La haine peut souvent être perçue comme une déformation de l’amour, une émotion qui n’a pas trouvé son chemin pour s’exprimer de manière saine. Cette idée peut sembler surprenante, mais elle nous invite à réfléchir sur la manière dont nous gérons nos émotions et nos relations avec les autres.
À l’école, il est courant de ressentir une profonde aversion envers ceux qui nous harcèlent. Pourtant, nourrir cette rancœur ne fait que nous blesser davantage. En réalité, c’est souvent une projection de nos propres insécurités, un cercle vicieux qui se nourrit de lui-même. Si nous avions plus de confiance en notre capacité à nous aimer, nous pourrions trouver des moyens plus constructifs de faire face à la négativité qui nous entoure.
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