence psychologique ou physique. D’autres estiment qu’ils ne méritent rien de bon dans la vie. Les résultats sont les mêmes – une incapacité à définir une limite. Une fleur constamment piétinée, un bébé négligé – comment peuvent-ils s’épanouir ?
Le premier type de personne envers qui nous mettons en place des limites sont les personnes critiques, violentes, négatives. Certains pourraient avoir de bonnes intentions; beaucoup non. D’autres « attaquent » à cause de leur propre malheur; ils critiquent pour apaiser leur propre douleur, pour se sentir mieux sur ce qu’ils sont.
Sans la capacité de mettre leurs observations en perspective, même la critique bien intentionnée peut altérer notre estime de soi. Rappelez-vous, personne ne peut vous faire sentir inférieur sans votre permission. (Eleanor Roosevelt)
La deuxième catégorie concerne ceux qui puisent dans vos ressources, votre temps. Il existe d’innombrables facteurs à prendre en compte ici – il est impossible de faire une déclaration générale. Pas toutes les demandes, par exemple, sont injustes et intrusives. Certaines pourraient être fatigantes, non désirées mais vous avez l’obligation de les respecter.
La générosité est une vertu – mais il est déconseillé de donner ce que nous aurions besoin pour nous-mêmes. Il est souvent maladroit de donner quelque chose si nous avons une arrière pensée, une frustration juste après l’avoir fait.
Pourquoi ? Nous avons confondu la véritable compassion avec la mascarade. Nous avons confondu la compassion née de la force avec une pâle imitation née de la faiblesse. Pour beaucoup, le don ne vient pas de la générosité ou l’altruisme – au contraire, il s’agit du plus grand égoïsme !
On donne, parce qu’on veut que l’autre nous aime. Un autre donne, car il voit son temps, sa valeur intrinsèque comme moins importante. Et la « haine » de soi n’est qu’une autre forme de l’égoïsme. Alors, il continue à donner, arborant un sourire peint sur leur visage – tout en ne pensant qu’à eux-mêmes, de la façon dont les autres les voient.
Derrière cette mascarade
Quand on porte un masque, il y a toujours un danger de faire face à la colère et la frustration. L’égoïsme se cache toujours derrière une façade – on craint toujours le jugement des autres, se demandant toujours quand nous allons obtenir quelque chose en retour.
J’ai passé beaucoup de temps derrière cette mascarade – en donnant toujours, même quand je ne voulais pas. Donner même quand j’étais malade ou fatigué, en ayant toujours peur de la désapprobation. Et quand les critiques et les abus inévitables venaient, j’étais en pièces.
En plus, j’avais trop peur de demander des faveurs en retour. Personne ne semblait prendre le même soin que moi à satisfaire les autres. Peu à peu, la colère et la frustration ont commencé à se construire. La colère quand ils ne renvoyaient pas l’ascenseur. La frustration quand je n’étais jamais capable de dire non.
Beaucoup de gens encouragent ce comportement. Ils se considèrent comme un martyr noble, peut-être une victime. Il y a des moments où la distinction entre la compassion et l’égoïsme déguisé est difficile à faire.
Prenez, par exemple une mère qui se sacrifie pour ses enfants tous les jours. Lequel est-ce ? Compassion ou égoïsme déguisé ? Seulement elle le sait. Imiter la compassion est différent de la sentir et elle seule sait ce qu’elle ressent. Pourrait-elle mieux servir ses enfants en prenant du temps pour se nourrir ?
Les limites peuvent prendre de nombreuses formes différentes, mais à la base, une limite implique de simplement dire Non. Non à donner quelque chose; de se comporter d’une certaine manière; de ne pas être traité d’une manière qui nuira à vos valeurs.
Les limites personnelles peuvent venir dans tous les aspects de la vie – physiquement, émotionnellement, mentalement. Vous protégez votre corps; vous vous protégez de la fatigue et du stress. Vous protégez votre temps, votre argent et votre vie privée. Vous protégez votre droit au respect.
Une bonne limite respecte toutes les parties concernées; elle est claire, ferme, et non agressive. Alors que vous commencez à vous protéger et vous défendre, vous serez probablement surpris de la façon dont le monde commence à vous traiter.
Certains ont du mal à voir l’importance de se nourri avant de nourrir les autres. C’est pourtant une vérité commune – vous ne pouvez pas donner ce que vous n’avez pas.
Si vous regardez de près, les frontières sont essentiellement égoïste – mais elles sont nécessaires. Poussez doucement ces limites, testez-les, et quand vous sentez la force d’avoir trouvé votre paix, votre puissance tranquille, détachez-vous tranquillement de leur emprise jusqu’à ce jour où vous n’en aurez plus besoin.