Author: Nathalie BERTHET

Je ne suis pas garant de la façon dont les autres me traitent, mais je suis responsable de la façon dont je réagis.

Je ne suis pas garant de la situation économique actuelle, mais je suis responsable de travailler dur et de faire le nécessaire pour vivre la vie que je désir.

Je ne suis pas garant de tous les problèmes du monde, mais je suis responsable de l’utilisation de mes capacités et de ressources pour faire une différence pour ceux qui sont dans le besoin.

Je ne suis pas garant de la sensibilité des autres, mais je suis responsable de présenter des excuses quand je sais que j’ai blessé quelqu’un. […]  Lire la suite

Quand les choses tournent mal, comment pouvez-vous le savoir ? Qu’y a-t-il en vous qui est capable de porter ce jugement?
Vous regardez certaines choses et vous dites «beau». Vous regardez d’autres choses et dites «horrible».
Pourquoi ?
Même si vous n’avez jamais vu la chose auparavant, et même si vous n’avez jamais rien vu qui lui ressemble, même à distance, vous êtes en mesure de décider rapidement si elle est belle ou non.
Pourquoi pensez-vous que c’est comme ça ?
Vous avez un certain sentiment et vous pensez «plaisir». Un autre sentiment survient et vous pensez «douleur».
Qu’est-ce qui peut faire cette différence en vous ?
Une expérience vous apporte de la joie. Une autre expérience apporte le désespoir. Encore une fois, vous portez un jugement. Vous êtes-vous déjà demandé sur quoi reposent ces jugements ?
Si votre vie n’avait pas de sens, comment pourriez-vous ressentir de la joie ? Si votre vie n’avait pas de but, qu’est-ce qui pourrait provoquer le désespoir ?
Le fait est qu’il y a un objectif très réel derrière tout cela, un objectif qui anime chacune de vos pensées et actions. Votre joie vous mènera à ce but, tout comme votre désespoir, ainsi que chaque expérience et chaque sentiment – si vous prenez le temps de vous demander pourquoi.
Cherchez à comprendre ce but moteur, à travers chaque joie, à travers chaque difficulté. Connaissez le pourquoi de votre vie et vous vous connecterez à une force puissante qui peut vous emmener partout où vous souhaitez aller.

Pour vivre vos possibilités, vous devez vous éloigner de vos certitudes. Le passé est sûr, sécurisé, certain – et impossible à changer. L’avenir est rempli d’incertitude, et dans cette incertitude, les possibilités sont illimitées. L’avenir est inconnu et, à cause de cela, il recèle toutes les opportunités imaginables.
Vous pouvez donc rester en sécurité dans ce que vous savez déjà avec certitude, mais vous n’y trouverez aucune opportunité. Ou vous pouvez vous déplacer en toute confiance dans le territoire inconnu qu’est le futur, où vous trouverez un monde de possibilités.
Bien que les possibilités soient indissociables de l’incertitude, vous avez la capacité de transformer le meilleur de ces possibilités en une certaine réalité.
Pourtant, pour ce faire, vous devez être prêt à vous aventurer en territoire inconnu.
Les murs que vous construisez pour vous protéger de l’incertitude vous retiennent également prisonnier. Au-delà de ces murs existent vos plus grandes possibilités.
Ayez la confiance nécessaire pour explorer ces possibilités. Détachez-vous du besoin de certitude et de sécurité. L’avenir est en effet inconnu mais il est prêt à être façonné par votre imagination.

Peu importe le nombre d’opportunités qui se présentent à vous. Ce qui compte, c’est la manière dont vous y répondez.
Peu importe le nombre d’obstacles qui bloquent votre chemin. Ce qui compte, c’est la façon dont vous décidez de relever ces défis et de les surmonter.
Peu importe le montant d’argent dont vous disposez ou le type de ressources dont vous disposez. Ce qui compte, c’est la manière dont vous les utilisez.
Peu importe ce qui s’est passé dans votre passé. Ce qui compte, c’est ce que vous en faites maintenant.
Peu importe ce que les autres pensent de vous. Ce qui compte, c’est ce que vous attendez vraiment de vous-même.
Peu importe les circonstances dans lesquelles vous vous trouvez. Ce qui compte, c’est la façon dont vous réagissez à ces circonstances et en tirez le meilleur parti.
Ce que la vie vous donne n’est pas aussi important que ce que vous en faites.
Les détails de votre vie ne sont pas aussi importants que la vie elle-même et l’opportunité précieuse et irremplaçable de la vivre pleinement.
Maîtrisez ces détails, mais ne vous laissez pas piéger ou retenu par eux. Ce qui compte, c’est la vie que vous décidez de vivre.

Cela semble évident et pourtant c’est une vérité puissante qui est trop souvent négligée. Pour rester concentré, vous avez besoin de quelque chose sur lequel vous concentrer – quelque chose de spécifique, de clair et bien défini.
Avez-vous du mal à rester concentré ?
Vous devez peut-être définir plus clairement l’objet de votre concentration. À titre d’exemple, disons que vous essayez de vous concentrer sur le fait de gagner plus d’argent ou d’améliorer vos relations.
Le vague objectif de “prendre plus de nouvelles de mes amis” ou “gagner plus d’argent” n’est ni assez clair ni assez définitif.
Combien d’argent de plus avez-vous l’intention de gagner exactement ? Précisément comment comptez-vous le gagner ?
Que ferez-vous lorsque vous l’obtiendrez, et pourquoi est-ce important pour vous ?
Des questions comme celles-ci vous fourniront un objet clair et précis sur lequel vous concentrer.
La mise au point est impossible sans point focal.
Le simple fait de définir clairement et spécifiquement ce point focal servira à verrouiller votre esprit et votre énergie. Et lorsque l’objet de votre mise au point est bien défini, vous pouvez rapidement vous remettre sur la bonne voie si votre mise au point venait à s’égarer.
Sachez, comprenez et appréciez précisément là où vous désirez vous concentrer. Plus vous pouvez définir clairement l’objet de votre concentration, plus vous pouvez vous concentrer sur lui de manière intense et efficace.
Décidez exactement de ce que vous avez l’intention de faire, et presque comme par magie, vous vous surprendrez à le faire.

La vie est belle et joyeuse, et ce n’est que parce que la vie peut être si belle qu’elle peut parfois être si triste. Dans le chagrin, il y a aussi, étrangement, une composante de joie.
Quand nous sommes tristes, c’est parce que nous nous soucions beaucoup. La tristesse est douloureuse, et pourtant l’absence de tristesse signifierait un vide absolu et sans espoir qui serait bien pire que n’importe quelle douleur.
La joie que vous avez connue reste toujours avec vous, même en période de perte – surtout en période de perte. Cette joie n’est jamais épuisée ni annulée. Elle fait toujours partie de vous, même si les conditions et les relations dont elle est issu peuvent avoir changé.
Cette joie est toujours avec vous. Et personne ne pourra jamais vous l’enlever.
En fin de compte, la joie est plus forte que la douleur. La douleur ne disparaîtra peut-être jamais complètement, mais elle deviendra plus supportable à mesure que la joie continuera de se renforcer à chaque instant qui passe.
Non seulement la tristesse est une expression des joies déjà vécues, mais elle intensifie les joies à venir.
Le soleil semble toujours plus brillant après des jours et des jours de pluie. La joie et la beauté de la vie signifient encore plus après avoir éprouvé la douleur de la tristesse.
Lorsque vous vous souciez suffisamment de connaître la vraie et profonde tristesse, c’est une affirmation positive de la vie qui n’a pas d’égal.

Parfois, la dynamique même de notre vie peut nous faire perdre notre véritable objectif de vue. Et il y a des signes très clairs qui vous diront quand vous ne maîtrisez pas vraiment votre vie. 

Voyons ci-dessous quelques-uns de ces signes pour avoir à reprendre le contrôle de votre vie:

Ne pas avoir de critères clairement définis

Beaucoup de gens «suivent le courant». Quand quelqu’un leur dit que quelque chose est bon, ils sont d’accord. Quand quelqu’un leur dit que quelque chose ne va pas, ils sont d’accord. Ils optent simplement pour l’option confortable. Ils n’ont pas pris le temps de former leurs propres critères et ils n’ont pas le courage de l’exprimer et d’agir en conséquence. Ainsi, face à ce symptôme, une bonne série de questions à poser sont les suivantes: Quelle est ma véritable opinion sur ce sujet? Qu’est-ce que je crois vraiment? Quelles sont mes vraies convictions? … Vous devez pouvoir avoir vos propres critères, sinon vous courez le risque de commencer à vivre le style de vie que quelqu’un d’autre aime et non celui que vous aimeriez et que vous réaliseriez vous-même . […]  Lire la suite

De mauvaises choses arrivent à de bonnes personnes. Nous devons l’accepter. Cela étant dit, il va de soi que si vous faites tout pour trouver des problèmes, vous allez les trouver. Il en est de même avec la négligence et/ou l’insouciance. Si vous vous endormez au milieu d’une route, vous pouvez vous attendre à avoir un réveil brutal. Tout peut arriver à tout moment, mais les chances ne sont pas les mêmes. La morsure d’un serpent en Alaska est possible, mais hautement improbable.

Si l’on considère toutes les possibilités que certaines choses peuvent aller mal par rapport à ce qui va vraiment mal, nous sommes assez chanceux. Mais défier notre chance est toujours une mauvaise idée.

Prendre les choses pour acquises est également une mauvaise idée. Vous pouvez être certain que telle ou telle prise de courant est hors service, mais il serait beaucoup plus sage de vérifier avant de mettre votre doigt dedans. Combien d’accident commencent par les mots: «Je pensais que …” Ne pensez pas, vérifiez…

Rien n’est éternel

Quoi qu’il arrive, les choses vont changer. Les choses qui se produisent peuvent ne pas changer en soi, comme la mort d’un être cher, mais nos sentiments au sujet de la situation finiront par changer. Nous connaissons tous les sept étapes du deuil :

1. Choc et déni
2. Douleur et culpabilité
3. Colère et négociation
4. Dépression, réflexion, solitude
5. Résignation
6. Acceptation
7. Reconstruction

La vie suivra son cours et le temps fera ce qu’il a à faire. L’instinct le plus fort est celui de la survie. Parfois, cet instinct de base peut être tout ce à quoi nous devons nous accrocher et si nous le faisons, une chose est absolument certaine : les choses iront mieux. Cela a toujours été le cas et cela sera toujours le cas.

Blâmer les autres

Nous vivons dans une culture où trouver un coupable est la norme. En quoi blâmer quelqu’un va résoudre le problème ? La recherche d’un coupable sur lequel la colère et tout autre ressentiment peut être adressé est une entreprise totalement futile. Le projet à échoué. Essayez de rattrapez les choses et décider plus tard de ce qu’il aurait fallu faire pour ne pas refaire les mêmes erreurs.

Les problèmes arrivent et parfois il n’y a pas coupable. Perdre du temps à la recherche de quelqu’un à blâmer est stupide. La seule action raisonnable est d’essayer de réparer les dommages. Le temps est trop précieux pour qu’il soit gaspillé.

Apprendre à lâcher prise

Apprendre à lâcher prise est similaire à toute autre compétence; plus vous pratiquez, plus cela deviendra facile. Une fois que quelque chose est terminée, vous n’avez d’autres choix que de faire avec. Nous ne pouvons pas vivre dans le passé ou le changer. Lâcher prise est l’une des meilleures choses que nous pouvons faire. Malheureusement, nous avons appris que si nous expions nos péchés, ils pourraient disparaître.

Plus vite nous nous débarrassons de cette croyance stupide et illogique, mieux nous nous porterons. Si quelque chose peut être fait pour réparer ce qui est arrivé, très bien. Allez-y et faites-le, mais vous cogner inutilement la tête ne va aider personne.

Les choses se produisent, elles sont définitives et irréversibles. La meilleure chose à faire est de l’accepter et continuer votre vie telle qu’elle est maintenant. Ce n’est pas comme si vous aviez le choix, mais les vieilles habitudes ont la vie dure. À trois ans, tout ce que vous aviez à faire pour obtenir ce que vous vouliez était de piquer une crise. Cela pouvait marcher à l’époque, mais soyez certain(e) que cela ne marchera plus maintenant.

Je comprends la douleur et la tristesse associée à la perte d’un être cher. Mais nous devons faire tout ce que nous pouvons pour passer au delà. Nous devons continuer notre vie. La vie est assez rude pour que nous essayions d’éviter de créer des difficultés supplémentaires pour nous-mêmes.

Parfois, il faut du courage pour accepter, laisser aller et continuer de vivre notre vie. Mais c’est ce que la vie nous demande de faire. Il faut être assez fort pour se lever à chaque fois que nous tombons. Il faut avoir le courage de regarder en avant et non pas en arrière. Il faut être assez intelligent et assez sage pour vivre chaque jour et regarder l’avenir avec confiance.

Dans L’Homme des Hautes Plaines, un des nombreux films emblématiques de Clint Eastwood, on peut entendre la tirade suivante :

Vous ne voulez pas que vos magasins ou maisons soient brûlés.
Vous ne voulez pas qu’on touche à vos femmes.
Vous ne voulez pas qu’il vous arrive quelque chose.
Mais vous avez peur de faire quelque chose pour ne pas que cela arrive

Cela vous semble familier ? Il y a trop de gens qui détestent leur emploi. Trop de personnes qui n’aiment pas leur poids ou leur condition physique. Ils ont des rêves, des aspirations.

Ils savent qu’il y a d’autres options, des moyens qui pourraient améliorer leur niveau de vie et accroître l’impact qu’ils ont sur les autres. Mais ils ont peur de faire quelque chose à ce sujet.

Ne vous laissez pas avoir. Ne soyez pas contrôlé par vos craintes. Si vous savez que vous devez faire avec votre vie, faites-le !

S’il y a quelque chose qui vous empêche d’atteindre votre potentiel, faites quelque chose à ce sujet ! S’il y a quelque chose qui vous fait peur, affrontez la.

La peur nous retient. Elle arrive à nous convaincre que nous ne pourrons jamais réaliser nos rêves, nous dit de garder le silence et nous sépare de ceux que nous aimons. La peur a cette capacité inégalée de nous figer dans nos positions et de limiter ce que nous sommes prêts à essayer.

Les choses desquelles nous avons peur peuvent être très différentes, mais nos réactions face à ces peurs sont généralement les mêmes. Combien de fois avez-vous repoussé un rendez-vous, une opportunité ou une relation parce que vous vous aviez peur ?

La peur n’est pas une mauvaise chose en soi. Elle existe pour nous protéger. Mais il y a une grande différence entre la crainte salutaire qui nous dit de nous éloigner du bord d’une falaise et une peur constante qui nous empêche de vivre notre vie.

Trouvez un bon ami avec qui partager vos craintes. Nous avons tendance à garder nos peurs pour nous parce que nous craignons ce que les autres penserons de nous. Trouvez quelqu’un en qui vous pouvez faire confiance et partagez ce qui vous tracasse. Une fois que vous n’êtes plus seul, vous pourrez affronter vos peurs.

Il est important de garder à l’esprit que certaines craintes sont saines et que certaines situations doivent réellement être évitées pour notre propre sécurité personnelle.
Cependant, si la menace est plus mentale que physique, faire la chose qui vous fait peur peut être le meilleur antidote.

Ainsi, si votre plus grande crainte est de parler en public (c’en est une pour la majorité d’entre nous), envisager de diriger la prochaine prochaine, de parler face à un public restreint, familier.

Observez toutes les situation où vous avez été “freiné”, celles où vous avez été déçu. Vous remarquerez que – dans la grande majorité des cas, la peur était à l’origine de ces situations.

La peur de l’échec, la peur d’être rejeté, la peur de paraitre “stupide”, la peur de parler en public.

Quelle que soit cette peur, si nous ne faisons pas attention, elle peut souvent nous paralyser et nous empêcher de vivre la vie que nous voulons vraiment.

Bien sûr, certaines de nos craintes peuvent se réaliser :

• Nous pouvons échouer,
• Elle/il pourrait dire «Non»
• Vous pourriez avoir l’air stupide (mais pour qui ?).
• Vous pourriez décevoir quelqu’un.
• Votre entreprise pourrait échouer.

Mais que se passerait-il si vos craintes ne se réaliseraient pas ? N’est-ce pas cela le plus important ?

La vie est trop courte pour être dominé par la peur. Votre but est trop important pour être limité par la crainte.