Auteur/autrice : Nathalie BERTHET

Qu’est-ce que le succès ? Qu’est-ce que l’échec ? Nous pourrions trouver la réponse à ces questions à travers les citation des personnes les plus influentes de l’histoire. 

Mais ce qui nous intéresse aujourd’hui est la façon dont nous pouvons réussir rapidement grâce à un échec ?

« L’échec est une excellente occasion de recommencer plus intelligemment »

Henry Ford

« Chaque échec apprend à l’homme quelque chose qu’il doit apprendre »

– Charles Dickens

Le concept d’échec est fortement stigmatisé. Il existe des cultures où les personnes qui ont connu des échecs sont mal vues et pointées du doigt. Il y a d’autres cultures où l’ échec obtient une bonne presse. Dans tous les cas, nous savons que les concepts de succès et d’échec sont étroitement liés les uns aux autres et que, dans la plupart des cas, les deux se succèdent. La réalisation de l’ échec-succès-échec est une chaîne.

Si nous analysons les deux phrases de Henry Ford et Charles Dickens , nous observerons que l’ échec n’est qu’une manière d’apprendre comment on pourrait le refaire autrement (il a utilisé l’expression «plus intelligemment»). Le résultat n’est rien de plus qu’une démonstration de la façon dont quelque chose ne fonctionne pas, et il nous donne des indices sur ce que nous devrions faire pour l’améliorer. Si nous le faisons ainsi, il semble évident qu’après un certain nombre de tentatives, nous pourrons réaliser ce que nous nous sommes fixés.

Le concept de « défaillance rapide » peut être important. Il s’agit d’analyser ce qui s’est passé, de déterminer pourquoi cela n’a pas fonctionné, de faire les changements nécessaires dès que possible et de reprendre des mesures, le tout à la vitesse la plus élevée possible. Ainsi, nous pouvons conclure que le succès ne se fait pas en évitant l’échec, mais en échouant le plus rapidement possible.

Face à l’échec, il y aura beaucoup de gens qui finiront par abandonner l’objectif qu’ils s’étaient fixé. Cependant, ceux qui sont capables d’apprendre la leçon rapidement, de se relever le plus vite possible, de faire les changements nécessaires et d’agir dans la bonne direction, seront sur la voie du succès. C’est peut-être à cela que parlait Henry Ford lorsqu’il a dit «recommencer avec plus d’intelligence».

Par conséquent, ne nous inquiétons pas de l’échec. Essayons de faire un maximum d’erreurs le plus rapidement possible et nous connaîtrons le succès plus tôt que prévu.

Ce que les gens disent de vous n’est pas votre problème. Chacun d’entre nous a été mis sur cette terre pour faire quelque chose. Cela n’a pas à être de sauver le monde; vous n’avez pas besoin de trouver un remède contre le cancer, vous devez juste savoir ce que vous voulez pour vous et votre vie. Et parfois, c’est suffisamment compliqué.

Beaucoup de gens ont peur de ce qu’ils veulent faire; Ils ont peur de ce que les gens vont penser d’eux. Ils n’ont aucune idée de ce à quoi leur vie pourrait ressembler s’ils étaient véritablement heureux. Alors ils vivent leur vie en faisant ce qu’ils pensent que leurs amis, leurs familles et la société veulent qu’ils fassent.
Ils ne poursuivent pas leurs rêves parce qu’ils ont peur de ce que leurs parents, amis, et même des étrangers pourraient penser d’eux. Ils font des choses pour plaire aux autres et se négligent. Ils ont des carrières qu’ils ne veulent pas et se contentent de quelques minutes de plaisirs « égoïstes » de temps en temps.

Faites ce que vous voulez faire et soyez vraiment heureux. Qui se soucie de ce que les gens pensent de vous. La vérité est que les gens pensent toutes sortes de choses et très peu de ces pensées seront sur vous personnelement.

Ce que j’ai découvert, c’est que la plupart des gens veulent apporter leur contribution aux autres. Il est toujours décrit comme: Je veux aider les autres, je veux enseigner aux autres et je veux rendre les autres heureux. C’est toujours pour les autres. Il est important que nous comprenions ce que nous partageons. Pour partager, nous devons avoir. Donc, pour donner de bonheur, vous devez être heureux afin que vous puissiez le partager.

Vous ne voulez pas que les gens que vous aimez et que vous respectez vous disent quelque chose qui semble négatif. Cependant, les gens, tout comme vous, ont le droit de dire tout ce qu’ils veulent et vous avez également le droit d’écouter ou non. Ou plutôt d’absorber ce que vous entendez ou non.

Imaginez-vous peindre des toiles durant votre temps libre. Un de vos amis vous dit « Je n’aime pas cette peinture. » Vous l’interprétez comme « je ne suis pas un bon artiste » ou « je ne sais pas créer« , et ça continue encore et encore. Alors maintenant vous vous promenez avec cette croyance. « Je ne suis pas un bon artiste », « je ne sais pas peindre« , « je n’ai aucune créativité ». La croyance devient de plus en plus grande et vous, à votre tour, devenez de plus en plus « petit »; vous commencez à vous sentir mal à l’aise et à vous arrêter.

Il est important d’apprendre que ce que les gens disent ne vous concerne pas. Il est important que vous restiez positif et compreniez que ces déclarations ou autres commentaires ne vous sont pas destinés personnellement.

Quand nous réalisons que ce que les autres disent n’engagent qu’eux et que ce ne sont pas nos affaires, nous pouvons simplement les remercier pour leur opinion.

Les gens qui sont en colère perdent souvent de vue pourquoi ils ont été offensés. Tout ce qu’ils savent, c’est qu’ils ont raison et que l’autre a tort. Apprendre à vous connaitre et pardonner vous donne les outils pour comprendre ce que vous ressentez. Le pardon est comme une boisson rafraîchissante bien nécessaire après une chaude journée. Après la première gorgée, vous vous sentez rafraîchi et toute douleur que vous ressentez part peu à peu.

Voici une liste de choses que vous et moi avons pu expérimenter (que d’autres nous ont faites ou que nous avons faites aux autres), qui nécessite le pardon:

• Infidélité
• Critique
• Dénigrement
• Douleur
• Abus
• Maltraitance
• Cruauté
• Violence
• Exploitation
• Négligence
• Manque de respect
• Déshonorer
• Peur

Les mots, comme la violence, blessent et laissent des souvenirs et des cicatrices douloureuses qui peuvent créer un sentiment de vengeance. La vengeance, comme une maladie, sans remède, est transmise aux autres.

Il y a plus de gloire à pardonner qu’il n’y a de plaisir à se venger : le pardon est la marque d’un grand cœur et d’un esprit bien fait, la vengeance est la marque d’un cœur haineux et d’un esprit violent. – François de Vernage

Pardonner ne signifie pas oublier. Pardonner ne minimise pas ou ne justifie pas l’acte; ça libère juste la douleur que le passé vous réserve. Si vous ne pouvez pas pardonner, vous êtes celui ou celle qui reste avec la douleur. Vous devez apprendre à abandonner les mauvais sentiments. Le pardon délie votre cœur et vous libère. Chaque fois que vous vous souvenez de ce qui s’est passé, vous revivez l’expérience et cela la ramène au moment présent. Le pardon vous permet de rester dans le présent; Il vous donne de l’empathie et de la compassion à l’égard des actes répréhensibles perçus.

Nous sommes blessés, et c’est généralement par les gens que nous aimons le plus et qui sont le plus proches parce que ce sont ceux que nous avons laissés entrer dans nos vies. La famille et les amis peuvent être ceux qui abusent, trahissent, rejettent, et insultent et ce sont ceux que nous n’imaginons jamais capables de nous traiter de cette manière. Les gens que nous laissons entrer dans nos cœurs et dans nos maisons font des choses que nous pourrions ne pas aimer. La plupart du temps, nous sommes en colère contre nous-mêmes parce que nous ne nous sentons pas écouté ou parce que nous ne nous sommes pas exprimés. Nous nous sentons mal.

Si les incidents négatifs ne sont pas traités immédiatement, ils commencent à grossir et à s’envenimer, à se remplir de la pollution du ressentiment, à tuer tous les sentiments positifs et à devenir un fléau dans votre existence. Le ressentiment plonge rapidement dans l’amertume et continue de tuer tous les sentiments positifs entourant la personne qui vous a fait du tort. Vous ne pouvez pas faire face à la personne et vous vous trouvez avoir des difficultés avec cette relation et vous commencez à avoir des difficultés à communiquer. Vous devenez sensible à la pensée de toute insulte, blessure ou conflit perçu. Votre sens de la réalité devient peu à peu déformé. Votre immersion dans la souffrance devient un prix lourd à payer.

Vous finissez par apporter de la douleur dans chaque relation (nouvelle et ancienne) en répétant votre histoire, en la revivant encore et encore comme si c’était hier. Vous coupez continuellement la plaie perçue, ne la traitez jamais et ne lui donnez pas le temps de guérir. Elle devient alors une partie de vous.

Avec le pardon, nous ne devrions jamais nous identifier à la douleur ou à la colère, mais simplement savoir que ce qui s’est passé n’était pas une bonne expérience. Le pardon est un acte avec lequel il faut être cohérent. C’est quelque chose que nous devons apprendre et reconnaître, ou nous deviendrons des victimes de la circonstance. Nous devons apprendre à pardonner nos propres erreurs et, à notre tour, nous pouvons pardonner aux autres.

Parfois, je souffre encore beaucoup. Je laisse le passé prendre le dessus. C’est à ce moment que je réalise que je dois pardonner à nouveau. Au moment où j’abandonne la colère, je suis à nouveau libre. Libre d’honorer qui je suis et la personne avec qui j’étais en colère. Certains d’entre nous sont doués pour s’attacher à la souffrance. Mais nous devons faire le travail intérieur, ou nous serons coincés avec des sentiments refoulés, à vivre dans le déni, et nous ne nous sentirons pas bien.

Quand nous pardonnons, nos coeurs se dilatent et nos sentiments deviennent entiers, complets et parfaits. Il est bon de ressentir la colère, d’être avec elle, de ne pas la réprimer et de permettre à celle-ci de sortir. La colère a des informations à nous donner et nous devons l’écouter. Nous devons ressentir cette colère et comprendre l’information qu’elle veut nous donner. Généralement, la colère vous dit que vous n’avez pas pris soin de vous et qu’il est temps de vous occuper du mal que vous ressentez.

Lorsque vous êtes en colère, posez-vous ces questions qui – je l’espère – vous permettront de commencer à pardonner:

Avec qui es-tu fâché ?
Pourquoi es-tu en colère contre elle/lui ?
Quelles limites a-t-il/elle violées ?
Depuis combien de temps es-tu en colère contre lui/elle?
Quand vas-tu lâcher prise ?
Quelles actions as-tu pris pour lâcher prise ?
Quelles promesses vas-tu te faire pour commencer le processus de pardon ?

Beaucoup de gens cherchent le succès dans leur vie. Mais qu’est-ce que le succès signifie réellement pour eux ? Pour certaines personnes, réussir signifie avoir beaucoup d’argent, alors que pour d’autres, réussir signifie tout simplement avoir des bonnes relations et une bonne santé. Alors qu’est-ce que le succès signifie pour vous ? Avant de pouvoir l’atteindre, vous devez trouver la signification du succès.

Selon le dictionnaire, le succès signifie la réalisation de quelque chose que vous avez essayé ou prévu. Cela montre que le succès peut signifier beaucoup de choses pour vous. Par exemple, vous réussissez même si vous tentez et réussissez de faire du mal à quelqu’un. Par conséquent, assurez-vous de savoir ce que vous voulez dans votre vie et d’être clair de ce que vous voulez dire par le succès. Soyez précis et sachez exactement ce que vous voulez.

La question est maintenant, comment atteindre le succès que vous voulez dans votre vie ? Certains pensent même qu’il leur est impossible de réussir dans leur vie. Cependant, si vous lisez cet article en ce moment, je vais vous montrer comment, en seulement 4 étapes simples, vous pouvez réaliser tout ce que vous voulez dans votre vie.

La première étape est que vous devez croire que vous pouvez y arriver. Peu importe les choses que vous essayez de réaliser dans votre vie, vous devez d’abord croire qu’il est possible pour vous de l’atteindre. Vos croyances ne sont réelles que pour vous, si vous pensez que vous le pouvez, et alors vous le pouvez. Inversement, si vous pensez que vous ne pouvez pas, alors vous ne pouvez pas. Il n’y a pas de vrai ou de faux ici, vous devez juste choisir d’y croire.

La deuxième étape est de fixer un objectif clair et précis. Vous devez définir un objectif clair et précis dans votre vie. Si vous vivez sans objectifs, vous allez vous perdre et suivre la foule comme un mouton. Un objectif peut vous permettre de rester concentré sur ce que vous faites, vous prendrez les mesures nécessaires dès que vous verrez vos objectifs sur le mur.

Développer un plan de la façon dont vous allez réaliser ce que vous voulez. Tout comme la construction d’une maison, vous devez avoir un plan. La même chose est vrai pour votre vie, vous devez développer votre propre plan d’action pour atteindre vos objectifs. Ne vous inquiétez pas si vos stratégies sont mauvaises parce que ce sont les mauvaises stratégies qui vous mèneront aux bonnes.

La dernière étape, prendre des mesures massives et cohérentes vers vos objectifs. C’est la partie la plus difficile car cela demande du temps et de l’énergie. Beaucoup de gens abandonnent dès lors qu’ils réalisent qu’ils ne parviendront pas à réaliser ce qu’ils veulent dans le temps qu’ils avaient prévu. La plupart des gens procrastinent et ne prennent jamais aucune mesure pour réaliser leurs objectifs. Vous devrez savoir très clairement que si vous ne prenez aucune mesure, rien ne se passera jamais.

Si vous cherchez des moyens de rester motivé, ce sera le bon article pour vous. Ce que vous allez découvrir ici sont quelques-unes des stratégies les plus puissantes que vous pouvez utiliser pour élever votre niveau de motivation presque instantanément.

Beaucoup de gens ne vivent pas la vie qu’ils désirent parce qu’ils n’ont pas la motivation et la volonté de faire les actions nécessaires. Si vous avez la motivation, vous ferez tout ce qu’il faut pour avoir les résultats que vous voulez. La motivation est une clé très importante de la réussite. Alors, voici quelques-unes des façons les plus puissantes que vous pouvez utiliser pour vous motiver et rester motivé …

L’une des techniques les plus simples pour vous motiver est d’écouter des chansons et des musiques inspirantes. Ce que vous devez faire est d’identifier les chansons qui vous motivent et les écouter quand vous en avez envie.

Malgré le fait qu’il ait été écrite il y a près de 40, « Don’t Stop Me Now » la chanson du groupe mythique Queen, arrive en tête du classement des chansons qui rendent le plus de bonne humeur selon une étude scientifique analysant les chansons des cinquantes dernières années.

Ce succès de 1978 a juste le bon tempo, les paroles et est joué dans la clé musicale identifiée comme produisant un sentiment de bonheur.

Passez en revue vos objectifs chaque jour et chaque fois que vous êtes seul. Vos objectifs peuvent vous motiver à agir, c’est pourquoi les gens qui réussissent écrivent leurs objectifs et les affichent à un endroit où ils peuvent les voir souvent. Ils savent que chaque fois qu’ils verront leurs objectifs, ils actionneront le bouton qui les poussera à agir. Vous pouvez faire la même chose.

Partagez vos rêves avec d’autres personnes qui comprennent et vous soutiendront. Vous pouvez également le faire avec d’autres personnes qui partagent les mêmes rêves. Chaque fois que vous discutez de vos rêves avec quelqu’un qui partage le même objectifs que vous, vous vous sentirez motivé par chaque mot que vous allez entendre durant votre échange.

Utilisez votre voix intérieure pour rester motivé. C’est une autre stratégie puissante et efficace que les gens qui réussissent utilisent tout au long de leur voyage vers le succès. Employez une affirmation positive telle que « je peux le faire » ou « je vais le faire » pour conditionner votre subconscient et pour rester sur la bonne voie.

La dernière technique que nous allons voir est la visualisation. Ce que vous devez faire est de simplement penser et imaginer le succès que vous voulez. Pensez et visualisez l’action qui produit les résultats que vous voulez et visualisez-vous réaliser tous vos buts et vos rêves. Cela va instantanément augmenter votre niveau de motivation. N’oubliez pas d’inclure les émotions qui vont avec ces images

Beaucoup de gens croient qu’elles ne sont pas ce qu’elles peuvent être. Bien que ce sentiment persiste au cours de leurs vies, il est difficile de savoir pourquoi et comment elles pensent cela. Parfois, vous ne savez même pas par où commencer.

Eh bien, il y a multitude de raisons pour lesquelles vous n’êtes pas celui ou celle que vous êtes censés être. Mais l’une des raisons est que nous sommes dans le grand tableau de l’évolution humaine. Nos sociétés ne sont pas encore construites pour encourager les individus à réaliser leur potentiel en tant qu’être humain. Elles ne sont pas assez mûres pour nourrir un tel développement.

Vous avez peut être déjà entendu parler de la hiérarchie des besoins de Maslow. Pour l’expliquer brièvement, cette théorie identifie les priorités des besoins dans la psychologie humaine. La plus élémentaire, primaire et importante est physiologique – les besoins de base, comme la nourriture et l’air. De là, elle progresse à travers la sécurité, l’amour / l’appartenance, l’estime et aboutit à la réalisation de soi.

Les deux premiers besoins – physiologique et sécurité – sont des besoins basés sur notre survie physique. Lorsque notre propre survie est en jeu, alors ce sont ces besoins qui dominent nos esprits.

Au cours de l’évolution, nous avons créé de nombreux codes de conduite. Des coutumes culturelles, des rituels religieux, pour assurer notre survie physique. Par exemple, l’idée de la polygamie peut être soutenu comme un système qui est conçu pour servir au mieux l’intérêt d’un collectif pour sa survie. Dans la plupart des cas, un homme a plusieurs épouses et concubines, pour s’assurer que la tribu avait les meilleures chances de prospérité, en augmentant le nombre de descendants. Cela avait un sens à l’époque, parce que les hommes ont combattu dans des guerres et autres batailles et mourraient jeunes. Les ressources humaines (dans son vrai sens) sont les meilleurs atouts de la collectivité, et la polygamie est un système conçu pour répondre à ce besoin quand les « sujets » masculins étaient rares.

Ces systèmes ont été conçus à une époque où nos besoins étaient très différents de nos besoins actuels. Dans les sociétés dites «développées», nos survivances physiques ne sont pas la principale préoccupation de la majorité des gens. Je dirais que le troisième et le quatrième besoin – l’amour / l’ appartenance et l’estime – sont les défis que la plupart des gens relèvent au cours de leur vie. Ce sont les besoins pour notre survie psychologique.

Ce que nous devons faire pour assurer notre survie physique et psychologique est très différent. Ils sont aux antipodes l’un de l’autre. Répondre aux besoins de la survie physique affecte notre survie psychologique, bien sûr. Le corps physique a besoin de vivre afin de nous concentrer sur notre prochaine série de besoins. Mais répondre à nos besoins physiques ne fait rien pour répondre à nos besoins psychologiques.

Imaginez que dans une tribu dans une société où les rôles et les fonctions sont attribuées strictement par votre genre, votre taille et la famille dans laquelle vous êtes né. Vous peinez et trimer à des tâches répétitives et banales. Vous vous mariez, vous avez des enfants. Parfois, certains mariages arrangés répondent aux besoins des tribus plus qu’aux vôtres. Vous avez votre place dans le collectif aussi longtemps que vous restez utile à la survie physique de la tribu dans son ensemble. Il n’y a aucune prise en compte de vos intérêts ou aptitudes.

Vous pensez que les coutumes, les rituels et autres codes de conduite de cette époque ont été depuis longtemps abandonnés dans nos sociétés «développés» ? Oui, pour la plupart, en tout cas en surface. Mais ils ont une prise beaucoup plus forte sur notre société que nous aimons le penser.

Je suis sûr que’Henry Ford n’avait pas l’intention de faire beaucoup de tort à l’humanité quand il a incorporé une ligne d’assemblage dans son processus de fabrication.
Efficace et très rentable, ce fut un système mis au point pour répondre aux besoins de la collectivité avant de rencontrer les besoins des individus. Dans une chaîne de montage, vous devenez un spécialiste, ou un maillon de la chaine et vous effectuez essentiellement la même tâche répétitive quotidiennement.

Qu’est-ce que cela fait pour répondre à votre besoin d’amour, d’appartenance ou d’estime ? Pas grand chose. Je ne dis pas que tout le monde qui travaille dans une ligne d’assemblage sont des drones irréfléchies. Bien au contraire, je pense que le réseau social dans une telle situation peut faire beaucoup pour répondre à ses besoins d’amour, d’appartenance et d’estime, mais ce n’est pas l’activité ou le travail lui-même qui peut contribuer à cela.
Il n’offre aucune stimulation, aucune incitation pour une véritable croissance et expansion de la capacité de chacun. Autrement dit, le travail crée la prospérité matérielle pour le collectif en rencontrant rien d’autre que les besoins matériels des constituants et en ignorant sa survie psychologique.

Ce processus peut être dangereusement préjudiciable à sa prospérité psychologique, parce qu’un tel système est tout simplement déshumanisant. Il répond aux besoins de niveau inférieur en sacrifiant des besoins de niveau supérieur.

C’est pourquoi les pays «développés» sont aux prises avec des questions telles que le surmenage, la fatigue, la dépression et le suicide.
Même si survivances physiques sont plus ou moins assumés pour ses membres, l’ancien mode de survie continue de dominer ces sociétés, empêchant ses protagonistes de répondre adéquatement à leurs besoins les plus élevés. Cela crée un déséquilibre – si les besoins corporels sont remplies mas pas les besoins mentaux. Les gens qui se battent pour leur survie physique ne se tuent pas. A ce niveau, ils ne sont pas concernés et / ou ne connaissent pas leurs besoins psychologiques. Mais une fois assuré de la survie physique, l’attention se tourne vers le bien-être de leurs esprits. N’étant pas en mesure de maintenir un état ​​d’esprit sain, beaucoup de gens développent des maladies physiques et / ou mentales, la dépendance chimique, médicamenteuse et adoptent des comportements auto-destructeurs.

Les écoles sont un système bien huilé visant à inculquer des connaissances chez les enfants afin qu’ils deviennent des membres fonctionnels et utiles de la société. Oui, nous voulons qu’ils deviennent des membres utiles à la société.

Nous savons tous que chaque enfant est différent. Il/elle a des besoins différents, un rythme de développement différent, des intérêts très variés et des styles d’apprentissage différents. En réalité, les variations sont aussi nombreuses qu’il y a d’enfants. Pourtant, nous les mettons dans un système qui leur apprend de manière uniforme. Nous leur donnons les mêmes informations en utilisant même les programmes.
Si la méthode ne parvient pas à faire mémoriser les informations, alors l’enfant est étiqueté comme «problématique» ou souffrant de «troubles d’apprentissage».

Nous faisons cela parce que c’est un système efficace et pratique pour produire des petits rouages ​​qui sont conçus pour tourner dans une direction précise le reste de leur vie. Nous leur enseignons que notre survie physique collective est notre priorité absolue.

Nous faisons cela parce que nous ne savons pas ce qui est mieux. Nous n’avons jamais connu ce qu’est une société où la plupart des individus atteignent leur plein potentiel.

Nous sommes coincés dans un état de méfiance, nous mettons en place des systèmes pour s’assurer que tout le monde devient «utile» à la société en supprimant leur individualité.

Pas étonnant que beaucoup d’entre nous cherchent effectivement à réaliser des besoins plus élevés. L’évolution de notre société n’a pas encore atteint ce point. Je ne dis pas que nous devrions ignorer les besoins pour notre survie physique, à la fois en tant qu’individu ou comme collectif. De nombreux systèmes sont nécessaires pour faire fonctionner les sociétés.

Mais si nous créons une société dans laquelle chaque individu peut réaliser son potentiel, de nombreux mécanismes pour «faire respecter» ne seront plus nécessaires.

Pensez-y. Le développement de soi est un état de joie euphorique. Quand on atteint cet état constamment et régulièrement, il n’y a pas besoin d’aller voler une banque ou d’évacuer votre colère sur vos enfants. Vous n’en sentez simplement pas le besoin.

Comment créer cet société ?

C’est la question avec laquelle il faudra lutter. Je vais lister mes idées sur la façon d’atteindre cet objectif. Cela fait partie de la raison pour laquelle j’ai commencé ce blog.

Mais il est sûr que nous avons besoin d’un changement fondamental de paradigme en tant que collectif. Au lieu du système de croyance où nous sommes motivés par le gain matériel et la survie physique collective, nous devons passer à un système où le développement de chacun est l’objectif principal. Vivre confortablement ne doit pas rester un privilège pour quelques-uns, mais un droit fondamental pour tous, de sorte à être libres d’aller explorer plus profondément dans notre propre potentiel, au lieu de travaille sans relâche pour « gagner sa vie ». Travailler pour gagner le droit de vivre ?

Lorsque les besoins plus élevés sont pris en charge, les besoins inférieurs n’entrent même pas dans l’esprit. La raison pour laquelle il est difficile de réaliser son plein potentiel est que la société n’est pas particulièrement prévue pour le permettre ou l’encourager.

Mais la réalisation de soi est encore possible et demeure un objectif louable. En fait, cela vaut la peine de poursuivre cet objectif, parce qu’il est difficile. Quand nous seront assez nombreux à atteindre cet état​​, je crois qu’il y aura un changement dans nos sociétés.