J’applaudis tous les gens dans le monde qui font le nécessaire pour devenir la meilleure version d’eux-mêmes. Vous n’avez rien à gagner à être une copie de quelqu’un d’autre. Cela fait plus de mal que de bien.
Le monde a besoin de votre originalité. On nous a tous donné une force de frappe différente pour laisser notre propre empreinte sur ce monde. Il n’y a pas deux personnes pareilles, et même si vous prenez des traits de votre famille, de vos amis vous n’êtes toujours pas une copie. […]
Vous n’obtiendrez rien si vous ne faite rien pour l’obtenir. Beaucoup (trop) de gens ne réalisent pas leurs rêves parcequ’ils ne font rien ou n’ose pas faire les choses nécessaires pour les réaliser.
Je suis sûr que vous pouvez vous souvenir d’une époque où vous aviez peur de demander quelque chose et pensiez que même si vous le demandiez, cela ne changerait rien. Pourtant, vous avez demandé et à votre grande surprise, vous avez obtenu ce que vous demandiez.
Nous avons tous eu des moments comme ça, alors pourquoi hésitons nous à demander plus souvent?
Fondamentalement, c’est de la peur. Mais une fois que vous passez ce stade de peur, une fois que vous sortez de votre zone de confort, vous arrivez à demander et généralement vous obtenez ce que vous demandiez.
Rappelez-vous, cela ne coûte rien d’essayer.
Vivre sans limites ne signifie pas aller à travers la vie de manière irréfléchie. Vivre sans limites signifie que vous avez décidé d’étirer votre confiance jusqu’à ce qu’elle vous permette d’atteindre et réaliser vos rêves. Vivre sans limites signifie que vous êtes prêt à sauter dans l’inconnu pour accomplir votre objectif. Mais par dessus tout, vivre sans limites signifie que vous refusez de laisser la peur vous empêche d’avancer.
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Personne ne veut vivre avec des regrets, personne ne veut se faire voler son but. Lorsque vous décidez de vivre sans limites, vous prenez la décision de devenir ce que vous êtes censé être. N’est-il pas temps d’identifier votre rêve, puis prendre des mesures pour vous en rapprocher ?
Que vouliez-vous faire quand vous étiez plus jeune ? Quel rêve vouliez-vous atteindre ? Qu’avez vous laissé vous empêcher d’avancer dans cette direction ?
La vie est trop courte pour vivre en fonction de ce que les autres vous disent de faire, être. Vous devez prendre le contrôle de votre propre vie, de vos propres rêves. Si vous ne le faites pas, quelqu’un d’autre le fera.
Personne ne doit vivre avec des regrets. Ne soyez pas intimidés par vos rêves, ils ne peuvent pas se réaliser sans vous. Laissez-leur une chance. vous leur devez.
Lorsque vous vous sentez heureux, vous pouvez trouver facile de partager des mots gentils et une affection sincère. Mais quand vous êtes découragé ou fatigué, il peut être extrêmement difficile d’encourager quelqu’un (y compris vous-même).
Anna Quindlen l’a correctement expliqué : « L’amour n’est pas un loisir, c’est un travail« . Ainsi, même les jours où vous ne vous en sentez pas capable, vous devez faire le «travail» nécessaire pour donner et recevoir l’amour. Après tout, le monde a encore besoin de toute la gentillesse qu’il peut obtenir… surtout de vous.
L’amour, un fruit toujours de saison et à la portée de chaque main – Mère Teresa
Il est temps de se venger de certaines personnes. De leur rendre la pareil.
Pas avec celles qui vous ont blessé, mais avec celles qui vous ont aidé.
Pas avec celles qui doutaient de vous, mais avec celles qui croyaient en vous.
Pas avec celles qui vous ont dit non, mais avec celles qui vous ont donné des opportunités.
Pas avec celles qui vous ont trahi, mais avec celles qui étaient là quand vous en aviez besoin.
Pas avec celles qui pensaient que vous ne pouviez pas, mais avec celles qui savaient que vous pouviez. […]
Mais la vie n’est pas une punition, c’est une récompense, c’est un cadeau. Au moment où vous commencez à vous lier d’amitié avec la vie, vous serez surpris par sa beauté, sa poésie, sa musicalité. Une fois que votre idée de négation disparaît et que quelque chose de positif s’installe à l’intérieur, une porte secrète s’ouvre, la vie commence à vous révéler ses mystères.
Ces mystères ne peuvent être que révélés à des amis; ils ne peuvent être révélés à tout le monde, ils ne peuvent être rendus publics. Ce n’est que lorsque vous êtes en relation profonde et intime avec la vie qu’elle vous ouvre son cœur. Dans cette ouverture même, on vient à savoir ce qu’est la vérité, ce qu’est l’amour, ce qu’est la béatitude, ce qu’est l’existence.
Si nous pouvons voir la beauté, si nous pouvons expérimenter la joie, voir les étoiles scintiller et les feuilles danser sous le vent et la pluie, nous ne poserons plus de questions telles que « Est-ce que le tout puissant existe ? » Ou peu importe la façon dont nous pouvons l’appeler. Nous saurons que cette beauté est cette toute puissance, que cette splendeur est cette toute puissance.
Soyez plus sensible aux beautés de la nature, de la vie, de l’existence, parce que c’est la seule façon valable de prendre conscience de la vie. Il n’y a pas d’autre moyen. Il n’y en a jamais eu et il n’y en aura jamais d’autre.
Avec une exposition constante de nouvelles négatives, nous avons tendance à internaliser ces informations et elles se transforment en une perception négative et cynique sur les autres et le monde qui nous entoure. Les nouvelles négatives attirent l’attention, et nos cerveaux sont câblés pour les détecter. Comme le dit Rick Hanson: « Le cerveau est comme le velcro pour les expériences négatives, mais comme le téflon pour les expériences positives. » Ce câblage nous a aidés à survivre comme une espèce et nous préserve du danger.
Malheureusement, cela facilite également la perte d’espoir. Parfois, nous perdons espoir sur le monde qui nous entoure, et même sur nous-mêmes. Nous nions nos craintes et nous sentons impuissants, alors nous tentons, autant que possible, d’éviter la douleur potentielle. Il est plus facile d’être sceptique et sans espoir que d’avoir de l’espoir. Avoir de l’espoir est difficile. Être sceptique est facile.
La pire chose qui puisse arriver dans une démocratie – comme dans la vie d’un individu – est de devenir cynique sur l’avenir et perdre espoir. – Hillary Clinton
Avoir de l’espoir et aller de l’avant dans l’inconnu est effrayant, mais c’est là que nous grandissons. Pensez-y, la croissance vient de ces moments où il y a un manque de certitude, quand nous sommes aux prises avec un problème. Avoir de l’espoir pendant les périodes difficiles n’est pas chose aisée, mais c’est aussi dans ces périodes que cela est plus essentiel que jamais.
Comme Gandhi nous le demande… nous devons être le changement que nous voulons voir dans le monde. Pensez à vos réalisations passées où vous avez fait des changements incroyables, où vous avez traversé l’adversité, où vous êtes devenu une meilleure version de vous même, mieux que vous n’avez jamais été auparavant. De même, pensez au monde, beaucoup de défis restent à relever, mais il y a aussi eu beaucoup de progrès. Des milliers d’organisations à travers le monde font leur maximum pour la paix mondiale et la préservation de l’environnement. La science progresse constamment… Des idées d’abord présentées comme de la science-fiction sont maintenant devenues une réalité. Notre monde a encore un long chemin à parcourir, mais nous avons également fait des progrès incroyables et c’est quelque chose que nous devons reconnaître.
Au lieu d’être cynique et douter de vous-même et du monde, soyez plein d’espoir. Après tout, qu’est-ce que vous avez à perdre ? Imaginez ce qui est possible. Faites votre part pour aider à y arriver. Comme Nelson Mandela le dit, « Cela semble toujours impossible jusqu’à ce que ce soit fait. » Faites ce qui semble impossible. Faites-le pour vous, vos proches. Faites-le pour vos enfants et pour les générations futures qui méritent de vivre sur cette terre comme nous l’avons fait. Lorsque nous nous réunissons tous, notre potentiel est vraiment illimité.
Rappelez-vous: l’espoir est une chose que vous pouvez choisir d’avoir…
Heureusement, le photographe Aaron Draper tire l’humanité à la surface avec ses portraits de personnes sans abri de tous horizons. Cette collection de photos a le pouvoir de nous montrer que ces femmes poussant des chariots sont des soeurs, des mères et des filles. Que cette personne âgé a encore des histoires à raconter et des rêves à chasser.
Les photos d’Aaron mettent en lumière des lignes sociales floues. Si les personnes présentées sont originaires d’Amérique, elles existent aussi chez nous. Peu importe les raisons qui ont poussées une personne à vivre dans la rue, elles sont vivantes, fortes et dignes d’être vu pour ce qu’elles sont et non pour ce qu’elles ont. Cette vidéo offre le genre de compassion qui incite les gens comme vous et moi à agir. Et qui sait, peut-être que les photos d’Aaron inspireront les gens à regarder les choses d’une différente manière… n’importe qui peut aider toute l’année.
credit photo : AARON DRAPER
Cela peut sembler contradictoire mais l’échec conduit souvent au succès. Comment l’échec peut-il mener au succès ? Par l’action, tout simplement.
Les gens qui sont prêts à affronter l’échec sont des gens qui prennent des mesures. Souvent, la peur associée à l’insuffisance est l’immobilisation. Ceux qui agissent sur leurs idées ou leurs croyances sont prêts à braver le risque d’échouer. Pour cette raison, ils ont tendance à en faire plus. Vous ne pourrez jamais connaitre votre potentiel si vous n’êtes pas prêt à prendre des mesures.
Penser est facile, agir est difficile. Mettre ses pensées en action est la chose la plus difficile au monde. – Johann Wolfgang von Goethe
L’apprentissage par l’échec vous donne une meilleure compréhension de ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Pour autant, de nombreux adultes ont peur de tenter quelque chose de nouveau de peur de z »casser » quelque chose.
Cette crainte les immobilise mais si s’ils étaient disposés à échouer à plusieurs reprises, ils pourraient – non seulement – acquérir une meilleure compréhension, mais aussi être en mesure de résoudre leur problème.
L’échec nous montre ce qui peut arriver dans le pire des cas, mais nous permet également de vivre une vie à son plein potentiel. D’une certaine manière, refuser d’affronter un échec tend à se traduire par refuser de connaître le succès.
Vous ne pouvez pas connaitre une grande victoire si vous n’êtes pas prêts à accepter le risque. L’échec est une partie de la vie tout simplement.
Que faire si votre prochain emploi est tout aussi mauvais, si votre écriture ne séduit pas, si le temps est mauvais ou cette compétence ne vous apporte rien de vraiment utile ?
Que se passe-t-il ensuite ? Que faire si vous êtes au chômage, si vous êtes sans le sous, si vous êtes malheureux ou si vous avez perdu votre temps.
Que se passe-t-il ensuite ? Comment expliquez-vous cela à votre famille, vos amis ? Cela sera probablement embarrassant ? Voulez-vous vraiment les entendre vous dire: « Je te l’avais dit » ?
Que se passe-t-il ensuite ? Et après ça et après ? Il est facile d’extrapoler la «prochaine» étape, en créant des scénarios imaginaires qui sont souvent diaboliques, effrayants, nous donnant toutes les excuses apparemment valables pour ne rien faire.
Peut-être est-il temps d’arrêter de nous poser cette question. Peut-être est-il temps de commencer à se demander: » Que dois-je faire maintenant ? »