Author: Nathalie BERTHET

  • Quatre choses qui peuvent rendre votre vie plus significative

    Quatre choses qui peuvent rendre votre vie plus significative

    Quand nous passons notre vie à survivre, la vie peut commencer à sembler un peu vide et inutile. Néanmoins, c’est exactement ce que beaucoup d’entre nous font : nous travaillons huit heures ou plus par jour, puis nous rentrons à la maison trop fatigués et épuisés pour faire tout ce que nous aimerions faire. Nous nous asseyons et regardons la télévision…

    La même chose se répète jour après jour et la chose la plus excitante que nous avons sont quelques jours de vacances une fois par an que nous attendons avec impatience. Est-ce vraiment vivre ? Voici quatre changements simples qui peuvent rendre votre vie plus significative : […]  Lire la suite

  • La vie est toujours en mouvement

    La vie est toujours en mouvement

    Bien que nous puissions parfois nous sentir coincés, l’univers répond aux pensées que nous avons à chaque instant et tout ce qui se passe lorsque nous sentons que les choses ne changent pas, c’est que nous avons les mêmes pensées. 

    La bonne nouvelle est qu’en changeant progressivement nos pensées pour qu’elles correspondent à ce que nous voulons, notre vie commence à changer pour refléter les changements dans notre façon de penser. Notre expérience de vie n’est en réalité qu’une image miroir de ce que nous pensons[…]  Lire la suite

  • Comment vieillir sans avoir de regrets

    Comment vieillir sans avoir de regrets

    Vieillir est une de ces choses que personne ne peut éviter. Il n’y a pas d’alternative à vieillir. Par conséquent, nous devons trouver une façon d’accueillir nos années avec un état ​​d’esprit positif.

    L’âge est un état d’esprit

    Nous pouvons avoir 20 ans et avoir l’attitude d’une personne âgée. De la même façon, nous pouvons avoir 70 ans et adopter une approche enfantine (dans le sens positif du terme) à la vie. L’âge est un point de vue mental. Pour rester jeune, nous devons conserver un esprit créatif, ouvert et chercher les bonnes choses de la vie. Ne vous laissez pas commander par des limites d’âge. Au lieu de cela , pensez à ce que vous pouvez faire. Adoptez un sentiment de gratitude pour les choses que vous n’aviez pas le temps d’apprécier quand vous étiez plus jeune .

    La nouveauté

    Peu importe votre âge, essayez de chercher la nouveauté dans la vie. Éviter de répéter quotidiennement la même routine, essayez d’acquérir de nouvelles compétences, de visiter des endroits différents. Si nous développons constamment nos horizons, la vie vous offrira de nouveaux défis quelle que soit notre âge. Vous avez probablement entendu parlé du groupe ‘The Zimmers’ il y a quelques années…

    Ne vous plaignez pas

    Je ne veux pas paraitre arrogant, mais je trouve souvent que certaines personnes âgées se plaignent très souvent. D’une façon ils ont raison – il y a beaucoup d’imperfections dans la vie. Mais, si nous ne voyons que le côté sombre, nous nous concentrons trop sur les choses négatives et cela se reflétera dans notre état d’esprit. Il est important de se détacher des problèmes du monde, de se détacher des limites et ees douleurs de notre corps .

    Arrêter les comparaisons

    Il est important d’éviter les comparaisons et ce, quel que soit notre age. Si nous nous comparons à d’autres personnes et passer en revue ce que nous aurions pu faire quand nous étions jeunes, nous aurons toujours un sentiment d’inadéquation. Ce n’est pas la bonne approche à adopter, à la place, nous devrions nous concentrer sur notre propre vie. C’est la seule que nous maitrisons vraiment.
    Cela signifie que nous devrions chercher à améliorer et développer nos expériences autant que possible. Nous partons de là où nous sommes et nous cherchons à faire des progrès dans notre propre chemin. Les bénéfices du développement personnel jaillissent uniquement à la suite d’un effort honnête. Le sentiment de satisfaction ne dépend pas du résultat des autres.

    Vivre dans l’instant présent

    Ne vivez pas en vous réveillant chaque matin en disant “si seulement …”. Il y a beaucoup de choses que nous aurions pu faire différemment et Il y aura beaucoup de choses que nous pourrons faire différemment mais nous devons laisser le passé là où il est. Et se concentrer sur ce que vous pouvez faire maintenant pour améliorer votre vie. Cela ne signifie pas que nous ne pouvons pas chérir de bons souvenirs mais, dans le même temps, nous avons besoin de donner plus d’importance aux instants présents. Ce sont – au bout du compte – les seuls que vous vivez réellement.

    Restez actif

    Vieillir ne signifie pas que nous devons végéter devant la télévision avec comme point culminant de la semaine, une excursion à la salle de bingo de la ville la plus proche. Il est important de garder notre esprit et, si possible, notre corps actif. Si nous n’exerçons pas nos facultés mentales, nous perdons notre capacité de concentration et notre capacité à s’engager dans la pensée critique. Nous devrions essayer d’être une longue vie de l’apprenant , si nous gardons notre esprit en permanence occupé , nous allons conserver nos facultés mentales plus longtemps. Nous allons également acquérir un sentiment d’ auto-amélioration continue jusqu’à un âge avancé .

    Soyez céatif

    Tagore et Churchill ont commencé la peinture au crépuscule de leur vie. The Zimmers que nous avons abordé précédemment ont sorti leur album très tard…Il n’y a aucune raison pour laquelle les personnes âgées ne peuvent pas être créatif. Lorsque nous ne sommes plus aussi actif physiquement, c’est l’occasion de découvrir de nouveaux talents, de nouvelles activités.

    Ne laissez pas votre âge être un facteur limitant.

  • Comment reprendre le contrôle de votre vie

    Comment reprendre le contrôle de votre vie

    Cheminez-vous à travers les jours, à faire toujours les mêmes choses, tout simplement parce que vous vous sentez obligé de le faire ? Sentez-vous désespérément le besoin de prendre le contrôle de votre vie ?

    Est-ce que votre vie ressemble à cela ?

    Votre réveil se déclenche. Vous faites votre routine du matin, vous vous habillez et prenez votre petit déjeuner. Vous arrivez au bureau. Vous regardez votre montre et vous vous rendez compte que vous venez tout juste de “perdre” deux heures de votre journée.

    Vous ouvrez votre boîte de réception, répondez à vos e-mails, Vous allez prendre un pour saluer vos collègues. Une autre heure vient de passer.

    Vous commencez le projet le plus important de la journée. Puis vous êtes interrompu. De retour à votre projet, c’est l’heure de vous rendre dans une réunion. Retour à votre projet après le déjeuner… interruption… projet.. interruption, “As tu une minute à m’accorder”… “bien sûr”….

    Vous pensez qu’une fois le travail terminé, vous aurez du temps libre, mais non… Le temps de rentrer à la maison, préparer le dîner, faire les devoirs avec les enfants, faire les bains, coucher les enfants… vous vous effondrez dans un fauteuil pendant quelques précieuses minutes, avant de continuer votre journée jusqu’a l’heure du coucher.

    Quel est le problème avec ce scénario ?

    Par où commencer ? Trop de gens vivent cette soi-disant «vie». Prennent-ils le temps de sentir les roses ? Eh bien, si vous voyagez dans la vie comme décrit ci dessus, vous ne voyez même pas les roses…

    Vous pourriez dire, la belle affaire, tout le monde vit comme cela aujourd’hui. Tout va vite, nous n’avons plus le temps de respirer entre les activités. Bien que cela puisse être vrai, cela n’en fait pas une bonne façon de vivre pour autant.

    Il est encore temps de rééquilibrer votre vie. Vous vous demandez peut-être par où commencer pour reprendre le contrôle de votre vie. Voici quelques pistes pour démarrer.

    5 étapes pour prendre le contrôle de votre vie

    Découvrez ce qui vous passionne. Cela pourrait être la famille, les enfants, les voitures, aider les autres, le succès, voyager … Assurez-vous que tout ce que vous faites dans votre vie reflète vos passions et vos valeurs.

    Rappelez-vous que tout est possible. C’est votre vie. Vous écrivez votre histoire. Ne laissez pas la peur vous empêcher de vivre le vie que vous souhaitez. Si le temps, l’argent, les compétences n’étaient pas un problème, qu’aimeriez vous faire ? Trouvez des façons de progresser vers cette vie.

    Profitez du voyage. Chaque jour, trouvez quelque chose pour laquelle vous êtes reconnaissant. Rappelez-vous de faire une pause pour apprécier tout ce qui est beau, tout ce qui est bon. Trouver le positif dans tout, même quand cela semble être complètement mauvais. Apprenez les leçons que la vie tente de vous enseigner. Utilisez-les pour aller de l’avant.

    Contrôlez les circonstances. N’utilisez pas les “circonstances” comme une excuse. Dépassez les et utilisez-les à votre avantage !

    Trouvez votre soutien. Tout le monde a besoin d’avoir un confident, un partenaire de responsabilité, quelqu’un en qui croire, à qui faire confiance. Trouvez le vôtre. Si vous ne pouvez pas en trouver un, trouver un coach de vie.

    Nous sommes parfois tellement occupé que nous oublions comment vivre. Vous pouvez prendre le contrôle de votre vie à nouveau et faire les choses que vous aimez faire… comme si vous étiez votre propre patron.

  • Faites-vous face à des problèmes ou des défis ?

    Faites-vous face à des problèmes ou des défis ?

    Qu’on le veuille ou non, les problèmes – ou les défis – font partie de la vie quotidienne. Que nous choisissions de les appeler défis (comme je le fais) ou problèmes ne va certainement pas changer le fait qu’ils se produisent. Cependant, cela change la façon dont nous y faisons face et petit changement peut faire une énorme différence sur nos perspectives.

    Inconsciemment, si nous le qualifions de ‘problème’, cela nous dit “qu’il y a quelque chose qui cloche”. Cette perception concentre notre énergie pour réparer ce qui ne va pas. Ce n’est pas un état d’esprit très stimulant.

    D’autre part, le mot ‘défi’ ne transmet pas de message de ce type. Au lieu d’essayer de réparer un dysfonctionnement, les défis nous encouragent à faire appel à nos ressources intérieures et de voir la situation comme une nouvelle opportunité de se développer. C’est un état d’esprit très stimulant.

    Les mots envoient des signaux à notre cerveau

    Il n’est pas rare d’utiliser les mots problèmes et défis de façon ‘aléatoire’, mais le fait est qu’ ils envoient des messages tout à fait différents à notre cerveau. Un des messages signifie “lutter pour retrouver le statu quo”. Nous avons, en quelque sorte, perdu du terrain et maintenant nous devons nous battre pour revenir là où nous étions.

    L’autre est plus stimulant et dit à notre esprit que tout va bien et que nous sommes prêts à apprendre quelque chose de nouveau. Pour notre subconscient, les défis sont représentés comme des opportunités. Nous les voyons comme un moyen de passer au niveau suivant. C’est notre chance de montrer ce que nous avons au fond de nous.

    C’est pourquoi apprendre à utiliser le mot défi plutôt que le mot problème a un effet positif sur notre façon de voir les choses. A nous de choisir si nous voulons que notre vie soit pleine de problèmes ou pleine d’opportunités ? Voulons nous simplement nous battre pour garder ce que nous avons ou sommes-nous prêts à relever le défi et passer au prochain niveau ?

    Changer les mots que nous utilisons change notre perception de la vie. Mais le plus important, est de le faire. Essayez, ne serait-ce qu’une semaine, de remplacer les problèmes par des défis pour voir ce qui se passe…

    C’est aussi simple que cela et c’est là que réside le vrai secret du développement personnel. Rien ne se passe si nous n’appliquons pas vraiment ce que nous apprenons. La puissance de toute compétence ou stratégie réside dans leur application. Si nous faisons une habitude de toujours appliquer les choses que nous apprenons, les compétences auront un effet profond sur nos vies.

  • “Ne pas perdre le contrôle” : Gagner en perdant

    “Ne pas perdre le contrôle” : Gagner en perdant

    Tout le monde parle de l’importance de “ne pas perdre le contrôle”, mais la réalité est que nous le perdons tout le temps, en toute circonstance.

    Un simple repas dans un restaurant est un excellent exemple. Dès lors que vous choisissez un plat sur le menu, vous perdez le contrôle. Vous ne pouvez pas contrôler le type d’aliments qu’ils vous apportent. Vous ne pouvez pas contrôler la qualité, l’hygiène….

    Si notre objectif est vraiment de “ne pas perdre le contrôle”, pourquoi faisons-nous cela ?

    La réponse est simple: vous échangez le contrôle pour un avantage que vous appréciez plus. Cela peut être la facilité, la qualité, le prix, ou toute autre chose – mais dans chaque cas, vous échangez le contrôle contre une certaine valeur.

    Ceci est normal, naturel et raisonnable. En fait, c’est un échange que nous faisons plusieurs fois par jour – souvent sans même y penser. Ce qui est encore plus remarquable est que, dans l’ensemble, nous sommes d’accord avec ça. Si nous y réfléchissons concrètement, nous sommes heureux de céder un peu de contrôle une grande partie du temps.

    Si tout est sous contrôle, vous n’allez pas assez vite – Mario Andretti

    La plupart du temps, à moins que nous n’aimons la valeur que nous recevons en retour, c’est ce qui arrive. Ensuite, vient le moment où nous sentons que nous sommes en train de “perdre le contrôle”. Ce problème est souvent aggravé par le fait que nous ne sommes même pas conscients de ce que nous donnons ou obtenons – nous savons juste que quelque chose est “parti”.

    Heureusement, il existe une solution à ce problème. Et elle se résume à 3 choses :

    • Soyez conscient que vous donnez le contrôle.
    • Soyez conscient que c’est une décision. Dans la plus grande majorité des cas, vous prenez la décision de céder le contrôle.
    • Évaluez le coût et les avantages de cette décision.

    Afin d’atteindre cet objectif, il y a une série de questions que vous devez vous poser. Soyez honnête dans la réponse.

  • A qui je donne le contrôle ? Mon frère ? Mon patron ? Le chef d’un restaurant ? Soyez aussi précis que cela est raisonnablement possible.
  • Quel type de contrôle vais-je perdre ? Payer les factures ? Organiser une fête ?
  • Pourquoi dois-je céder le contrôle ? Y at-il une bonne raison, ou est-ce juste la force de l’habitude ?Résistez à l’envie de répondre “parce que”, mais si vous n’arrivez pas à trouver la raison profonde, faites vous une note.
  • Qu’est-ce que je gagne en cédant le contrôle ? De l’argent? Du temps supplémentaire ? Une meilleure qualité de vie ? Si vous ne gagnez rien, écrivez simplement “rien”.
  • Qu’est-ce que je perds en cédant le  contrôle? De l’argent ? Du temps? Une meilleure qualité de vie ? Oui, vous pouvez perdre toutes ces choses aussi bien que vous pouvez les gagner !
  • Comment cette décision me faire sentir ? Impuissant ? Triste ? Heureux ? .
  •  […]  Lire la suite

  • Vous pouvez choisir la façon de réagir et de répondre

    Vous pouvez choisir la façon de réagir et de répondre

    Nous entendons souvent des personnes se plaindre de la façon dont ils se sentent désespérés, impuissants ou complètement frustrés par la vie et les gens. Certains défis de la vie sont plus difficiles que d’autres. Parfois, il nous est impossible de nous éloigner de certaines personnes négatives, exigeantes, toxiques… Cela fait partie de la vie – elle peut être belle, mais elle ne sera jamais parfaite.

    Une fois que vous acceptez cela, vous réaliserez que vous choisissez comment réagir et comment répondre à toutes les situations de la vie.
    Nous avons tous le choix et je ne pense pas que la plupart des gens veulent répondre ou réagir négativement. Je pense, au contraire, que la plupart des gens veulent se sentir bien et veulent que la vie soit simple et belle.
    Je pense que la plupart des gens veulent faire une différence dans le monde et la vie de ceux qui les entoure d’une manière positive. Nous ne sommes limités à le faire que par nos propres choix.
    Vous avez le choix, à chaque instant, d’être le meilleur de vous-même. Même lorsque vous avez été blessé, que vous êtes en colère ou frustré, vous pouvez décider de rester paisible, aimant et joyeux ou être méchant, haineux et en colère. Ce n’est pas toujours facile, parce que les circonstances de la vie – ou parfois certaines personnes – nous touchent vraiment au plus profond de notre être. Mais ils n’ont que le pouvoir que nous le permettons d’avoir.

    Lorsque vous vous efforcez de répondre et de réagir de manière positive, vous êtes en contrôle de vos émotions. Voici quelques-unes des choses que je pratique quand la vie me pèse ou lorsque les circonstances me mettent au défi. Avant de réagir ou de répondre…

    • Je fais une pause et je prends quelques respirations profondes
    • Je me remémore toutes les choses positives dans ma vie
    • Je pense à la façon dont je souhaite être perçu (aimant, respectueux, patient etc… ou hors de contrôle, colérique, injuste, etc.)
    • J’essaye d’identifier le résultat de ma réaction

    N’oubliez pas que vous ne pouvez pas changer les autres et les circonstances. Nous voyons le monde à travers nos lentilles, nos perceptions.

  • Quelques techniques simples de pensée positive

    Quelques techniques simples de pensée positive

    Comment pouvez-vous trouver le bonheur quand tout semble aller mal dans votre vie ? Voici quelques techniques qui peuvent vous aider devenir positif, à penser positif et le rester

    Sortez et faites-vous dorloter

    Il y a des moments où vous avez juste besoin de sortir et prendre soin de vous. Allez vous faire faire une manucure, une pédicure ou même un massage, une nouvelle coupe de cheveux…. Quelle que soit la chose que vous déciderez de faire, assurez-vous que c’est quelque chose que vous apprécierez. Aller dans des endroits qui vous ont été recommandés, l’idée ici est d’être sûr que vous passiez un excellent moment. Un moment qui vous fera voir que tout n’est pas si triste, un moment que vous méritez. Ne vous sentez surtout pas coupable de prendre du temps pour vous.

    Faites plus d’exercice

    Allez faire un tour, une randonnée pour profiter de la nature. Parfois, il suffit juste que l’énergie puisse circuler à l’intérieur de votre corps pour que vous commenciez à vous sentir mieux dans votre peau. L’exercice peut soulager les premiers signes de dépression et bien plus encore.

    Écrire des choses qui vous rendent heureux

    Rappelez-vous de toutes ces choses que vous avez dans la vie et pour lesquelles vous êtes reconnaissants. Faites en liste que vous pourrez lire encore et encore et quand bon vous semble. Quand les choses vont mal dans la vie, il est facile d’oublier les choses qui vous font du bien. Notez ce qui signifient beaucoup pour vous et vous verrez que cela vous aidera lorsque vous en aurez besoin.

    Passez du temps avec vos amis, votre famille

    Ne négligez pas le temps passé avec vos amis et votre famille. Ce sont ces personnes qui vous soutiendront lorsque vous aurez besoin d’être écouté ou de vous plaindre des choses qui se passent dans votre vie.
    Prenez ce temps avec eux et je suis persuadé qu’ils vous donneront des conseils qui pourront vous aider.

    Riez autant que possible

    À quand remonte la dernière fois où vous avez ri si fort que vous en avez pleuré ? La plupart des gens ne peuvent s’en souvenir. Pourtant le rire, aussi simple soit-il, peut vraiment vous aider à vous sentir mieux. Allez voir un film, un humoriste que vous aimez et qui passerait près de chez vous… Entourez vous de personnes qui vous font rire.

    Garder les choses enfouies au plus profond de vous peut être extrêmement malsain pour vous. Parlez avec des gens en qui vous avez confiance et apprenez à accepter qu’il y a des situations pour lesquelles vous ne pouvez rien faire. Les choses peuvent changer au fil du temps et je sais que, parfois, tout ce dont vous avez besoin est un peu de patience avant de pouvoir voir les changements.

  • Ne laissez pas les autres vous intimider

    Ne laissez pas les autres vous intimider

    Avez-vous déjà été victime d’intimidation, humilié, harcelé ou traité avec mépris ? Lorsque vous avez essayé de vous intégrer dans une nouvelle école, un nouvel emploi ou un quartier, quelqu’un ou un groupe a-t-il fait des insultes racistes, critiqué votre religion, rigolé de votre apparence, ridiculisé vos opinions ou vos croyances ? Quand vous avez essayé de vous exprimer, ont-ils montré de l’appréciation ou montré du dédain ?

    L’intimidation prend de nombreuses formes. Cela pourrait être de la violence physique ou verbale. Vous pouvez être empêché de faire ce que vous voulez faire ou être contraint de faire ce que vous ne voulez pas. Vous pouvez être critiqué, insulté ou menacé. Le résultat de tout cela est une douleur émotionnelle et physique considérable.

    Que pouvons-nous faire face à un tel abus quand cela nous arrive ? Premièrement, nous pouvons apprendre à comprendre les causes. Une fois que nous le faisons, cela peut suffire à mettre fin à la douleur, où au moins la diminuer. Comprendre les causes indiquera également les options et les solutions possibles. Alors, pourquoi certaines personnes sont-elles si belliqueuses ?

    Elles agissent de la sorte parce qu’elles sont faibles. Elles ont peu ou pas confiance. Elles se sentent infructueuses et incompétentes. Elles sentent qu’elles n’ont aucun pouvoir sur leur vie et cherchent désespérément une méthode pour remplir ce vide. Puis, vous arrivez et, si, d’une manière ou d’une autre, elles peuvent vous faire vous sentir mal, si elles sentent qu’elles peuvent contrôler vos émotions, elles se seront rachetés, car maintenant elles auront enfin du CONTRÔLE et du POUVOIR. C’est vrai, c’est un pouvoir destructeur plutôt que constructif, mais pour ce genre de personne, tout pouvoir vaut mieux qu’aucun. Certes, c’est le contrôle sur la vie des autres plutôt que sur leur propre vie, mais à leurs yeux, un contrôle est préférable à aucun contrôle.

    En raison de la complexité de la vie, il n’y a pas une seule explication de l’hostilité. Cependant, il y a un point commun. Dans tous les cas, l’agresseur est faible. Il ou elle peut porter leur belligérance comme un bouclier. Ils peuvent avoir peur d’être ridiculisés à cause de leur propre incompétence, alors ils s’en prennent à d’autres dans une attaque préventive. En outre, à cause des sentiments de dévalorisation, ils cherchent des moyens de devenir le centre d’attention et être reconnus.

    Parmi les autres raisons de s’adonner à des comportements malveillants, citons la pression des pairs, la jalousie et l’envie et la glorification de la violence à la télévision, dans les films et dans les jeux vidéo. Les instigateurs eux-mêmes peuvent aussi être des victimes. Peut-être qu’ils sont abusés par un frère ou une sœur, un parent ou un voisin et sont maintenant en train de faire subir les mêmes choses aux autres pour libérer une partie de leur hostilité refoulée. Certains politiciens vont souvent calomnier leurs rivaux pour détourner l’attention de leur propre manque d’idées.

    Il est également utile de comprendre que la douleur que nous ressentons lorsque les insultes sont portées à notre attention, n’est pas causée par les insultes elles-mêmes, mais par notre réaction à celles-ci. Cette leçon importante. Ce ne sont pas des événements extérieurs, mais nos réactions qui causent notre souffrance. C’est un principe majeur de la psychologie moderne.

    Un autre point à considérer est qu’un harceleur ne peut pas changer la vérité. Voici comment Samuel Johnson illustre ce principe : Une mouche peut piquer un cheval majestueux et le faire grimacer; mais l’un n’est qu’un insecte, et l’autre est toujours un cheval. Alors, pourquoi vous irriter suite aux tentatives pathétiques d’une personne insécure ? En fait, essayez de ressentir leur douleur. Qui sait, si vous agissez avec compassion, vous pourrez peut-être guérir leurs blessures aussi bien que les vôtres.

    Saviez-vous que Harrison Ford , Mel Gibson , Tom Cruise et Michelle Pfeiffer ont tous été harcelés à l’école ? Qui rit le plus maintenant ? Cela ne démontre-t-il pas que les choses changent ? Ce n’est pas parce que vous êtes dans une situation désagréable aujourd’hui qu’elle va durer indéfiniment. Rappelez-vous également que les intimidateurs ne vous attaquent pas vraiment, mais attaquent les événements qui se sont produits dans leur propre vie.

    Peut-on dire quelque chose de positif à propos des insultes ? Oui, Sigmund Freud a écrit : “Le premier être humain qui a lancé une insulte au lieu d’une pierre était le fondateur de la civilisation.” Passer de la violence physique à la violence verbale peut être un pas dans la bonne direction, mais elle offre peu de consolation.

    Il est maintenant temps de voir les options qui s’offrent à nous lorsque nous sommes victimes d’agression. Disons qu’un collègue, un camarade de classe ou un voisin se moque de nous et nous manque de respect. Que pouvons-nous faire à ce sujet ?

    Notre premier instinct peut être de se défendre. L’approche conflictuelle est émotionnelle, pas rationnelle. Ce n’est jamais la bonne réponse. Tout ce que cela fait est d’escalader la tension et la colère. Il rend toutes les interactions futures avec la même personne beaucoup plus stressantes. Mais que faire si, après avoir été insulté, nous frappons l’intimidateur ? Cela ne fait-il pas de nous l’intimidateur ?

    Notre deuxième option serait de partir, en essayant d’ignorer les faits. Ce choix peut être bon ou moins bon selon les circonstances et notre motivation. Si la seule raison pour laquelle je m’éloigne est que je suis passif et insouciant serait le mauvais choix à faire. Ne devenez pas le type de personne que l’intimidateur recherche. C’est-à-dire, ne devenez pas une cible facile, une personne qui ne défendra pas ses droits.

    Pourtant, parfois, accepter la défaite avec élégance est la meilleure preuve de bravoure. À quoi bon tenir tête à un voyou s’il pointe vers moi une arme ? Ni le fait que j’avais raison, ni mes actions héroïques ne serviront de consolation à ma veuve ou à mes enfants. Si nous avons des raisons de croire que l’agresseur est violent, il est logique de s’en aller. Personne n’aime être considéré comme un lâche, alors qu’il faut du courage pour admettre la défaite et partir.

    Mais il y a une autre raison de partir. J’ai peut-être pitié de l’intimidateur qui cherche désespérément de l’attention et du contrôle sur les autres pour cacher ses propres sentiments d’inadéquation. En d’autres termes, je pars dans la compassion et le pardon. Je m’élève au-dessus de la petitesse de tout cela. C’est ce qu’a fait René Descartes quand il écrivait: “Quand quelqu’un m’a offensé, j’essaie d’élever mon âme si haut que l’offense ne peut l’atteindre.” Il y a aussi un aspect de bon sens à cette méthode, car si je n’accepte pas le insultes d’autrui, qui va être offensé ? L’approche spirituelle consistant à ignorer les insultes et à traiter l’agresseur avec respect pour essayer de le mener vers une certaine transformation.

    Que se passe-t-il si l’agresseur a froid au cœur et ne répond pas à mon acceptation ?

    Il est temps de repenser le chemin spirituel approprié. Considérez les deux choix spirituels suivants. Je peux me retirer dans une grotte isolée et méditer pendant dix ans. Si je le faisais, cela pourrait être utile pour mon développement spirituel, mais quelle aide cela apporterait-il à un monde troublé ? Une deuxième approche est le chemin de Mère Teresa. C’est une implication active dans le monde, offrant de l’aide là où c’est nécessaire. N’est-ce pas un moyen supérieur ?

    Comment ce point s’applique-t-il aux intimidateurs ? Eh bien, si je pars dans le pardon année après année, mes actions peuvent être utiles pour mon développement spirituel, mais qu’en est-il des autres victimes ? Peut-être que leurs cœurs ne sont pas remplis de compassion, mais remplis d’angoisse. Pourquoi y a-t-il des tyrans en premier lieu ? N’est-ce pas parce que nous ne sommes pas assez nombreux pour défendre nos droits ? Par conséquent, l’action idéale à prendre, ce qui n’est pas toujours possible, est de se défendre. C’est la troisième option. C’est le meilleur choix, car lorsque nous le suivons, nous nous aidons nous-mêmes, aidons les autres victimes et aidons l’agresseur.

    La troisième option n’est pas de se lever contre l’intimidateur. Autrement dit, il ne s’agit pas de devenir agressif. Il s’agit plutôt de défendre nos droits. Il s’agit d’être assertif. Ne pas défendre nos droits a de graves conséquences. Cela conduit à plus d’abus et nous fait éprouver les émotions toxiques de la colère, du ressentiment, de l’anxiété et de la frustration. Nous perdons non seulement le contrôle de nos vies, mais perdons aussi notre intégrité parce que nous dissimulons nos sentiments. Et nous perdons confiance dans les autres, nous perdons confiance en nous et perdons le plaisir quotidien de la vie. Donc, nous avons beaucoup de raisons d’être d’accord avec Ralph Waldo Emerson qui a écrit: “On ne devrait jamais tourner le dos à un danger et essayer de s’enfuir. Si vous faites cela, vous doublerez le danger. Mais si vous le rencontrez rapidement et sans broncher, vous réduirez le danger de moitié. Ne fuyez jamais rien. Jamais !”

    Un collègue nous insulte constamment et nous en sommes mécontents. Comment agissons-nous de manière assertive ?

    1. Commencez avec empathie. Montrer que vous comprenez leurs sentiments et que vous n’essayer pas de les remettre en cause.
    2. Énoncez le problème en donnant les raisons pour lesquelles l’intimidateur devrait mettre fin à son mauvais comportement.
    3. Dites ce que vous attendez.
    4. Demandez une confirmation.

    Voici un exemple plus concret

  • J’imagine que vous voulez juste vous amuser, mais je ne veux pas que vous le fassiez à mes dépens.
  • Quand vous plaisantez de cette façon, cela m’offense, encourage les autres à agir de manière irrespectueuse et brise l’esprit d’équipe.
  • J’apprécierais donc que vous arrêtiez les insultes. Il n’y a aucune raison pour que nous ne puissions pas nous respecter les uns les autres.
  • Comprenez-vous ce que je veux dire ?
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  • Pardonner : Libérez-vous du poids de ces erreurs

    Pardonner : Libérez-vous du poids de ces erreurs

    Trop de personnes – moi y compris – laissent certains événements de leur passé entacher le présent et leur avenir. Afin de grandir et créer un avenir rempli de paix, de liberté, d’amour et de joie, nous devons apprendre à pardonner.

    Il y a plus de noblesse et de vraie grandeur d’âme à pardonner qu’à se venger. Jean Baptiste Blanchard

    Le pardon ne consiste pas à oublier le passé; Il s’agit de se le rappeler sans ressentiment. Les sages comprennent que le pardon ne vous rend pas plus faible, mais vous renforce. Lorsque vous vous libérez des douleurs et des fardeaux du passé, vous fortifiez votre corps, vous clarifiez et libérez votre esprit.

    Décidez maintenant de pardonner à ceux qui vous ont fait du tort, non pas en oubliant ce qu’ils vous ont fait, mais en ne permettant pas à ces événements douloureux de continuer à exercer un quelconque pouvoir sur vous et votre avenir. Rappelez-vous, le passé ne peut pas être changé. Aucune inquiétude ou ressentiment envers les autres ne peut altérer ce qui est arrivé. Vous avez traversé le pire, c’est une chose indéniable, mais n’ajouter pas plus de douleur à la douleur. Je sais que ce genre de chose est plus facile à dire qu’à faire. Cela n’en demeure pas moins vrai.

    Le plus important, est de se pardonner soi même. Vous devez vous pardonner pour vos erreurs et vos échecs passés. N’oubliez pas ce qui les a créés, apprenez de leurs causes, puis libérez-vous du poids de ces erreurs. Cela vous permettra de grandir et de forger un nouveau chemin vers l’avant. Un nouveau chemin vers l’endroit où vous voulez aller. Encore une fois, je sais que cela peut être difficile, mais essayez de trouver la paix en vous.

    Vous avez maintenant la possibilité de tout recommencer. Vous pouvez être plus sage et plus fort. Commencez dès aujourd’hui à concevoir un avenir. Pardonnez mais n’oubliez jamais.

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