Author: Nathalie BERTHET

  • Qu’est-ce que cela signifie d’être engagé ?

    Qu’est-ce que cela signifie d’être engagé ?

    L’engagement est plus que simplement dire que vous allez le faire. L’engagement est plus que de bonnes intentions. L’engagement est plus qu’un processus ponctuel. C’est une entreprise continue, moment par moment. C’est plus qu’essayer. 

    L’engagement consiste à faire tout ce qui est nécessaire, aussi longtemps que nécessaire, pour que le travail soit effectué, pour que l’objectif soit réalisé.

    L’engagement ne cède pas au premier signe de difficulté. L’engagement reste sur la bonne voie, évoluant de façon constante dans les bons et les mauvais moments.  […]  Lire la suite

  • Le bonheur et ses surprises

    Le bonheur et ses surprises

    Si vous cherchez des façons de développer votre bonheur, vous n’êtes pas seul. Dans cette conférence, Nancy Etcoff, chercheur en sciences cognitives, vous explique en 14 minutes les résultats de ses recherches sur le bonheur, elle partage aussi la formule facile pour un mariage heureux. Une conférence à découvrir sans plus attendre.

    Transcription de Nancy Etcoff nous parle de la surprenante science du bonheur:

    Cela s’intitule Accro à une sensation : La poursuite du bonheur et la conception de l’Homme. J’y ai mis un Darwin un peu austère, mais un chimpanzé très heureux. Mon premier point est que la poursuite du bonheur est obligatoire. L’Homme veut être heureux, n’aspire qu’à être heureux, et ne peut pas ne pas vouloir l’être. Nous sommes programmés pour rechercher le bonheur, non seulement pour en profiter, mais pour en vouloir de plus en plus.

    Donc, en supposant que ce soit vrai, réussissons-nous à augmenter notre bonheur ? Eh bien, il est certain que nous essayons. Si vous regardez sur le site Amazon, il y a plus de 2 000 titres avec des conseils sur les sept habitudes, les neuf choix, les 10 secrets, les 14 000 pensées qui sont censées apporter le bonheur. Une autre façon pour nous d’essayer d’augmenter notre bonheur, c’est de prendre des médicaments. Et il y a donc là plus de 120 millions d’ordonnances pour des antidépresseurs. Le Prozac a vraiment été le premier médicament à grand succès populaire. Il était propre, efficace, il n’y avait pas d’effet euphorisant, il ne présentait vraiment pas de danger, il n’avait aucune valeur marchande. En 1995, le marché des drogues illégales se montait à 400 milliards de dollars, ce qui représente huit pour cent du commerce mondial, sensiblement autant que le gaz et le pétrole.

    Ces voies du bonheur n’ont pas vraiment beaucoup augmenté le bonheur . Un problème qu’on rencontre aujourd’hui est, bien que les taux de bonheur soient presque aussi plats que la surface de la Lune, la dépression et l’anxiété sont en hausse. Certaines personnes disent que c’est parce que nous avons un meilleur diagnostic, et qu’on dépiste plus de gens. Ce n’est pas que cela. On le voit partout dans le monde. Aux États-Unis, en ce moment-même il y a plus de suicides que d’homicides. Il y a une vague de suicides en Chine. Et l’Organisation Mondiale de la Santé prédit que d’ici l’an 2020, la dépression sera la deuxième plus grande cause d’invalidité.

    Maintenant, la bonne nouvelle, c’est que si l’on regarde des enquêtes du monde entier, on voit qu’environ les trois quarts de la population diront qu’ils sont au moins assez heureux. Mais ça ne suit aucune des tendances habituelles. Par exemple, on voit ici une croissance importante de revenus, et des courbes de bonheur absolument plates.

    Mon domaine, le domaine de la psychologie, n’a pas fait grand-chose pour nous aider à avancer dans la compréhension du bonheur humain. En partie, nous avons l’héritage de Freud, qui était un pessimiste, qui a dit que la poursuite du bonheur est une quête vouée à l’échec, qu’elle est mue par les aspects infantiles de l’individu, qui ne peuvent jamais être satisfaits dans la réalité. Il a dit: “On se sent enclin à dire que le projet du bonheur de l’Homme n’est pas inclus dans le plan de la création. ” Ainsi, le but ultime de la psychothérapie psychanalytique était en fait ce que Freud appelait le malheur ordinaire.

    (Rires)

    Et Freud reflète en partie l’anatomie du système émotionnel humain, qui est que nous avons à la fois un système positif et négatif ; et notre système négatif est extrêmement sensible. Ainsi, par exemple, nous aimons le goût sucré de naissance, et avons une répugnance pour le goût amer. Nous constatons aussi que les gens sont plus réticents à perdre qu’ils ne sont heureux de gagner. La formule pour un mariage heureux est de cinq remarques ou interactions positives,, pour chaque négative. Et c’est toute la puissance des négatives. Surtout les expressions de mépris ou de dégoût, il faut beaucoup de points positifs pour contrebalancer cela.

    J’ai aussi mis la réaction au stress. Nous sommes programmés pour les dangers qui sont immédiats, qui sont physiques, qui sont imminents, et donc notre corps va réagir incroyablement fort quand les opioïdes endogènes entrent en jeu. Nous avons un système qui est vraiment ancien, et qui est fait pour le danger physique. Et au fil du temps, cela devient une réaction au stress, qui a des effets énormes sur le corps. Le cortisol inonde le cerveau ; il détruit les cellules de l’hippocampe et la mémoire, et peut conduire à toutes sortes de problèmes de santé.

    Mais malheureusement, nous avons en partie besoin de ce système. Si nous n’étions régis que par le plaisir nous ne survivrions pas. Nous avons en fait deux postes de commandement. Les émotions sont des réactions intenses de courte durée au défi et à l”opportunité. Chacune d’elles nous permet de passer d’une personnalité à l’autre, et d’accorder, d’activer, de laisser tomber, des pensées, des perceptions, des sentiments et des souvenirs. Nous avons tendance à penser que les émotions ne sont que des sentiments. Mais en fait, les émotions sont une mise en alerte de tous les systèmes qui change ce dont nous nous rappelons, le genre de décisions que nous prenons, et comment nous percevons les choses.

    Permettez-moi de passer à la nouvelle science du bonheur. Nous nous sommes détachés de la morosité freudienne, et les gens étudient maintenant cela activement. Et l’un des points clés de la science du bonheur est que le bonheur et le malheur ne sont pas les extrémités d’un continuum unique. Le modèle freudien est en fait un continuum selon lequel, quand vous devenez moins malheureux, vous devenez plus heureux. Et ce n’est pas vrai – quand vous devenez moins malheureux, vous devenez moins malheureux. Et le bonheur est une toute autre partie de l’équation. Et il est absent. Il est absent de la psychothérapie. Ainsi, lorsque les symptômes des gens disparaissent , ils ont tendance à réapparaître, car ils ne ressentent pas l’autre moitié – le plaisir, le bonheur, la compassion, la gratitude, ce que sont les émotions positives. Et bien sûr, nous savons cela intuitivement, que le bonheur n’est pas seulement l’absence de malheur. Mais dans un sens, cela n’a pas été mis en avant jusqu’à très récemment, le fait de voir que ces deux systèmes sont parallèles. Pour que le corps puisse à la fois rechercher des occasions, et aussi se protéger du danger, en même temps. Et en quelque sorte, ce sont deux systèmes réciproques, qui interagissent dynamiquement.

    Les gens ont aussi voulu déconstruire. Nous utilisons ce mot «heureux», et ce terme est un très grand fourre-tout. Et puis trois émotions pour lesquelles il n’y a pas de mots anglais : fiero, qui est la fierté dans l’accomplissement d’un défi ; schadenfreude, qui est le bonheur qu’on retire du malheur d’un autre, un malin plaisir ; et naches, qui est une fierté et une joie dans ses enfants. Absent de cette liste, et absent de toute discussion sur le bonheur, il y a le bonheur qu’on retire du bonheur d’un autre. Nous ne semblons pas avoir de mot pour ça. Nous sommes très sensibles à ce qui est négatif, mais c’est en partie compensé par le fait que nous avons une positivité.

    Nous sommes aussi nés en quête de plaisir. Les bébés aiment le goût du sucré et détestent le goût amer. Ils aiment toucher des surfaces lisses plutôt que rugueuses. Ils aiment regarder de beaux visages plutôt que des visages ordinaires. Ils aiment écouter des mélodies harmonieuses au lieu de mélodies dissonantes. Les bébés naissent vraiment avec beaucoup de plaisirs innés. Un psychologue a déclaré il y a longtemps que 80 pour cent de la poursuite du bonheur ne dépend que des gènes, et qu’il est aussi difficile de devenir plus heureux qu’il l’est de devenir plus grand. C’est absurde. Les gènes contribuent largement au bonheur — environ 50 pour cent – mais il reste à trouver d’où viennent les 50% restants.

    Entrons dans le cerveau un instant, et voyons d’où vient le bonheur dans l’évolution. Nous avons essentiellement au moins deux systèmes ici, et tous deux sont très anciens. L’un est le système de récompense, et il’est alimenté par la dopamine. Il commence dans l’aire tegmentale ventrale. Il va dans le noyau accumbens, et remonte jusqu’au cortex préfrontal, au cortex frontal orbital, où les décisions sont prises, à haut niveau. On a au départ considéré cela comme le système de plaisir du cerveau. Dans les années 1950, Olds et Milner ont mis des électrodes dans le cerveau d’un rat. Et le rat appuyait sans cesse sur cette barre des milliers et des milliers et des milliers de fois. Il ne voulait pas manger. Il ne voulait pas dormir. Il ne voulait pas avoir des relations sexuelles. Il ne faisait rien qu’appuyer sur cette barre. Alors ils ont présumé que cela devait être, comment dire, l’orgasmatron du cerveau.

    Il s’est avéré que ce n’était pas le cas, que c’est en réalité un système de motivation, un système de pulsion. Il donne aux objets ce qu’on appelle une dominante d’incitation. Il rend les choses si attrayantes que vous n’avez pas d’autre choix que d’aller les chercher. C’est quelque chose de différent du système de plaisir, qui dit simplement : “J’aime ça.” Le système de plaisir, comme vous voyez, qui fonctionne avec les opiacés internes, il y a une hormone, l’ocytocine, est largement réparti dans tout le cerveau. Le système de la dopamine, le système du désir, est beaucoup plus centralisé.

    L’autre chose à propos des émotions positives, c’est qu’elles ont un signal universel. Et nous voyons ici le sourire. Le signal universel n’est pas seulement d’élever le coin des lèvres jusqu’aux grands zygomatiques. C’est également de plisser le coin externe de l’œil, l’orbiculaire des paupières. Alors vous voyez, même les bébés de 10 mois, quand ils voient leur mère, feront ce type particulier de sourire. Les extravertis l’utilisent plus que les introvertis. Les gens qui sortent de dépression le montrent plus après qu’avant. Ainsi, si vous voulez démasquer un vrai air de bonheur, vous chercherez cette expression.

    Nos plaisirs sont vraiment anciens. Et nous apprenons, bien sûr, beaucoup, beaucoup de plaisirs, mais beaucoup d’entre eux sont basiques. Et l’un d’eux, bien sûr, est la biophilie : le fait que nous réagissons à la nature ce qui est très profond. Des études très intéressantes effectuées sur des personnes en convalescence post-opératoire, ont constaté que les gens qui faisaient face à un mur de briques, comparativement à des gens qui faisaient face à des arbres et à la nature, les personnes qui donnaient sur le mur de briques étaient à l’hôpital plus longtemps, avait besoin de plus de médicaments, et avaient plus de complications médicales. Il y a quelque chose de très réparateur dans la nature, et cela fait partie de la façon dont nous sommes accordés.

    Les humains, en particulier, nous sommes des créatures très imitatives. Nous imitons quasiment dès la seconde où nous naissons. Voici un bébé de trois semaines. Si vous tirez la langue à ce bébé, il va faire la même chose. Nous sommes des êtres sociaux dès le début. Et même des études sur la coopération montrent que la coopération entre les individus active les centres de récompense du cerveau. Un problème que la psychologie a eue est qu’au lieu de considérer cette intersubjectivité – autrement dit l’importance du cerveau social, pour les humains qui viennent au monde sans défense et ont énormément besoin les uns des autres — est qu’elle se concentre plutôt sur l’individu et l’estime de soi, et non sur le rapport de soi à l’autre. C’est en quelque sorte “moi”, pas “nous”. Et je pense que cela a été un problème vraiment énorme, qui va à l’encontre de notre biologie et de notre nature, et ne nous a pas du tout rendu plus heureux.

    Parce que quand on y pense, les gens sont plus heureux quand ils sont dans le mouvement, quand ils font partie de quelque chose d’extérieur à eux, quand ils sont avec d’autres personnes, quand ils sont actifs, engagés dans le sport, concentrés sur un être aimé, en train d’apprendre, d’avoir des relations sexuelles, peu importe. Ils ne sont pas assis devant un miroir, essayant de se comprendre eux-mêmes, ou pensant à eux-mêmes. Ce ne sont pas les périodes où vous vous sentez le plus heureux. L’autre chose est que, pour preuve, si vous regardez l’analyse de texte informatisée des personnes qui se suicident, ce que vous y trouvez, et c’est assez intéressant, c’est l’utilisation de la première personne du singulier – «Je», «Moi», «Mon», pas «Nous» – et les lettres sont moins désespérées que vraiment solitaires. Être seul est très peu naturel chez l’Homme. Il y a un besoin profond d’appartenance.

    Mais notre histoire évolutive peut vraiment nous faire trébucher de plusieurs manières. Parce que, par exemple, les gènes ne se soucient pas de savoir si nous sommes heureux, ils se préoccupent de ce que nous reproduisions, que nous transmettions nos gènes. Ainsi, par exemple, nous avons trois systèmes qui sous-tendent la reproduction, parce que c’est tellement important. Il y a la luxure, qui est seulement de vouloir avoir des relations sexuelles. Et qui est vraiment régie par les hormones sexuelles. L’attirance romantique, qui s’introduit dans le système du désir. Elle est alimentée par la dopamine. C’est : «Je dois avoir cette personne-là.” Il y a l’attachement, qui est l’ocytocine, et les opiacés, qui dit : “Ceci est une relation à long terme.” Vous voyez que le problème est que, chez les humains, ces trois choses peuvent se séparer. Ainsi, une personne peut être dans un attachement à long terme, s’éprendre romantiquement de quelqu’un d’autre, et vouloir avoir des relations sexuelles avec une troisième personne.

    L’autre façon dont nos gènes peuvent parfois nous induire en erreur, c’est en ce qui concerne le statut social. Nous sommes très conscients de notre statut social, et nous cherchons toujours à l’améliorer et à l’augmenter. Dans le monde animal, il n’y a qu’une seule façon d’augmenter le statut, c’est la domination. Je prend les commandes par des prouesses physiques, et je les garde en me frappant la poitrine, et vous faites des gestes de soumission. Cependant, l’Homme a une tout autre façon d’atteindre le sommet, c’est la voie du prestige, qui est librement conféré. Si quelqu’un a une expertise et des connaissances, et sait comment faire les choses, alors nous donnons à cette personne un statut. Et c’est clairement la façon pour nous de créer beaucoup plus de niches de statut, afin que les gens n’aient pas à être plus bas dans la hiérarchie des statuts, comme dans le monde animal.

    Les données ne sont pas terriblement favorables à l’achat du bonheur par l’argent. Mais c’est quand même pertinent. Si vous regardez ce genre de questions, comme de savoir si ma vie est satisfaisante, vous voyez que la satisfaction augmente à chaque échelon de revenu. Vous voyez que la détresse mentale augmente avec un revenu plus faible. Donc clairement il y a un certain effet. Mais l’effet est relativement faible. Et l’un des problèmes avec l’argent est le matérialisme. Ce qui se passe quand les gens recherchent trop avidement l’argent, c’est qu’ils oublient les vrais plaisirs de la vie. Nous avons donc ici, ce couple : “Crois-tu que les moins fortunés ont de meilleures relations sexuelles ?” Et puis ce gamin là-bas dit : “Laissez-moi seul avec mes jouets.” Donc l’une des choses est que ça vous envahit vraiment. C’est l’ensemble du système de la dopamine et du désir qui prend le dessus et dévie tout du système de plaisir.

    Maslow a eu l’idée, dans les années 1950, que quand les gens s’élèvent au-dessus de leurs besoins biologiques, quand le monde devient plus sûr, et que nous n’avons pas à nous soucier de satisfaire nos besoins fondamentaux – notre système biologique, ce qui nous motive, c’est d’être satisfaits – nous pouvons nous élever au-dessus d’eux, penser au-delà de nous-même, vers la réalisation de soi ou la transcendance, et nous élever au-dessus du matérialiste.

    Pour conclure rapidement par quelques brèves données qui suggèrent que cela pourrait être le cas. L’une est que les gens qui ont subi ce qu’on appelle un changement radical : ils ont senti que leur vie et toutes leurs valeurs avaient changé. Et bien sûr, si vous regardez les sortes de valeurs qui font leur apparition, vous voyez la richesse, l’aventure, la réalisation, le plaisir, l’amusement, être respectés, avant le changement, et des valeurs bien plus post-matérialistes après. Les femmes ont un changement de valeurs complètement différent. Mais de façon très similaire, la seule qui survive est le bonheur. Elles sont passées de l’attractivité, du bonheur, de la richesse et de la maîtrise de soi, à la générosité et au pardon.

    Je termine par quelques citations. “Il n’y a qu’une seule question : Comment aimer ce monde ?” Et Rilke : “Si ta vie quotidienne te semble pauvre, ne l’accuse pas ; accuse-toi toi-même. Dis-toi que tu n’est pas assez poète pour en convoquer les richesse. ” ” Dis-toi d’abord qui tu veux être, puis fais en conséquence ce que tu dois faire.”

    Merci !

  • Comment créer une dynamique puissante en étant reconnaissant

    Comment créer une dynamique puissante en étant reconnaissant

    Lorsque je me sens reconnaissant, je suis dans un état d’esprit plus heureux. Je suis optimiste quant à l’avenir et ai une perspective claire sur le présent. Depuis quelques temps maintenant, j’essaye d’en faire un habitude et commencer ma journée en étant reconnaissant.

    Parfois, cela peut être aussi simple que de d’entendre les oiseau chanter sur l’arbre devant ma fenêtre et être reconnaissant de vivre dans cette charmante maison minière. Mon “attitude de gratitude” donne vraiment à ma journée un coup de pouce positif !

    Nous savons tous ce qui arrive quand vous êtes de bonne humeur. Nos pensées et nos sentiments créent de l’énergie. L’énergie attire plus d’énergie du même type. Par conséquent, le positif attire le positif, et malheureusement, le négatif attire le négatif. Pour une explication plus scientifique de ce phénomène, je vous conseil de regarder le film Que sait-on vraiment de la réalité ?

    Avez vous déjà ressenti que certaines choses étaient plus fluides lorsque vous alliez vraiment bien ? Ce n’est pas une coïncidence. Lorsque vous vous sentez bien quelque chose en vous dégage une bonne “vibration” et vous attirez la même énergie. Cela fonctionne de la même façon pour l’énergie négative, et vous comprenez probablement pourquoi il est si important de rester de bonne humeur. Être reconnaissant vous aide à ça.

    Bien sûr, nous sommes tous humains et si vous êtes comme moi, vous ressentez les choses profondément et devez prendre des précautions supplémentaires pour rester positif et loin de toute énergie négative. En ce qui me concerne, si quelque chose arrive et me fait me sentir mal, j’ai quelques éléments qui m’aident à changer mon humeur.

    La première est de prendre soin de moi. Je peux certainement faire mieux, mais je peux vous dire que quand je le fais, je me sens incroyablement bien et en forme. En prenant soin de moi, je prends du temps loin du travail, je fais une pause de l’ordinaire pour faire quelque chose de relaxant et que j’aime. Cela pourrait être quelque chose d’aussi simple qu’une randonnée, lire un livre ou jouer de la guitare. Cela crée une énergie calme et paisible pour moi.

    La deuxième me demande un léger changement de perspective. Si je réagi vraiment à quelque chose ou quelqu’un, je vais utiliser cette technique. Cela fonctionne à chaque fois. Pour ne rien vous cacher, je vais l’utiliser ce soir avant d’aller dormir car quelque chose me tracasse vraiment.
    Il est important de noter ici que cela peut aussi signifier le fait de devoir se libérer de vieilles croyances limitatives. Une vieille croyance qui ne vous sert plus comme par exemple le fait de croire que vous devez rester coincé à faire quelque chose que vous n’aimez pas. Ces types de pensées sont négatives. A tel point que cela rend difficile de remarquer l’ensemble des possibilités positives et des solutions autour de vous qui vous mèneront directement à la réalisation de votre objectif. Identifiez les croyances vous avez besoin de laisser partir ?

    Le troisième est de faire quelque chose de bien pour quelqu’un. Bien sûr, cela doit être sincère et vous ne devez rien attendre en retour. C’est incroyable de voir a quel point cela fait du bien de donner quelque chose à quelqu’un d’autre. Que ce soit l’achat d’un simple café ou simplement dire merci à un collègue, cela va vous aider à changer votre énergie et redémarrer d’un angle plus positif.

    Plus vous resterez positif, à la fois professionnellement et personnellement, plus vous verrez les résultats dans vos vies.

  • Voici la clé du succès

    Voici la clé du succès

    Peu importe ce qu’il signifie pour nous, nous aimerions tous avoir du succès. Pourtant, beaucoup ont des milliers de raisons pour lesquelles ils ne peuvent pas réussir. Mais, en réalité, tout ce dont nous avons besoin est une raison pour laquelle nous pouvons réussir. Cette raison est notre attitude. Rien n’est plus important que notre attitude. Ce n’est pas l’éducation, les compétences, la santé, la richesse ou les opportunités. Comme nous le rappelle Thomas Jefferson : “Rien ne peut arrêter un homme avec la bonne attitude mentale d’atteindre son but et rien sur Terre ne peut aider un homme avec la mauvaise attitude mentale”.

    Votre attitude détermine votre altitude – Zig Ziglar

    Qu’est-ce que l’attitude ?

    C’est notre disposition, notre point de vue ou nos perspectives. C’est comment nous voyons le monde. Frederick Langbridge l’illustre en écrivant : “Deux hommes regardaient par les barreaux de la prison ; l’un vit de la boue, l’autre vit des étoiles”. Que voyez-vous ?

    C’est presque comme si nous portions des lunettes. Les lunettes que nous choisissons de porter déterminent ce que nous voyons. Les verres polarisants, par exemple, peuvent éliminer les reflets et nous donner une vision plus claire de la réalité. D’un autre côté, des lunettes jaunes ou bleues déforment le monde, donnant un aspect jaunâtre ou bleuté à tout ce que nous regardons. Nous ne voyons rarement la réalité, mais nous la filtrons avec notre esprit. Autrement dit, nous ne voyons pas les choses telles qu’elles sont; nous voyons les choses telles que nous sommes. Nous interprétons nos expériences, les qualifiant de bonnes ou de mauvaises. Cependant, nos interprétations n’affectent pas la réalité; elles n’affectent que nous.

    Certaines personnes aiment l’hiver et le froid parce que c’est parfait pour skier. D’autres – comme moi, je dois l’avouer – préfèrent la chaleur de l’été. Évidemment, nos sentiments n’ont aucune influence sur la température. Cependant, nos émotions ont un grand impact sur nos vies, nous apportant le bonheur ou le malheur. Certains d’entre nous peuvent découvrir l’opportunité dans chaque difficulté; d’autres ne trouvent rien d’autre que des difficultés dans toutes les circonstances, Ce sont des lunettes de soleil différentes, des attitudes différentes.

    C’est donc notre attitude et non le destin qui détermine notre degré de réussite. Ce n’est pas une nouvelle idée. Le philosophe grec Epictète a écrit, il y a plus de 2 000 ans, que “ce n’est pas ce qui vous arrive qui importe, mais votre façon d’y réagir“. 500 ans plus tôt, Bouddha a enseigné que nous sommes ce que nous pensons. Nous sommes le reflet de nos pensées et avec nos pensées, nous faisons le monde.

  • 10 phrases avec un énorme impact positif que vous pouvez prononcer

    10 phrases avec un énorme impact positif que vous pouvez prononcer

    Peu de gens sont vraiment conscients, dans toute son ampleur, de l’énorme impact positif que nous pouvons générer avec nos mots. 

    Trop souvent, nous nous laissons emporter par l’inertie ou les habitudes installées en nous lors de la communication, et nous utilisons un vocabulaire et des phrases qui sont loin d’être les plus efficaces pour inspirer et impacter positivement les autres.

    Vous trouverez ci-dessous une liste de dix des phrases que je considère comme les plus puissantes lorsqu’elles sont prononcées avec une sincérité totale et avec le cœur. Demandez-vous si vous les utilisez souvent, et sinon, je vous invite à commencer à les utiliser le plus souvent possible. Je vous garantis que vos relations personnelles atteindront un niveau absolument supérieur et que vous générerez également un impact inoubliable sur de nombreuses personnes avec lesquelles vous interagissez. […]  Lire la suite

  • Nous sommes uniques, alors pourquoi vivre la vie comme tout le monde ?

    Nous sommes uniques, alors pourquoi vivre la vie comme tout le monde ?

    Nous ne devrions pas nous contenter de vivre notre vie comme tout le monde. Parfois dans la vie, nous prenons conscience d’un sentiment troublant nous faisons prendre conscience que nous sommes tout simplement pas où nous sommes censés être…

    Nous pouvons reconnaître que quelque chose doit changer, nous voulons changer, nous pouvons connaitre les raisons et savoir exactement ce que nous devons faire. Mais nous ne le faisons pas.

    Aussi effrayant que puisse être la perspective de créer, trop souvent la pierre d’achoppement est notre préoccupation face à ce que les autres vont penser de nous.

    Vont-ils comprendre notre besoin de suivre notre cœur et d’être la personne que nous sommes censé être ? Pouvons nous faire face si nous ne sommes plus ‘conforme’ à notre groupe ?

    Tous les humains ont tendance à vivre dans un “troupeau”. Les normes de nos pairs ont tendance à conduire notre propre existence. Suivre votre cœur, plutôt que de se conformer à la norme de ceux qui vous entourent, pourrait bien vous donner beaucoup plus de chance de trouver le bonheur et l’épanouissement. Mais il faut du courage… beaucoup de courage.

    Beaucoup de gens ont peur d’être différent, de ne pas être accepté par ceux qui les entourent. Peur de se faire remarquer plutôt que de se fondre dans la masse.

    Il est difficile de faire ce que nous devons faire pour avoir ce que nous voulons vraiment dans la vie. Oser être la personne que nous sommes censé être, c’est être original.

    Je pense que la récompense de la conformité est que tout le monde vous aime, sauf vous ~ Rita Mae Brown

    Pour paraphraser Jon Krakauer, tant de personnes vivent dans des circonstances malheureuses mais ne prennent pas l’initiative de changer leur situation parce qu’ils sont conditionnés de devoir vivre une vie de “sécurité”, de conformité. Mais en réalité, rien n’est plus dommageable pour l’esprit aventureux de l’homme qu’un avenir certain.

    Vous êtes né unique. Dans le monde entier, il n’y aura jamais quelqu’un d’autre qui est exactement comme vous. Vous êtes absolument unique en votre genre. C’est le miracle de l’être humain. Juste en vivant, vous êtes unique et spécial.

    Parfois, pour tirer le meilleur parti de cette vie précieuse, vous devez trouver le courage de regarder profondément dans votre cœur pour découvrir le chemin qui est bon pour vous, peu importe ce que vous pourriez découvrir.

    Pour trouver le bonheur, soyez la personne que vous êtes censé être, même si elle n’est pas conforme à ce que les autres pensent que vous devriez être ou faire de votre vie.

  • Comment être heureux

    Comment être heureux

    Êtes-vous heureux ?

    Il y a quelques années, un matin comme les autres, j’ai eu une prise de conscience soudaine, j’étais en train de passer à côté de ma vie. Alors que je me dirigeais sur mon lieu de travail, j’ai pris conscience que les années s’écoulaient.

    “Qu’est ce que je veux de la vie ?”…Après quelques minutes de réflexion, je voulais ‘simplement’ être heureux. Je suis marié, j’avais une fille magnifique (une deuxième nous a rejoint depuis), j’avais un travail, une maison, des amis, la santé (hormis mes migraines) mais je n’étais pas heureux.

    Comment être heureux

    J’ai décidé à ce moment là, de faire tout ce que je pouvais pour être heureux et profiter pleinement des choses que j’avais. Durant les mois qui suivirent, je peux dire que j’ai appris beaucoup de choses sur la façon d’être heureux. Ce sont ces leçons que je souhaite partager avec vous aujourd’hui.

    Prenez soin de vous

    Lorsque j’ai commencé ce cheminement, j’ai assez vite réalisé que, plutôt que de sauter dans un rythme de méditations quotidiennes ou répondre à des questions profondes sur qui j’étais, je devais commencer par les bases comme aller dormir à une heure décente et me nourrir correctement. Prendre soi de moi était un facteur important sur mon bonheur.

    Ne laissez pas le soleil se coucher sur la colère

    Je faisais toujours le nécessaire pour évacuer toutes les tensions le plus vite possible pour m’assurer que je ne me couchais pas en ayant des choses à ruminer. L’esprit plus serein, mon sommeil était plus réparateur.

    Faites semblant jusqu’à ce que vous le sentiez

    Les sentiment suivent les actions. Si je me sens triste, j’agis délibérément de manière heureuse. Très rapidement, vous vous sentirez plus heureux. Si je me sens en colère contre quelqu’un, je fais quelque chose de réfléchie pour lui et mes sentiments envers lui vont s’adoucir . Cette stratégie est étrangement efficace. Surtout lorsque vous êtes au volant, un acte de bonté aussi simple que de laisser quelqu’un s’insérer dans la file vous fera inévitablement conduire de manière moins stressante.

    Soyez stimulé

    Le défi et la nouveauté sont des éléments clés du bonheur. Le cerveau est stimulé par la surprise et le succès face à une situation inattendue donne un sentiment puissant de satisfaction. Les gens qui font des choses nouvelles, découvrir un nouveau jeu, visitez des endroits inconnus… sont plus heureux que les personnes qui adhèrent à des activités qu’ils font déjà bien.

    Ne traitez pas les coups de blues avec certaines choses

    Souvent, les choses que je choisis pour me remonter le moral ne sont pas bonnes pour moi. Le plaisir dure une minute, mais les sentiments de culpabilité, de perte de contrôle et d’autres conséquences négatives durent bien plus longtemps. Si chaque personne peut se sentir bien après l’achat d’une nouvelle paire de chaussures, une coupe de glace, une cigarette… il est bon de prendre le temps de se demander si cela va vraiment améliorer les choses.

    Changez votre relation avec l’argent

    Nos besoins psychologiques de base comprennent le sentiment d’être aimé, de se sentir en sécurité et être bon dans ce que nous faisons. Vous voulez aussi avoir un sentiment de contrôle. L’argent ne remplit pas automatiquement ces exigences, mais peut – bien évidemment vous aider. J’ai appris à chercher des façons de dépenser de l’argent pour créer un contact plus étroit avec ma famille et mes amis, pour entretenir ma santé, travailler plus efficacement, pour éliminer les sources d’irritation et autres conflits, pour soutenir des causes importantes pour moi et pour élargir mes expériences. Rappelez vous, les biens matériels ne peuvent vous apporter le bonheur

    Faites de l’exercice pour stimuler votre énergie

    Je savais que, intellectuellement, ça fonctionnait, mais combien de fois me suis-je dit, “Je suis trop fatigué pour faire du sport”. Pourtant, l’exercice physique est l’un des boosters d’humeur les plus fiables qui soit. Même 10 minutes à pied peut éclairer ma journée.

    Passez à l’action

    Certaines personnes supposent que le bonheur est une question de tempérament inné : Vous êtes né Bourriquet ou Tigrou. Même s’il est vrai que la génétique joue un rôle, une grande partie de votre niveau de bonheur est sous votre contrôle. Prenez le temps d’y réfléchir et prenez des mesures conscientes pour rendre votre vie plus heureuse.

    Et vous, quels conseils pourriez vous nous donner pour être plus heureux ?

  • Vous luttez avec la procrastination ? Essayez ceci

    Vous luttez avec la procrastination ? Essayez ceci

    Dans la grande majorité des cas, la procrastination est un symptôme de la peur. La peur que les choses vont mal tourner, la peur de ne pas savoir par où commencer, la peur d’un dur labeur, la peur de ce que les gens vont penser, etc.. Différentes tâches, différents projets apportent avec eux différents types de peur, et cette peur est ce qui mène à la procrastination.

    Cela fait maintenant deux ans que nous avons vendu la voiture de ma femme. Nous avions décidé de vendre les 4 pneus neige séparément pour une raison qui m’échappe encore maintenant. Les craintes qui nous retiennent de les mettre en vente se résument essentiellement à ces deux points :

    J’avais peur d’essayer de les vendre à un particulier, à cause de ce que je percevais comme un tracas liés à la vente entre particuliers. D’autre part, j’avais peur d’aller dans un garage ou une concession pour essayer de vendre ces pneus et de devoir essuyer un refus.

    A chaque fois que nous en parlions, nous étions d’accord, il fallait vendre ces pneus. Quel que soit le moyen, il fallait les vendre. Une excuse après l’autre, le pneus sont resté deux ans dans le garage à prendre de la place. Un beau jour, je me suis réveillé et j’ai décidé que c’en était assez. J’avais inutilement gaspillé mon temps et trouver toute sortes d’excuses pour ne pas vendre ces pneus.

    Chaque fois que nous sommes débordés et apeurés, quand nous nous sentons comme si les choses étaient hors de notre contrôle, nous devons nous rappeler qu’elles ne le sont pas. Nous pourrions ne pas être en mesure de dicter nos circonstances, mais nous pouvons contrôler nos réponses à ces circonstances.

    Quoi que vous mettez de côté dès maintenant – prenez conscience que vous ne tirerez aucun bénéfice d’attendre un autre jour de plus pour prendre des mesures.

    Je sais que vous avez peur, c’est pourquoi vous tergiversez, mais fais-vous une faveur, prenez quelques secondes dès maintenant pour identifier toutes les conséquences indésirables à ne pas faire la chose que vous mettez repoussez sans cesse.

    A chaque fois que vous procrastinez, prenez un instant pour identifier les effets secondaires de cette remise au lendemain. Demandez-vous ce que cela implique de tout remettre à plus tard indéfiniment et demandez-vous “Est-ce vraiment ce que je veux ?” Si c’est le cas, pas de problème, vous choisissez cette situation, vous ne la subissez pas.
    Parfois, la meilleure façon de rayer une tâche de votre liste de choses à faire est tout simplement de décider de ne pas le faire.

    Juste parce que vous ne voulez pas faire quelque chose ne signifie pas que vous ne pouvez pas le faire. Cela peut sembler idiot, mais cela m’aide vraiment à me rappeler que je vais survivre à ces choses que je ne veux pas faire.

  • Information, connaissance ou Sagesse – à vous de décider

    Information, connaissance ou Sagesse – à vous de décider

    Comment faire un article sur l’information et la connaissance quand on prône depuis des années la recherche, sans relâche, de tout remettre en question, de rechercher de nouvelles pistes, idées…
    Nous allons nous en tenir à quatre principes de base.

    1 ) Quelle est la différence entre l’information , la connaissance et la sagesse ?
    2 ) Comment l’information impact la connaissance ?
    3 ) Quel est l’impact de la connaissance sur la sagesse ?
    4 ) Comment la sagesse impact notre vie ?

    Commençons d’abord par quelques définitions.

    Information – Nous pourrions résumer l’information par une succession de mots. Faites une recherche sur Internet sur n’importe quel sujet (que ce soit le développement personnel, la créativité ou autre), ce que vous obtenez est une liste de mots.
    L’information peut être utile ou n’apporter aucune valeur pour vous ou pour tout le monde, mais à la fin ce n’est qu’une succession de mots.
    Maintenant, voici la définition du Larousse :

    Indication, renseignement, précision que l’on donne ou que l’on obtient sur quelqu’un ou quelque chose : Manquer d’informations sur les causes d’un accident. (Abréviation familière : info.) – les faits et les données recueillies sur un sujet spécifique .

    Connaissance – Informations spécifiques sur un sujet d’intérêt. Des compétences acquises à partir de l’étude pratique et/ou la recherche. Maintenant, voici la définition du dictionnaire :

    Action, fait de comprendre, de connaître les propriétés, les caractéristiques, les traits spécifiques de quelque chose : La connaissance de la nature.

    Sagesse – La possibilité d’utiliser une connaissance appropriée, des renseignements précis dans une situation où vous voulez ou avez besoin d’un résultat spécifique. Comme pour les autres ‘concepts’, voici la définition du dictionnaire :

    Qualité de quelqu’un qui fait preuve d’un jugement droit, sûr, averti dans ses décisions, ses actions : Il a tranché avec sa sagesse habituelle.

    Quelle est la différence entre l’information, la connaissance et la sagesse ?

    Je n’ai pas vraiment à vous expliquer ce qu’est l’information. Si vous avez un ordinateur , un smartphone ou une tablette, je suis certain que vous passez une à deux heures par jour à chercher quelque chose, quelque part.
    N’importe quelle page sur n’importe quel appareil est rempli de mots (d’information). Ce qui rend toutes ces choses utiles ou pas est leur valeur finale sur un thème ou un sujet d’intérêt pour vous, sinon c’est juste du charabia.
    Si vous avez passé chaque minute de chaque jour de chaque année de votre vie à partir de maintenant vous ne pourriez même pas rayer la surface d’information créé chaque jour .

    La connaissance est acquise par l’apprentissage d’ une information appropriée que vous pouvez exploiter dans votre quotidien. La connaissance peut être acquise à partir d’informations spécifiques sur des aspects de votre vie. Financier , médical, familial… La connaissance se produit lorsque vous décidez quelle information est utile pour vous  Par exemple, si cet article ne vous intéresse pas, vous pouvez arrêter la lecture et passer à un autre domaine ou un sujet d’intérêt. Si vous y trouvez un intérêt (ce que je souhaite), vous aller continuer à le lire.

    Voici un point important à garder en tête. Vous avez 24 heures par jour à utiliser comme bon vous semble. Lorsque vous passez du temps sur un sujet particulier, vous éliminez la possibilité de passer ce même temps sur tous les autres sujets.

    La sagesse est un choix. De toutes les informations dont vous disposez, comment vous pouvez les appliquer et la capacité d’utiliser ces connaissances de manière efficace et appropriée, le choix choix vous appartient. Certains appelleraient cela de bon sens mais comme le souligne très justement Mark Twain, nous devons cesser d’appeler ‘bon sens’ ou ‘sens commun’ (qui impliquerait tout le monde) une chose  que si peu d’entre nous avons.

    Comment l’information impact la connaissance ?

    Si vous êtes submergé par l’information, la plupart du temps par choix, vous verrez qu’il est très difficile de déterminer quels sont les faits pertinentes pour vos besoins ou désirs actuels ou futurs. Savoir ce que vous devez connaître et pourquoi n’est pas une chose aisée.

    Lorsque vous êtes submergé par des faits, des chiffres ou des ressources, cela aura tendance à limiter votre capacité à trouver la meilleure information pour vous permettre de faire des choix judicieux. Il suffit de faire une simple recherche sur Google sur n’importe quel sujet et je parie que vous trouverez au moins un million de résultats qui n’attendent que votre lecture.  La question principale ici est le temps. Pendant que vous êtes à la recherche de la meilleure réponse (connaissances), vous risquez de manquer les meilleures à cause de votre manque de patience ou de temps disponible .

    Quel est l’impact de la connaissance sur la sagesse ?

    Pensez à la connaissance comme à une boîte à outils. Vous avez acheté un outil, vous l’avez ajouté à votre boîte et il est maintenant disponible en cas de besoin. Si vous avez un défi dans la vie et vous n’avez pas le bon outil (la connaissance) dans votre boîte à outils, vous aurez tendance à prendre un autre outil (celui qui ressemble le plus à celui dont vous auriez besoin) . Dans certains cas, cette alternative pourrait fonctionner ou même être une approche efficace, mais il sera toujours mieux d’utiliser le bon outil.

    Si vous n’avez pas l’outil, vous ne pouvez pas prendre la meilleure décision ou choisir la meilleure action. Ainsi il est tout à fait logique de continuer à ajouter de nouveaux outils (nouvelles connaissances) à votre boîte à outils plutôt que de devoir faire face à une situation et espérer que les bons outils apparaissent.

    Comment la sagesse impact notre vie ?

    Nous sommes tous confrontés à des défis (uniques ou parfois chroniques) dans notre vie . La clé pour résoudre ces problèmes de manière rapide, appropriée et efficace est d’utiliser une combinaison de sagesse , de bon sens et des leçons de notre histoire personnelle. Oui, certaines personnes ont plus de bon sens et d’expérience que d’autres en raison de leur maturité, âge ou volonté d’ apprendre, de grandir et de changer, mais à la fin nous pouvons tous apporter un plus grand degré de sagesse à toute situation.
    La clé est d’être prêt à apprendre et ensuite appliquer ces apprentissages aux situations qui se présentent.

    Sans cette sagesse appliquée , nous sommes tous condamnés à répéter les mêmes erreurs , encore et encore jusqu’à ce que nous comprenions nos erreurs.

    La sagesse peut nous faire gagner du temps, réduire le stress, la peur, l’anxiété, la frustration, la déception et l’échec même si l’échec peut être un outil précieux si elle conduit à une plus grande sagesse.
    La sagesse peut augmenter les chances de succès, améliorer les relations et renforcer le bonheur, le contentement et la paix intérieure.

    On ne reçoit pas la sagesse, il faut la découvrir soi-même, après un trajet que personne ne peut faire pour nous – Marcel Proust

  • On récolte ce que l’on sème…

    On récolte ce que l’on sème…

    À bien des égards, l’esprit humain ressemble beaucoup à une terre agricole. 

    La terre donne le choix à l’agriculteur. Il peut y planter ce qu’il choisit. La terre ne se soucie pas de ce qui est planté. C’est à l’agriculteur de prendre la décision. 

    L’esprit, comme la terre, retournera ce que vous plantez, mais il se fiche de ce que vous plantez. Si l’agriculteur plante deux graines – une graine de maïs, l’autre de morelle (inoffensive à faible dose mais toxique si l’on en consomme en excès). S’il les arrose et prend soin de la terre, que va-t-il se passer ? […]  Lire la suite

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